Une petite pause

Bonjour,

je vous annonce que le blogue sera en pause pour quelques semaines. J’ai l’intention de me consacrer, pour le moment, à d’autres projets d’écriture.

Pendant ce temps, je vous invite à visiter la bibliothèque des articles, j’en ai plus de 300. Peut-être y en a-t-il quelques-uns que vous n’avez pas lus?

Si vous n’êtes pas encore inscrit à l’infolettre sur Substack, ça me ferait plaisir de vous avoir comme abonné. Vous trouverez le lien pour vous inscrire plus bas. Je continuerai à publier un billet à la fin de chaque mois.

Pour ceux qui auraient manqué l’annonce, j’ai publié un petit recueil de nouvelles en décembre dernier. Si vous désirez me soutenir et acheter le livre, vous trouverez aussi le lien plus bas.

Bibliothèque des articles

Edith Wharton? Mais qui diable est Edith Wharton?

J’ai choisi de vous parler d’Edith Wharton, car j’aime lire les œuvres des romancières américaines.  Je l’ai découverte dans ce livre offert par ma sœur ou mes parents lors d’un de mes anniversaires. L'histoire des plus grands succès littéraires (crédit photo...

La meilleure recette de granola

Granola maison Préparez-vous cette recette facile. Regardez les ingrédients de ce granola maison et vous comprendrez qu'il est bon pour la santé. Bien non, ce n'est pas  la recette de granola de Ricardo! La mienne est moins  sucrée et plus protéinée.  On ajoute...

Brittany Brexit? Mais qui diable est Brittany Brexit?

Brittany Brexit, la mini Cooper Rouge, brillante et très British, je suis la rutilante mini Cooper de Phrenssynnes. J'ai été conçue à Oxford, United Kingdom, yes my dear! C'était en 2016, au même moment où Phrenssynnes visitait la célèbre université.  Bloody hell!...

La meilleure recette de tartare de saumon

Tartare de saumonQuoi de mieux qu’un bon tartare de saumon assaisonné à notre goût. Cette recette est inspirée de celle de mon ami Martin et son frère, les Lucky Brothers. Portions 2 à 4 portionsPrêt en: 30 minutes Bon pour: Lunch ou entrée ou souperInroduction À...

Citation de Carl Gustav Jung

La citation préférée des optométristes!  «Votre vision devient claire lorsque vous regardez dans votre cœur.» Carl Gustav Jung Qui est Carl Gustav Jung? Selon Wikipédia, "il est un médecin psychiatre suisse" né en 1875. Il a été un des premiers disciples de Sigmund...

Où aller en road trip ou les aventures de Brittany Brexit au Mont Tremblant

Rouge, brillante et très British, je suis la rutilante mini Cooper de Phrenssynnes. Mais qui diable est Brittany Brexit? Envie d'une escapade d'automne? Indeed!  Pourquoi pas le Mont Tremblant.  Situé au nord de Montréal, c'est un des plus beaux endroits de...

À mes amis surfers, une citation de Jon Kabat-Zinn

Citation de Jon Kabat-Zinn « You can't stop the wave, but you can learn to surf. » Si vous avez aimé cette citation, je vous exprime toute ma gratitude si vous la partagez avec vos amis, votre famille ou sur les réseaux sociaux.  Je suis également reconnaissante que...

Vive Coco Chanel

  Si vous avez aimé cette citation, je vous exprime toute ma gratitude si vous la partagez avec vos amis, votre famille ou sur les réseaux sociaux.  Je suis également reconnaissante que vous ayez pris le temps de contribuer à la popularité du blogue! J’attends...

Citation de Mark Twain

Venez découvrir d'autres citations ↓

Siri Hustvedt. Mais qui diable est Siri Hustvedt?

Siri Hustvedt?  Mais qui diable est Siri Hustvedt? Siri est une écrivaine américaine mondialement reconnue, elle a fait un Ph.D. en littérature anglaise à l’université Columbia à New York. Elle est issue d’une famille d’origine norvégienne. Poétesse, romancière et...

Je tiens à vous remercier chaleureusement pour votre participation et votre intérêt à mes projets d’écriture.

Vous avez toute ma gratitude, je suis reconnaissante du temps que vous avez consacré pour lire le blogue et pour votre contribution à sa popularité.

Comme toujours, j’attends vos commentaires avec plaisir.

Phrenssynnes

Commandez mon premier livre!

Dans la nouvelle intitulée La lettre, Louise s’apprête à déchirer une lettre qui pourrait tout changer. Cette missive, rédigée dans un moment de colère, aurait bouleversé sa vie bien ordonnée de mère de famille et de professionnelle. Ce matin-là, elle a pris une décision, mais le destin en décide autrement.

Une dentiste, un bûcheron, une Louise ou un prince, les personnages vous surprendront par leur divergence. Pourtant, ces histoires hétéroclites sont tissées par ce fil intangible et subtil que sont les relations humaines.

Sur un site internet, nous avons l’obligation de déclarer si nous avons un revenu en recommandant un lien. Donc, celui-ci n’est pas affilié mais puisque je suis l’auteure, je recevrai des redevances.

Je vous invite aussi à me laisser une évaluation ainsi que vos commentaires sur le site de vente Amazon.

Merci de votre soutien !

Mon top 10 pour 2024

Dans l’esprit du top 10 des lectrices du blogue Collectif polar, j’ai décidé de participer à la suggestion de Geneviève Van Landuyt, l’auteure du site. Elle travaille à la bibliothèque Parmentier à Paris et coordonnatrice de Collectif polar.

Je vous invite à aller voir les différentes suggestions de lecture des autres lectrices.

#1 François de Bro Blog Black.

#2 Alexandra de Les blablas de Tachan.

#3 Emmanuelle.

#4 Le blogue d’Aurelalala.

 

Le top 10 en 2024

Voici mon top 10 des livres lus en 2024.

1. Intérieur nuit de Marisha Pessl. J’ai été éblouie par son sens artistique.

2. La mer de la tranquillité d’Emily Saint-John Mandel. Un roman dont l’intrigue a lieu dans l’avenir sans être un livre de science-fiction.  Emily est une auteure à suivre.

La mer de la tranquillité (crédit photo Phrenssynnes)
Livre Intérieur nuit sur fond gris (crédit photo Phrenssynnes)
Couverture 1 La prisonnière du temps (crédit photo Phrenssynnes)

3. Un été à Nantucket d’Elin Hilderbrand. J’ai adoré l’aspect historique et féministe de ce bouquin.

4. Le serment (tomes 1 et 2) de Tom Clancy. Une de ses meilleures histoires et on adore son héros, Jack Ryan.

5. La prisonnière du temps de Kate Morton. Une histoire originale à Londres.

 

La folie des foules (crédit photo Phrenssynnes)

6. Le garçon d’encre de Marie-Christine Chartier. Une nouvelle auteure québécoise à surveiller.

7. Les lendemains de Mélissa Da Costa. Une belle histoire émouvante qui fait du bien grâce à la résilience de son héroïne.

8. La folie des foules de Louise Penny. Une autre enquête de l’inspecteur Armand Gamache qu’on lit avec délice.

9. Billy Summer de Stephen King. Le premier Stephen King que je réussis à terminer! Différent des livres d’horreur que l’auteur a l’habitude d’écrire.

10. Ce que la vie doit au rire de Boucar Diouf. Un délice léger, agréable, plein d’humour et de philosophie.

Photo de Lhom

Lhom nous présente cette semaine une image en lien avec le thème de la lecture. Cette bibliothèque du château de Warwick représente une époque révolue, celle où seulement des hommes visitaient ces lieux de grand savoir!

Bibliothèque du château de Warwick au nord de Londres ( crédit photo Lhom)

Connaissiez-vous ces auteurs?

Et vous? Quel est votre top 10?

J’attends vos commentaires avec plaisir.

Bonne semaine.

Phrenssynnes

P.S. Les auteurs et éditeurs mentionnés n’ont pas été mis au courant de ce projet avant publication.

 

  Cliquez ici pour lire d’autres articles sur Phrenssynnes se cultive.

book club illustration (credit DIVI)

Pour me suivre et ne rien manquer, inscrivez vous à ces deux publications.

En vous abonnant sur le blogue (sur la plateforme WordPress), vous recevez le samedi matin ma dernière publication sur différents sujets : la culture, la bouffe, les voyages ou certaines réflexions.

Abonnez-vous au blogue

Pour recevoir les dernières publications du blogue :

Vous pouvez aussi souscrire à mon infolettre mensuelle (sur la plateforme Substack). Sur une note légère, humoristique et positive, je partage les idées géniales découvertes lors de mes navigations sur le web et qui mérites votre attention.

Une grande nouvelle pour la fin de 2024

Le blogue

J’ai démarré le blogue de Phrenssynnes en 2018 mais j’écris depuis le début des années 90. À mes débuts sur le site, je n’avais aucune connaissance en informatique ou en communication. Je ne connaissais rien à WordPress, j’ignorais ce qu’était le référencement naturel (SEO) et je ne savais pas comment bâtir un blogue.

Mais j’avais envie de le faire.

Je travaillais encore comme optométriste à l’époque et, parfois, je n’avais pas le temps d’écrire un article. Alors, je trouvais une citation que j’aimais, je l’écrivais sur un tableau situé sur un mur de ma cuisine. Je prenais une photo et la publiais sur le blogue. Cela m’a permis de développer l’habitude de publier de façon hebdomadaire. Ceci a évolué en une riche collection de citations.

Citation de John Cheever

Citation de John Cheever

Une de mes citations préférée. J'ai une énorme gratitude envers vous tous, chers lecteurs pour votre temps et votre attention. Un grand merci. Phrenssynnes Venez découvrir d'autres bonnes idées partagées par Phrenssynnes ↓

Citation de Spinoza

Citation de Spinoza

Citation de Spinoza Qui est Spinoza? Selon Wikipédia: "...il gagne sa vie en taillant des lentilles optiques pour lunettes et microscopes."   Cela et sa philosophie nous rapproche! Bonne semaine. Phrenssynnes Pour me suivre et ne rien manquer, inscrivez vous à...

Citation de Jonathan Franzen

Citation de Jonathan Franzen

« La lecture nous apprend à apprivoiser notre solitude. » Jonathan Franzen Citation de Jonathan Franzen Est-ce que vous aimez lire? Est-ce que vous aimez être seul? Il faut aussi aimer la solitude lorsqu'on est écrivain. Bonne semaine. Phrenssynnes Cliquez ici pour...

Citation sur la perfection

Citation sur la perfection

  J'adore cette citation de Dave Brailsford. Sur cette réflexion, je vous souhaite une bonne semaine. PhrenssynnesCliquez ici pour d'autres citations choisies par Phrenssynnes.En vous abonnant sur le blogue (sur la plateforme WordPress), vous recevez le samedi...

Coco Chanel a encore raison!

Coco Chanel a encore raison!

J'aime bien cette personnalité qu'était Coco Chanel. Elle était ami avec Jeanne Toussaint, surnommée la panthère. Venez lire cet article sur La panthère, un livre de Stéphanie des Horts. Garder à l'esprit cette citation. Bonne semaine. Phrenssynnes Les seuls beaux...

Une belle réflexion

Une belle réflexion

Quelle belle citation, je l'ai vue sur Twitter cette semaine. Merci à @ph_carreira de me l’avoir fait connaître. Avez-vous trouvé votre caillou? Bon dimanche. PhrenssynnesPour d'autres citations choisies par Phrenssynnes, cliquez ici.En vous abonnant sur le blogue...

« Phrenssynnes »

Tel que je l’ai déjà expliqué dans je ne sais quel article (j’en ai plus de 300), j’ai choisi le nom Le blogue de Phrenssynnes par défaut, en attendant de trouver mieux. La première année, je montrais à ma famille, dans un party de Noël, que si l’on cherchait Phrenssynnes sur Google, mon blogue sortait dans les premiers résultats. Mon beau-frère informaticien me dit alors que c’était excellent et que certains payaient pour obtenir cela. Et, n’y connaissant rien, je répliquai : « Hum, est-ce qu’il fallait que je paye pour ça? » C’est là que j’ai découvert le SEO et que, sans le vouloir, j’ai choisi un nom si unique que c’était un avantage.

Pourtant, mon frère ne cesse de me répéter que c’est une erreur car personne n’est capable de l’épeler ou le prononcer. Mais je le répète, c’est tout simplement la façon la plus compliquée d’écrire le mot Francine et on le prononce de la même façon.

Code QR

Depuis, les progrès informatiques m’ont aidé et voici le code QR du blogue qui me facilite les choses. Cette image vous aide à partager mon blogue. Demandez à la personne, avec laquelle vous désirez le partager, de numériser le code QR avec la caméra de son téléphone et de cliquer sur le lien qui apparaît.

Code QR blogue de Phrenssynnes (créé avec Canva)

Les expériences

Les spécialistes claironnaient que le succès passait par le choix d’une niche très particulière. Je n’arrivais pas à me décider car j’avais envie de parler de tout ce qui me passionnait. J’ai choisi les voyages, la lecture, la bouffe et la catégorie « Phrenssynnes cogite » pour ce qui n’entrait pas dans les trois premières. Finalement, c’est ce qu’on nomme Lifestyle.

J’ai fait des essais sur Pinterest, sur Instagram. Twitter symbolisait le Graal du succès encore selon les experts. J’y ai fait quelques rencontres mais il s’avère que Facebook est un des réseaux qui fonctionne le mieux pour mon site.

Medium

En janvier 2021, j’ai commencé à écrire sur Medium, une plateforme payante et surtout anglophone. Mon anglais s’est un peu amélioré mais cela ne représentait pas mon objectif.

WordPress

À l’été 2021, je suis passée de WordPress.com à WordPress.org pour être plus indépendante. J’ai appris beaucoup du point de vue technique mais j’ai dû demander de l’aide à une technicienne en informatique. Mon plan était de monétiser le blogue mais j’ai changé d’avis. Cela m’irrite lorsque je visite un site qui déborde de publicité. Je ne voulais pas vous offrir cette expérience.

J’ai même participé à une émission de radio sur CKIA avec Yves Simard et au balado de Justin Busch!

En juin 2023, je me suis mise au diapason de la dernière tendance et j’ai démarré une infolettre sur la plateforme Substack.

La réflexion

Bref, j’ai expérimenté toutes sortes de choses. Ce qui m’a amené à réfléchir sur ce que j’avais vraiment envie de faire.

Récemment, j’ai relu des journaux rédigés pendant mon adolescence, j’ai constaté que le goût d’écrire datait de ce temps-là. À la mi-trentaine, l’envie d’écrire a augmenté. Grâce à Esther Croft et ses ateliers, l’encre a recommencé à couler dans mes veines. Par contre, je n’avais pas beaucoup de temps pour cela mais j’y travaillais comme passe-temps. C’est à l’approche de la retraite que j’ai démarré le site.

Écrire régulièrement pour le blogue m’a aidé à m’améliorer dans la composition des textes. Mon amie et éditrice, Ann, m’a fait progresser et d’autres copains et copines m’ont beaucoup encouragée. De plus, je me suis acclimatée à écrire publiquement. Quant à Lhom, il s’est habitué à me voir dans ma bulle devant mon ordinateur et me laisser du temps. Lui, qui détestait la lecture, est devenu un excellent éditeur!

Premier livre de Phrenssynnes (crédit photo Lhom)

 La grande nouvelle

 

Après mûre réflexion, j’ai décidé de revenir aux sources et à ce qui m’intéresse le plus : écrire de la fiction.

Mon rêve était de publier un livre, un vrai! J’ai longtemps tergiversé sur la façon de le faire. Puis, j’ai découvert que le labeur ne se termine pas par le manuscrit. Le travail d’édition commence : la correction, la mise en page, etc. Encore une fois, j’ai beaucoup appris.

Aujourd’hui, j’ai le plaisir de vous annoncer que la glace est brisée et mon premier livre est publié. J’ai combiné quelques nouvelles. Certaines publiées sur le blogue, d’autres dans des revues littéraires et j’en ai fait un petit recueil.

Étant donné que c’est ma première expérience, tout n’est pas parfait et je vous suis reconnaissante de ne pas être trop sévère.

Si vous êtes amoureux des livres comme moi, vous pouvez désormais le commander sur Amazon.

Sur un site internet, nous avons l’obligation de déclarer si nous avons un revenu en recommandant un lien. Voici le lien pour l’achat de mon livre. Il n’est pas affilié mais puisque je suis l’auteure, je recevrai des redevances.

Je tiens à vous remercier chaleureusement pour votre participation et votre intérêt à mes projets d’écriture.

Vous avez toute ma gratitude, je suis reconnaissante du temps que vous avez consacré pour lire le blogue et pour votre contribution à sa popularité.

Comme toujours, j’attends vos commentaires avec plaisir.

Je vous souhaite de très joyeuses fêtes et de la santé, de la santé et de la santé en 2025.

Phrenssynnes

Pour me suivre et ne rien manquer, inscrivez vous à ces deux publications.

En vous abonnant sur le blogue (sur la plateforme WordPress), vous recevez le samedi matin ma dernière publication sur différents sujets : la culture, la bouffe, les voyages ou certaines réflexions.

Abonnez-vous au blogue

Pour recevoir les dernières publications du blogue :

Vous pouvez aussi souscrire à mon infolettre mensuelle (sur la plateforme Substack). Sur une note légère, humoristique et positive, je partage les idées géniales découvertes lors de mes navigations sur le web et qui mérites votre attention.

Les secrets d’une soupe savoureuse

Trucs et astuces pour réussir une soupe maison succulente

Depuis plusieurs années, j’ai pris l’habitude de faire une grosse chaudronnée de soupe nourrissante une fois par semaine.

La raison principale, Lhom et moi adorons manger un bon bol le midi. Devenue une « pro » de la soupe aux légumes , je suis maintenant incapable de manger de la soupe achetée en boîte et j’apprécie un véritable potage au restaurant. Vous vous rappelez lorsque je vous ai parlé du restaurant « Soupe et cie! ».

Voici les secrets pour une soupe pas trop salée, pas trop liquide, nourrissante, succulente et faite maison.

Un mets si réconfortant à déguster pendant nos longs mois d’hiver.


(suite…)

Comment faire le plein d’énergie, se sentir en forme et tuer la fatigue

Cette semaine, comme vous avez pu le constater sur Facebook, ma sœur et moi avons fait un petit séjour à Stoneham. Nous nous sommes amusées à le nommer pompeusement Camp littéraire 2024!

Voici la photo de l’inauguration officielle.

Des randonnées pédestres entre de grandes discussions et d’exercices littéraires ou créatifs. En bref, ce fut une expérience intense et très motivante. N’ayez crainte, je vous épargnerai mes élucubrations poétiques.

Donc, le sujet de la semaine sera sur une conférence qui m’a fait découvrir les secrets d’un bon repos.

Camp littéraire 2024 (crédit photo Phrenssynnes)

Insomnie, un problème pour beaucoup de personnes

Je vois que sur le réseau social Reddit, le thème de l’insomnie provoque beaucoup de commentaires. Devons-nous présumer la grande importance de ce problème dans la population?

Insomnie et ménopause

Je ne suis pas une insomniaque chronique mais à une certaine époque, j’avais plus de mal à bien dormir. La ménopause s’avère une période de changement important dans la vie d’une femme. Et, j’ai été étonnée que l’insomnie s’avère en être le plus grand symptôme. Alors que je croyais que c’était les chaleurs.

J’ai déjà écrit un article sur le sommeil. En fait, c’était le résumé d’un livre sur l’insomnie que j’ai beaucoup apprécié et d’une allocution de Matt Walkers.

Le livre de Shawn Stevenson (crédit photo Phrenssynnes)

Matt Walkers

Avez-vous visionné cette conférence de ce spécialiste? Il explique jusqu’à quel point le sommeil est important pour une bonne santé. Que ce soit pour le système immunitaire, le niveau de testostérone (oui, messieurs!), les fonctions d’apprentissage et de mémoire. Le sommeil s’avère aussi bénéfique pour empêcher l’inflammation chronique et réduire les chances de maladies cardiovasculaires.

De l’importance du sommeil

L’idée n’est pas de vous stresser si vous dormez mal mais de vous faire comprendre l’importance du sommeil. Car la plupart du temps, vous pouvez reprendre le contrôle en ayant de bonnes habitudes.

Proverbe Irlandais (crédit photo Phrenssynnes)

Mais qu’en est-il si vous dormez bien et que vous êtes quand même fatigué?

Lors de mes navigations sur le web, je suis tombée par hasard sur une conférence du docteure Saundra Dalton-Smith. Elle raconte qu’à un moment dans sa vie, après une bonne nuit de sommeil, elle se réveillait épuisée. Sa conférence est le fruit de ses recherches. Elle explique que le sommeil et le repos ne sont pas la même chose. Le sommeil s’avère crucial mais c’est seulement une partie du repos dont nous avons besoin.

George Stern en a fait une belle infographie sur ce lien.

J’ai été surprise d’apprendre tout cela.

Sortes de repos

 

  1. Physique
  2. Sensoriel
  3. Créatif
  4. Spirituel
  5. Émotionnel
  6. Social
  7. Mental
citation Didier Van Cauwelaert (crédit photo Phrenssynnes)

Repos physique

Les signes d’un besoin de ce type de repos

  • Manque d’énergie physique.
  • Être malade souvent.
  • Avoir des douleurs ou des courbatures.

Les solutions

Repos sensoriel

Les signes d’un besoin de ce type de repos

  • Ressentir de la fatigue visuelle ou de la tension au niveau des yeux.
  • Être sensible aux sons trop forts.
  • Ne pas pouvoir sentir ou goûter comme d’habitude.

Les solutions

  • Faire une pause de vos appareils électroniques.
  • Changer ce qui vous perturbe : diminuer l’intensité de la lumière, diminuez le son de la musique.
  • Se fermer les yeux ou se boucher les oreilles quelques instants.

Repos créatif

Les signes d’un besoin de ce type de repos

  • N’avoir aucun temps libre dans votre journée.
  • Avoir de la difficulté à réfléchir ou à faire du brainstorming.
  • Avoir de la difficulté à être émerveillé par la nature.

Les solutions

  • Prendre des grandes ou des petites pauses, c’est-à-dire des vacances ou plus de petits arrêts.
  • Passer du temps à l’extérieur dans la nature sans objectifs, marcher.
  • Lire, danser, voir des spectacles, visiter un musée.

Repos spirituel

Les signes d’un besoin de ce type de repos

  • Manque de motivation.
  • Se sentir impuissant, désespéré ou piégé.
  • Ressentir une diminution de la satisfaction en général.

Les solutions

The five-minute journal ( crédit photo Phrenssynnes)

Repos émotionnel

Les signes d’un besoin de ce type de repos

  • Anxiété ou inquiétude excessive.
  • Insécurité ou doute de soi.
  • Être démesurément accablé par le drame des autres.

Les solutions

  • Prendre des mesures pour éviter de se comparer aux autres.
  • Consulter un thérapeute.
  • Éliminer les drains émotionnels comme les relations toxiques.

    Repos social

    Les signes d’un besoin de ce type de repos

    • Se sentir seul.
    • Se sentir détaché de vos amis ou de votre famille.
    • Se sentir drainé par les personnes qui vous entourent.

    Les solutions

    • Passer du temps de qualité avec quelqu’un qui vous redonne de l’énergie.
    • S’éloigner des personnes qui vous pompent de l’énergie.
    • Rejoindre un groupe ou un club de personnes partageant les mêmes idées.

    Repos mental

    Les signes d’un besoin de ce type de repos

    • Manque d’énergie mentale.
    • Ressentir un brouillard mental.
    • Craquer ou s’irriter facilement.

    Les solutions

    • Bloquer les distractions lors du travail approfondi.
    • Écouter de la musique.
    • Méditer.

    Conclusion

    J’espère que ces renseignements vous seront utiles et vous rendront plus heureux.

    Voici une photo prise à Stoneham lors de mes randonnées.

    Est-ce le chemin qui vous mènera vers l’éden?

    En tout cas, si vous ressentez le besoin de repos créatif et de vivre ce que les Anglais nomment l’émotion awe, c’est un bon endroit!

    Chemin vers le repos(crédit photo Phrenssynnes)

    Photo de Lhom

    Voici Lhom bénéficiant des vertus du repos lors d’une petite pause dans une auberge près du lac de Côme.

    Fenêtre

    Je vous remercie d’avoir lu cette chronique.

    Si vous avez aimé cet article, je vous exprime toute ma gratitude si vous le partagez avec vos amis, votre famille ou sur les réseaux sociaux. 

    Je suis également reconnaissante que vous ayez pris le temps de lire mon texte au complet et de contribuer à la popularité du blogue!

    J’attends vos commentaires avec plaisir, dites-moi ce que vous aimez.

    Bon repos!

    Phrenssynnes

    Souvenir de novembre

    Souvenir de novembre

    Un souvenir fabuleux berce ma mémoire tous les mois de novembre. Je ne sais pas quel âge j’avais, mais c’était l’époque où ma conscience émergeait de ma petite enfance. Assise à la fenêtre, j’attendais. Une espérance peuplait mes journées lentes et monotones. Puis un matin, la voilà. Quelle surprise de voir ces minuscules flocons se déposer avec précaution et former un voile ensoleillé sur la terre gelée! Je m’étais imaginé que des boules de neige, de véritables sphères de huit à dix centimètres chuteraient du ciel. Quel étonnement! Je contemplais ce nouveau décor avec délice. Mon novembre sinistre se troquait en un décembre joyeux. Je ressentais cette première neige comme l’exaucement d’un vœu.

    Le ravissement nous avait menées à l’ivresse, ma sœur et moi. Avant même d’avoir déjeuné, notre mère nous avait chassées dehors avec soulagement. Nous rêvions de glissades, de bonhomme de neige, de joies hivernales. Des heures incalculables de plaisir nous attendaient, enfin terminé le cafard pluvial.

    Des années plus tard, j’étudiais à Montréal et je revenais d’un week-end à Québec par un dimanche soir lugubre. Après un souper au rosbif chez mes parents, mon amoureux venait toujours me reconduire à la gare sur le boulevard Charest. Et me revient cet arrière-goût désagréable, l’odeur des gaz d’échappement des autobus. Le cœur gros, je grimpais dans l’engin qui filerait sur l’autoroute 20 pour me ramener vers mes études en optométrie. Arrivée dans la métropole, je prenais le métro, autre souvenir olfactif pénible. Comment décrire l’odeur du métro? J’embarquais ensuite dans le bus numéro 51 jusqu’à l’université. Le métro ne se rendait pas jusque-là à l’époque. En passant, je saluais la statue d’Édouard Montpetit et grimpais les interminables escaliers jusqu’aux résidences d’étudiant où j’habitais.

    Ce soir-là, mon sac de voyage m’écrasait l’épaule autant que la semaine de travaux, de stage et d’examens qui m’attendait. Le goût du rosbif et des baisers de mon amoureux se dissipait déjà et j’avais hâte de retrouver mon lit. Le corps penché vers l’avant, je cheminais dans la giboulée contre le vent. Pas un être vivant à l’horizon.

    Neige, chêne et ses feuilles (crédit photo Phrenssynnes)
    Instruments d'optométrie (crédit photo Phrenssynnes)

    Puis, j’ai entendu des cris.

    J’ai relevé la tête, c’était des rires. Un jeune étudiant étranger, seul, les deux bras grands ouverts, virevoltait et valsait sur le parvis. Son visage tourné vers les cieux, il s’éclatait de rire. La neige, aussi blanche que son sourire, contrastait avec sa peau foncée. Il gloussait, inclinait la tête vers l’arrière pour la recevoir en plein visage. Ses yeux brillaient autant que les cristaux scintillaient au sol sous la lumière des réverbères.

    Soudain, il me regarda et me dit avec le visage resplendissant : « C’est de la neige! »

    Une euphorie étira mes lèvres et cette gaité enfantine m’était revenue. Quel bonheur de le voir savourer sa première neige! Je repensai à mes balles de dix centimètres et le poids de ma semaine à venir s’envola. Après quelques mots avec lui, je grimpai la dernière volée de marches en dansant au même rythme que les flocons.

    Photo de Lhom

    Lhom a choisi cette photo. Voici ce qui nous attend dans les prochains mois. Pour ceux qui n’aiment pas la neige, pensez à planifier des activités en plein air et cela vous aidera à mieux vivre vos hivers.

    Neige en hiver (crédit photo Lhom)

    Je vous remercie d’avoir lu cette chronique.

    Si vous avez aimé cet article, je vous exprime toute ma gratitude si vous le partagez avec vos amis, votre famille ou sur les réseaux sociaux. 

    Je suis également reconnaissante que vous ayez pris le temps de lire mon texte au complet et de contribuer à la popularité du blogue!

    J’attends vos commentaires avec plaisir, dites-moi ce que vous aimez.

    Bonne semaine.

    Phrenssynnes

    Pour me suivre et ne rien manquer, inscrivez vous à ces deux publications.

    En vous abonnant sur le blogue (sur la plateforme WordPress), vous recevez le samedi matin ma dernière publication sur différents sujets : la culture, la bouffe, les voyages ou certaines réflexions.

    Abonnez-vous au blogue

    Pour recevoir les dernières publications du blogue :

    Vous pouvez aussi souscrire à mon infolettre mensuelle (sur la plateforme Substack). Sur une note légère, humoristique et positive, je partage les idées géniales découvertes lors de mes navigations sur le web et qui mérites votre attention.

    Halloween 2024

    Halloween

    Enfant, j’adorais me déguiser.

    Mon petit frère et moi avions sept années de différence, ce qui me permettait d’étirer l’âge pour fêter l’Halloween. Pour mon plus grand plaisir, j’avais hérité de la tâche de l’accompagner. Je continuais à ramasser des friandises alors que mes copines se jugeaient trop grandes.

    Halloween dans les années 70 (crédit photo Phrenssynnes)
    Masque d'Halloween (crédit photo Phrenssynnes)

    Se déguiser à l’école

    À l’école, nous avions comme projet obligatoire d’écrire des sketches. Il s’agissait de petites pièces de théâtre que nous composions en groupe. On devait ensuite les jouer devant la classe.

    Et là, il fallait se déguiser. Youpi!

    Je me souviens, entre autres, d’une fois à la fin de l’école primaire. Dans une scène, je jouais le rôle d’une épouse si en colère contre son mari, qu’elle lui lançait un œuf. Mon mari était joué par un rouquin, Michel qui restait au bout de notre rue. Son déguisement consistait en de vieux habits et une vieille calotte verte que j’avais chipés à mon père. Je ne me souviens pas des détails de l’histoire. Mais je me rappelle que j’avais un œuf. Un seul.

    J’avais bien mimé la colère, je lui criais après, alors que lui devait s’éloigner de moi, comme prévu dans le scénario. Nous avions pratiqué la scène mais pas le geste.

    J’ai toujours été une enfant gauche. Je n’étais pas très douée pour les sports et je n’avais jamais lancé une balle de baseball de ma vie. Michel devait le savoir.

    Et, je lui ai lancé l’œuf. J’ai visé dans le mille, à mon grand étonnement!

    En plein derrière la tête, dans le milieu de la casquette verte.

    Je fus si étonnée. Et lui aussi. Le rythme de son pas diminua pendant que l’œuf visqueux lui dégoulinait dans le cou.

    Mais « The show must go on! »

    Michel et moi avons réussi, avec beaucoup de difficulté, à retenir notre fou rire pendant que toute la classe se bidonnait.

    Je ne sais pas si mon père a porté sa calotte verte après cet évènement!

    Halloween couple de zombies (crédit photo Phrenssynnes)

    L’Halloween pour mes enfants

    J’ai transmis à mes filles la joie de fêter cette journée d’épouvante.

    La première fois que nous avons sonné aux portes, ma fille aînée devait avoir environ deux ans. Dès les premiers bonbons, elle s’est assise sur le bord du trottoir et a commencé à les déguster. J’ai dû travailler fort pour la persuader de continuer la collecte.

    Au fil des ans, nous l’avons fait malgré le froid et même la neige. Les enfants revenaient excitées de l’école. J’avais prévu un souper rapide et ensuite je les déguisais. Puis, vers vingt heures, épuisées, elles déversaient chacune leur montagne de friandises sur le tapis du salon.

    Des jours et des jours de gâteries.

    Depuis le temps, cette fête, d’origine américaine est de plus en plus soulignée au Québec. Elle met un petit grain de sel dans la noirceur de l’automne. Nous achetons tous des citrouilles et d’autres décorations.

    J’essaye de faire ma part et de cuisiner la citrouille au lieu de la jeter aux poubelles.

    Citrouille Halloween 2024 (crédit photo Phrenssynnes)
    Tasse de thé (crédit photo Phrenssynnes)

    L’Halloween pour une grand-mère

    Depuis que je suis grand-mère, ma fille m’a prévenue que les choses ont changé.  Non seulement on doit avoir une citrouille mais elle doit être illuminée pour avoir la visite des enfants déguisés. D’une année à l’autre, l’achalandage fluctue et cet automne, nous avons eu peur de manquer de bonbons. Il faut croire que la chandelle dans la citrouille a attiré la clientèle!

    Si nous n’avions pas cette fête, il faudrait l’inventer.

    Comme les autres plaisirs de cette sombre saison : cuisiner de la soupe à la courge butternut, se délecter de gâteau aux pommes et rêver d’une dinde avec de la purée de patate douce. Lire un bon roman avec une tasse de thé. Grimper des montagnes sur des sentiers remplis de feuilles mortes. Et pourquoi ne pas participer au NaNoWriMo?

    L’automne s’avère une belle saison pour écrire.

    En conclusion, je ne sais pas ce qu’est devenu Michel. En tout cas, il n’est pas devenu acteur.

    Moi non plus, pourtant j’aimais bien me déguiser et jouer la comédie.

    C’est peut-être là que j’ai pris le goût d’écrire et espérer faire rire toute la compagnie.

    Photo de Lhom

    Dans le thème de saison, Lhom nous présente une photo des décorations que l’on peut voir en saison à Ogunquit, Maine. Ça vaut le déplacement!

    Halloween à Ogunquit (crédit photo Lhom)

    Je vous remercie d’avoir lu cette chronique au complet!

    Si vous avez aimé cet article, je vous exprime toute ma gratitude si vous le partagez avec vos amis, votre famille ou sur les réseaux sociaux. 

    Je suis également reconnaissante que vous ayez pris le temps de lire mon texte au complet et de contribuer à la popularité du blogue!

    J’attends vos commentaires avec plaisir.

    Bonne semaine.

    Phrenssynnes

    Pour me suivre et ne rien manquer, inscrivez vous à ces deux publications.

    En vous abonnant sur le blogue (sur la plateforme WordPress), vous recevez le samedi matin ma dernière publication sur différents sujets : la culture, la bouffe, les voyages ou certaines réflexions.

    Abonnez-vous au blogue

    Pour recevoir les dernières publications du blogue :

    Vous pouvez aussi souscrire à mon infolettre mensuelle (sur la plateforme Substack). Sur une note légère, humoristique et positive, je partage les idées géniales découvertes lors de mes navigations sur le web et qui mérites votre attention.

    Chronique littéraire: Le garçon d’encre de Marie-Christine Chartier

    J’ai lu Le garçon d’encre

    Le 12 août dernier, j’ai acheté mon livre québécois. Si vous ne comprenez pas le lien avec le 12 août, je vous invite à lire cet article.

    J’ai choisi, cette année, un livre de Marie-Christine Chartier, une auteure que je ne connais pas du tout. Le garçon d’encre a obtenu la deuxième place pour les ventes de livres littéraires cette journée-là.

    Il y a quelqu’un qui a bien fait son travail!

    Je l’ai choisi pour plusieurs raisons. La présentation et l’esthétique du bouquin s’avèrent professionnelles. Tel que vous pouvez le constater, le texte de la quatrième de couverture attise notre curiosité.

    Quatrième de couverture

    Quatrième de couverture   Le garçon d'encre (crédit photo Phrenssynnes)
    Le garçon d'encre 1 (crédit photo Phrenssynnes)

    Ce que j’ai aimé

    Pourquoi Maxine n’a pas envie de retourner dans la maison de son enfance?

    Notre curiosité est piquée.

    Et l’on veut savoir d’où vient le cynisme de l’héroïne et pourquoi elle est si braquée contre le monde, la vie et le bonheur. Avec une écriture fluide et bien rythmée, l’auteure nous fait ressentir des émotions universelles.

    J’ai beaucoup aimé la personnalité mordante de Jeannie, une grande amie de Maxine. Ses remarques caustiques ajoutent beaucoup de saveur aux dialogues.

    On retrouve beaucoup de mots anglais parsemés dans les dialogues. Mais ce langage représente bien les personnages. Je n’ai pas trouvé ça irritant comme dans le roman Lourdes de Catherine Lemieux.

    J’admire l’intelligence émotionnelle de JP, l’ancien amoureux de Maxine.

    Bref, j’aime beaucoup les personnages que Marie-Christine Chartier a créés dans Le garçon d’encre. Leur authenticité les démarque.

    Le garçon d'encre2 (crédit photo Phrenssynnes)

    Citation

    « Peu à peu, le rythme s’accélère, les notes explosent contre les murs de la maison, d’une violence que je ne me connaissais pas, ou plutôt que je ne me permets jamais d’exprimer. »

     

    Marie-Christine Chartier dans Un garçon d’encre.

    Ce que j’ai moins aimé

    J’avoue que je suis un peu déçue de la fin sans pouvoir vous l’expliquer puisque je ne veux pas divulgâcher l’histoire. L’auteure tire l’élastique un peu fort, mais d’un point de vue littéraire, c’est acceptable.

    Malgré cela, j’ai envie de lire d’autres livres de Marie-Christine Chartier.

    Citation du livre Le garçon d’encre

    « Le condo d’Éric offre une des meilleures vues de la ville: le Petit Champlain qui s’étale sous nos pieds, puis le fleuve, et enfin Lévis, sur l’autre rive. Pas que ce soit très beau, Lévis, mais avec les remparts illuminés la nuit, on pourrait se croire ailleurs, peut-être en Europe. Comme un mirage. »

    Marie-Christine Chartier.

    Photo de Lhom

    En lien avec l’histoire de Marie-Christine Chartier, Lhom nous offre cette semaine une photo prise dans le vieux Québec. Près de l’endroit même où se trouvait Maxine dans une scène au début du roman.

    Un bateau au vieux port de Québec (crédit photo Lhom)

    Recommandations

    À lire si :

    • vous prévoyez voyager dans la région du Saguenay prochainement.
    • vous aimez les romans québécois.
    • vous avez envie de découvrir une jeune auteure qui a beaucoup d’avenir.

    La connaissiez-vous, Marie-Christine Chartier?

    Je vous remercie d’avoir lu cette chronique.

    Si vous avez aimé cet article, je vous exprime toute ma gratitude si vous le partagez avec vos amis, votre famille ou sur les réseaux sociaux. 

    Je suis également reconnaissante que vous ayez pris le temps de lire mon texte au complet et de contribuer à la popularité du blogue!

    J’attends vos commentaires avec plaisir.

    Bonne semaine.

    Phrenssynnes

    P.S.: Je n’ai pas avisé, avant publication, les auteurs et éditeurs mentionnés dans cet article.

    Abonnez-vous au blogue

    Pour recevoir les dernières publications du blogue :

    En vous abonnant sur le blogue (sur la plateforme WordPress), vous recevez le samedi matin ma dernière publication sur différents sujets : la culture, la bouffe, les voyages ou certaines réflexions.

    Vous pouvez aussi souscrire à mon infolettre mensuelle (sur la plateforme Substack). Sur une note légère, humoristique et positive, je partage les idées géniales découvertes lors de mes navigations sur le web et qui mérites votre attention.

    Heureuse tristesse

    C’est l’automne

    Je vous offre cette semaine une autre nouvelle avec une atmosphère aussi mélancolique que la saison automnale. Même si c’est le mois de l’horreur avec la fête de l’Halloween, je me laisse plus submerger par le sentiment de nostalgie que par la peur.

    Cette citation d’un célèbre poème de Verlaine m’émeut à chaque lecture.

    « Chanson d’automne

    Les sanglots longs
    Des violons
    De l’automne
    Blessent mon coeur
    D’une langueur
    Monotone.

    Tout suffocant
    Et blême, quand
    Sonne l’heure,
    Je me souviens
    Des jours anciens
    Et je pleure

    Et je m’en vais
    Au vent mauvais
    Qui m’emporte
    Deçà, delà,
    Pareil à la
    Feuille morte. »

    Paul Verlaine dans Poèmes saturniens.

    Ruisseau l'automne à Stoneham (crédit photo Phrenssynnes)

    Une nouvelle pour l’automne

    Voici ma nouvelle intitulée Heureuse tristesse :

    Heureuse tristesse

    La voiture s’éloigne sous le déluge.  Voilà! Il est parti, songe-t-elle.  Il n’aurait pu choisir un soir plus triste.  Une pluie à boire debout, qui embrouille tout derrière le carrelage mouillé.

    Le ciel pleure pour elle.

    Autre soupir.

    Elle s’assoit face à la fenêtre et réussit à ouvrir son nouveau livre. Avant de le commencer, comme à son habitude, elle va à la fin et consulte la toute dernière phrase.  Elle n’y pige rien, évidemment. Par contre, elle croit que, telle une graine, cette ultime phrase contient tout le récit.  Elle essaye d’imaginer le roman. Quand elle arrivera à la dernière phrase, pour la deuxième fois, après avoir parcouru la fiction, elle en comprendra toute l’étendue. Comme par magie, elle connaîtra toute l’histoire.

    Puis, elle amorce sa lecture des premiers mots du bouquin, l’incipit, qu’elle reliera aussi un deuxième coup.

    Ce soir, elle a vécu une dernière phrase, se console-t-elle.

    La tristesse de cette veillée pluvieuse lui serre le cœur. Elle le savait, s’y attendait, mais pas à une telle intensité.

    Elle a fourni tant d’effort pour remplir son existence.

    Au moment du départ, elle a choisi de demeurer là pour lui souhaiter bonne chance, bien lui montrer la fierté et la confiance qu’elle a en lui. Le rassurer, qu’elle ne ressentait ni rage ni furie comme il l’avait craint.

    Ce départ est dans l’ordre des choses.

    Livre sur sofa (crédit photo Phrenssynnes)

    Toutefois, elle se surprend. Elle n’avait pas imaginé la sensation lorsqu’il l’a prise dans ses bras. Tant de serrement dans sa gorge, tant de flou à travers ses larmes, tant de tumulte en entendant le moteur de la voiture démarrer.

    Mais elle n’a pas flanché, a tenu bon sous le déluge qui s’abattait derrière la vitre mouillée de son cœur.  Elle a même réussi à sourire en lui tendant la boîte de sucre à la crème. Sa douceur préférée qu’elle lui a cuisinée.

    Tombe, tombe la pluie.

    Elle tourne les pages de son roman, se laisse bercer par le charme des flots diluviens, se cale dans le moelleux de son fauteuil.

    Elle sent monter en elle un tendre sentiment de caramel mou et onctueux.

    Ce soir, elle a vécu une dernière phrase, une belle finale.

    Un vague sourire éclaire son visage en pensant qu’il vit en ce moment le souffle, le devenir, l’élan prometteur des premiers mots d’une histoire. Le début de sa propre épopée.

    Elle s’est gardé quelques sucreries. Et tendant la main vers un morceau, elle se dit qu’après tout, la nuit est faite pour pleuvoir, les pages d’un roman pour être tournées et le sucre à la crème mangé.

    Sa confiserie avalée, elle déguste ce sentiment avec une heureuse tristesse.

    Et se laisse bercer par la plénitude de cet aboutissement qu’est le départ de son fils, devenu un homme.

    Photo de Lhom

    Dans le thème automnal de cette semaine, Lhom nous présente cette photo remplie de feuilles multicolores prise près de Lenox, Massachusetts.

    Sentier d'automne (crédit photo Lhom)

    Je vous remercie d’avoir lu ce texte.

    Si vous l’avez aimé, je vous exprime toute ma gratitude si vous le partagez avec vos amis, votre famille ou sur les réseaux sociaux. 

    Je suis également reconnaissante que vous ayez pris le temps de lire mon texte au complet et de contribuer à la popularité du blogue!

    J’attends vos commentaires avec plaisir.

    Bonne semaine.

    Phrenssynnes

     

     

     Cliquez ici pour lire d’autres articles sur Phrenssynnes se cultive.

    book club illustration1  (credit DIVI)

    Abonnez-vous au blogue

    Pour recevoir les dernières publications du blogue :

    En vous abonnant sur le blogue (sur la plateforme WordPress), vous recevez le samedi matin ma dernière publication sur différents sujets : la culture, la bouffe, les voyages ou certaines réflexions.

    Vous pouvez aussi souscrire à mon infolettre mensuelle (sur la plateforme Substack). Sur une note légère, humoristique et positive, je partage les idées géniales découvertes lors de mes navigations sur le web et qui mérites votre attention.

    Biscuits santé sans cuisson

    Biscuits sans cuisson

    À l’approche de l’hiver, nous avons souvent envie de manger des aliments sucrés. J’ai trouvé une façon de se gâter sans engouffrer trop de glucides. Voici ma recette de biscuits sans cuisson.

    Facile et rapide à exécuter, cette recette vous comblera avec une bonne tasse de thé ou de café.

    Biscuits santé sans cuisson et tasse (crédit photo Phrenssynnes)

    Biscuits santé sans cuisson

    Ingrédients

    Pour les biscuits

    • 325 ml (1 1/3 tasse) de flocons d’avoine
    • 60 ml (1/4 tasse) d’amandes effilées
    • 60 ml (1/4 de tasse) de noix de Grenoble hachées
    • 125 ml (1/2 tasse) de beurre d’arachides naturel
    • 10 dattes entières dénoyautées
    • 5 ml (1 cuillère à thé) d’essence de vanille
    • 60 ml (1/4 tasse) de canneberges séchées
    • un peu d’eau si la pâte est trop granuleuse (1 cuillère à thé à la fois)

    Pour la sauce au chocolat

    • Environ 75 g de chocolat noir
    • 15 à 30 ml (1 à 2 cuillères à table) de lait ou de boisson de soya

    Préparation

    Étape 1

    Faites ramollir le beurre d’arachides quelques secondes dans le four micro-ondes (entre 5 et 30 secondes selon votre appareil).

    Mettez tous les ingrédients dans un robot culinaire et malaxez. La pâte doit se compacter lorsqu’on la presse dans la paume de la main. Si elle est trop grumeleuse, ajoutez une cuillère à thé d’eau jusqu’à ce que le mélange se tienne mieux.

    Étape 2

    Façonnez la pâte pour former des galettes.

    Étape 3

    Placez les galettes au frigo pendant que vous préparez la garniture au chocolat.

    Étape 4

    Faites fondre le chocolat au bain-marie ou au micro-ondes. Ajoutez le lait ou la boisson de soya. Mélangez afin d’avoir une sauce onctueuse.

    Étape 5

    Recouvrez la base de chaque biscuit de sauce au chocolat et replacez-les au frigo.

    Bon appétit!

    La pâte des biscuits sans cuisson

    Vous pouvez voir ici comme le mélange est granuleux.

    Le secret est d’avoir un bon équilibre entre le beurre d’arachides et l’eau pour que la pâte se tienne et ne soit pas trop collante.

    Vous pouvez remplacer les canneberges séchées par des raisins secs ou des pépites de chocolat.

    La pâte des biscuits santé sans cuisson (crédit photo Phrenssynnes)

    Pourquoi ces biscuits sont-ils sains?

    Madame Labriski compare les valeurs nutritives d’une tasse de dattes avec la même quantité de sucre blanc, de cassonade, de sirop d’érable et de miel.

    Donc, pour une quantité équivalente, les dattes renferment moins de glucides, de sucre, de calories et plus de fibres. Alors, c’est une bonne idée de sucrer vos recettes avec des dattes ou de la purée de dattes.

    Si vous êtes sensible au gluten, ces galettes n’en contiennent pas. Et pour les intolérants au lactose, utilisez votre boisson sans lactose préférée.

    Cette recette n’est pas entièrement sans sucre ajouté puisqu’il y en a dans le chocolat. Mais la quantité s’avère sûrement moindre que pour les biscuits achetés.

    Tasse de thé (crédit photo Phrenssynnes)

    Je vous remercie d’avoir lu cette chronique.

    Si vous avez aimé cet article, je vous exprime toute ma gratitude si vous le partagez avec vos amis, votre famille ou sur les réseaux sociaux. 

    Je suis également reconnaissante que vous ayez pris le temps de lire mon texte au complet et de contribuer à la popularité du blogue!

    J’attends vos commentaires avec plaisir.

    Bonne semaine.

    Phrenssynnes

    Trouver un équilibre peut être un défi mais manger sainement n’a pas besoin d’être compliqué!

    Abonnez-vous

    Pour recevoir les dernières publications du blogue :

    Faire du vélo à Québec

    Des belles pistes de vélo près de Québec

    La popularité du vélo a grimpé en flèche ces dernières années et les gens recherchent des endroits agréables pour se promener.

    À Québec, nous sommes gâtés car nous avons un réseau de pistes cyclables extraordinaires. Aujourd’hui, je vous en présente deux qui se démarquent.

    Piste La Liseuse

    Nous avons découvert, cette année, le chemin de la Liseuse qui relie les petites villes de Sainte-Catherine-de-la-Jacques-Cartier et Pont-Rouge. Située à environ 30 minutes de la ville de Québec, la piste longe la rivière Jacques-Cartier. Ce sentier de poussière de pierre sillonne un magnifique boisé. L’hiver, la même piste ravit les skieurs de fond et c’est aussi un bel endroit pour marcher.

    Sentir les parfums de la forêt, voir la rivière à travers les branches, faire une pause pour observer et entendre les rapides du cours d’eau, c’est une expérience sensorielle fantastique.

    Vous trouverez, clairsemés sur le sentier, des poèmes d’Anne Hébert et de Saint-Denys-Garneau, tous deux originaires de cette petite municipalité.

    Vous pouvez partir de Sainte-Catherine, mais également de Pont-Rouge, où la piste change de nom pour la Dansereau. Si vous faites un aller-retour, vous pédalerez sur une distance d’environ 28 kilomètres.

    Prévoyez un pique-nique que vous pourrez déguster soit au départ, à l’arrivée ou même sur le parcours, car il y a plus d’un endroit où vous pourrez vous installer.

    Voici le lien pour obtenir plus de renseignements.

     

     

    Pancarte sur la piste de vélo (crédit photo Phrenssynnes)
    La Liseuse en poussière de pierre (crédit photo Phrenssynnes)
    Paysage en vélo à Québec (crédit photo Phrenssynnes)
    Rivière Jacques-Cartier (crédit photo Phrenssynnes)

    Le parc linéaire de la Rivière-Saint-Charles

    La piste de la rivière St-Charles 1 (crédit photo Phrenssynnes)

    Faire du vélo dans la ville de Québec

    Vous pouvez profiter du parc linéaire de la Rivière-Saint-Charles pour faire de la bicyclette en été, du ski de fond en hiver et de la marche en toutes saisons. Pour les amateurs de chiens, vous connaissez peut-être le parc canin, un bel endroit où votre toutou peut s’époumoner en galopant ou rencontrer ses congénères.

    Consultez cette carte pour choisir comment accéder à la piste.

    Cette route de vélo est reliée à celle sur le bord du fleuve Saint-Laurent en bordure du boulevard Champlain.

    Voici le lien pour obtenir plus de renseignements sur le parc linéaire de la Rivière-Saint-Charles.

    Fleurs sauvages à Québec (crédit photo Phrenssynnes)
    Les ponts de la rivière St-Charles (crédit photo Phrenssynnes)

    Traverser les ponts en vélo

    Plusieurs ponts jonchent la rivière donc vous pouvez ainsi vous promener d’un côté à l’autre si vous le désirez.

    La première fois que j’ai pédalé sur cette piste, j’avais l’impression d’être une touriste dans ma propre ville. Voici un parc où resplendit la verdure au cœur de l’urbain.

    On peut observer la faune et la flore de ce milieu naturel.

    Vous remarquerez beaucoup de marcheurs, mais le partage des sentiers s’avère facile.

    Des fleurs sauvages en ville

    Vous verrez plusieurs aménagements paysagers, mais aussi des fleurs sauvages.

    Ce parc représente 32 kilomètres de sentiers pédestres.

    Vélo à Québec 1 (crédit photo Phrenssynnes)
    Vue sur la rivière St-Charles (crédit photo Phrenssynnes)
    Piste vélo rivière St-Charles 2 (crédit photo Phrenssynnes)
    Fresques colorées (crédit photo Phrenssynnes)
    Œuvres d'art sur la piste de vélo (crédit photo Phrenssynnes)
    Des viaducs multicolores (crédit photo Phrenssynnes)

    Des œuvres d’art à voir en vélo

    En plus du parc canin et de nombreux emplacements pour faire une pause ou un pique-nique, vous remarquerez plusieurs œuvres d’art.

    Vous pouvez constater que la voie est couverte d’asphalte tout au long du tracé. Et, elle est identifiée en treize secteurs.

    Voici le parcours que nous effectuons habituellement. Nous partons du quai des Cageux et nous roulons vers le vieux port. En suivant la piste cyclable, nous nous dirigeons vers le parc linéaire. Après avoir fait le tour, nous sortons à la rue Marie-de-l’Incarnation pour remonter par la côte de la Pente-Douce. Oui, la fin s’avère un défi pour les mollets et le cardio! Après tout, c’est la raison pour laquelle on pédale!

    Vue sur la rivière 1 (crédit photo Phrenssynnes)
    Piste vélo à Québec (crédit photo Phrenssynnes)
    Vue sur la rivière 2 (crédit photo Phrenssynnes)

    Faire du vélo l’automne

    La saison du vélo se terminera bientôt, mais la température clémente de cette année nous permet de la prolonger. Imaginez, pédalant sur votre bécane à travers les merveilleuses couleurs automnales, à sentir les odeurs des feuilles mortes et entendre le gazouillis des oiseaux. Et vous ferez sûrement une pause en croquant dans une pomme fraîche!

    Photo de Lhom

    Pour la beauté de son environnement, le sentier du chemin de la Liseuse arrive en première position selon lui. Pour la photo de la semaine, il vous offre une image de la vue qu’on peut y admirer.

    Rivière Jacques-Cartier 3 (crédit photo Lhom)

    Et vous? Quelle est votre piste de vélo préférée?

    Je vous remercie d’avoir lu cette chronique.

    Si vous avez aimé cet article, je vous exprime toute ma gratitude si vous le partagez avec vos amis, votre famille ou sur les réseaux sociaux. 

    Je suis également reconnaissante que vous ayez pris le temps de lire mon texte au complet et de contribuer à la popularité du blogue!

    J’attends vos commentaires avec plaisir.

    Bonne semaine.

    Phrenssynnes

    Abonnez-vous au blogue

    Pour recevoir les dernières publications du blogue :

    En vous abonnant sur le blogue (sur la plateforme WordPress), vous recevez le samedi matin ma dernière publication sur différents sujets : la culture, la bouffe, les voyages ou certaines réflexions.

    Vous pouvez aussi souscrire à mon infolettre mensuelle (sur la plateforme Substack). Sur une note légère, humoristique et positive, je partage les idées géniales découvertes lors de mes navigations sur le web et qui mérites votre attention.

    Lumière dorée prise de Perkins Cove (crédit photo Phrenssynnes)

    Pour lire en plus sur les aventures de Brittany Brexit et autres voyages.

    Comment trouver un bon livre

    Comment se choisir un livre?

    La lecture est une activité agréable et bénéfique. Tel que j’en ai déjà discuté dans cet article, vous pouvez profiter des avantages de la lecture dans plusieurs domaines de votre vie. Que vous soyez à la retraite ou un travailleur acharné, lire vous apportera des moments de bonheur.

    Pour quelqu’un qui ne pratique pas ce passe-temps, il peut parfois être ardu de commencer. On ne sait pas quoi lire, on ne sait pas où se les procurer, quels sont les grands classiques à privilégier? Comment connaître les dernières parutions?

    J’essayerai dans cet article de répondre à vos interrogations.

    Des lunettes roses pour lire La puissance de la joie (crédit photo Phrenssynnes)

    Les grands principes

    Le plaisir

     

    Lorsqu’on veut commencer à pratiquer un passe-temps, l’important est d’y aller avec le plaisir et progressivement. Est-ce primordial de se plonger dans les grands classiques? Non, évidemment. Et vous n’êtes pas obligé, non plus, de vous lancer dans le dernier pavé à la mode, celui que toute la planète lit.

    La liberté

     

    Lire de la fiction ou des essais? Vous pouvez lire les deux et même passer d’un bouquin à l’autre.

    La bibliothèque

     

    Inscrivez-vous à la bibliothèque de votre ville. Cela vous permettra d’expérimenter et d’essayer une panoplie de romans, d’essais ou même de biographies.

    Dites-vous que lorsque vous débutez un livre, vous n’êtes pas obligé de le terminer! Certains lecteurs donnent cinquante pages d’attention à l’auteur. S’ils ne sont pas captivés après, ils se donnent le droit d’abandonner.

    L’emprunt dans une bibliothèque vous permettra d’oser sans investir. Et vous permet d’être minimaliste car partager les livres s’avère être une bonne façon de ne pas s’encombrer. C’est bon pour la planète.

    Papier ou numérique

     

    Papier

    Lire un vrai bouquin en papier offre une expérience sensorielle incomparable. Imaginez être assis confortablement dans un bon fauteuil à côté d’une fenêtre où tambourine la pluie. D’une main, vous tenez votre tasse de thé et de l’autre, votre lecture. Ah! quel plaisir!

    Mais, si vous achetez un livre papier, vous devrez lui trouver une place dans une bibliothèque de votre maison. À moins que vous ne le donniez à un ami.

    Vous avez aussi l’option de faire une donation dans une boîte de livres. Faites une recherche sur Google Maps et vous pourrez trouver la localisation de ces boîtes.

    Biblio encombrée (crédit photo Phrenssynnes)
    Ma biblio (crédit photo Phrenssynnes)

    Numérique

    Le numérique offre l’avantage de la légèreté. Ce qui s’avère pratique lorsqu’on part en voyage et qu’on veut apporter plusieurs livres.

    Le poids léger est aussi un bénéfice lors de la lecture.

    Un livre numérique n’encombrera pas votre maison une fois que vous l’aurez terminé.

    Par contre, il faut apprendre comment télécharger l’œuvre sur votre tablette ou liseuse lors de l’achat ou de l’emprunt. Habituellement, on donne des consignes claires.

    Liste de Derek Sivers Capture écran de Phrenssynnes)

    Les recommandations de lecture

    Souvent les hommes aiment moins lire. Pourtant, la plupart des leaders connus sont de grands lecteurs. Certains rédigent des listes de suggestions d’œuvres littéraires ou d’essais. En voici quelques-unes contenant des œuvres de fiction ou des essais. Ces listes sont en anglais mais vous pouvez souvent trouver une traduction française.

    Citation

    « La lecture est importante. Si vous savez lire, alors le monde entier s’ouvre à vous. »

    Barak Obama

    Les trucs pour avoir des idées de lecture

    Émissions littéraires

    Écouter des émissions littéraires s’avère être une bonne façon de découvrir plusieurs idées.

    Cliquez ici pour celles de Radio-Canada.

    Balado littéraire

    Il existe une panoplie de balados ayant comme thème la littérature.

    Cliquez ici pour en découvrir quelques-uns.

    La librairie

    Devenez ami avec votre libraire du coin. En développant une bonne relation, vous pourrez discuter de vos coups de coeur.

    Et vos amis

    Demandez à vos amis ou aux membres de votre famille ce qu’ils lisent présentement. Vous serez surpris de toutes les suggestions que vous pouvez récolter.

    Icône de Balados (capture écran de Phrenssynnes)
    Capture écran collectif polar par Phrenssynnes

    Suivre des blogues littéraires

    Il existe une panoplie de blogues ayant comme sujet la lecture et la littérature. Vous pouvez fouiner sur des plateformes. WordPress.com regorge d’une panoplie incroyable de sites de ce genre. Voici des recommandations.

    Vous pouvez rechercher des groupes ou des clubs de lecture sur Facebook.

    Connaissez-vous le site quialu.ca?

    Lire des livres anciens ou nouveaux?

    Afin de connaître les nouveautés vous pouvez consulter la liste des best-sellers du New York Times. Oui, c’est en anglais mais les traductions sont souvent publiées par la suite.

    Vous pouvez vous intéresser aux prix littéraires.

    Afin de découvrir des grands classiques littéraires, vous pouvez faire des recherches Internet ou en parler à votre entourage.

    J’ai reçu il y a longtemps un livre en cadeau qui m’a fait découvrir Edith Wharton.

    N’oubliez pas qu’il existe les grands classiques de la littérature en général mais aussi de chaque langue ou dans chaque genre. Qu’avez-vous envie d’explorer? À vous de choisir.

     

    Succès littéraires (crédit photo Phrenssynnes)
    Livres anciens (crédit photo Phrenssynnes)

    Ce que je lis présentement

    Je lis présentement Les lendemains de Mélissa Da Costa, Lourdes de Catherine Lemieux, Libérez votre créativité de Julia Cameron et L’anatomie du scénario de John Truby. 

    Quels sont les livres à lire absolument dans sa vie?

    La réponse est simple, ceux dont vous avez envie et qui vous font plaisir!

    Photo de Lhom

    Lhom nous offre, cette semaine, une photo prise dans un parc de Savannah en Georgie. Hum… Voici un autre endroit pour s’installer avec un bon livre, profiter de la lecture et du plein air.

    Parc à Savannah (crédit photo Lhom)

    Êtes-vous un lecteur débutant ou chevronné? 

    Si vous êtes un lecteur assidu, comment trouvez-vous vos lectures? 

    J’attends vos commentaires avec plaisir.

    Bonne semaine.

    Phrenssynnes

    P.S. Les auteurs, éditeurs ou sites mentionnés n’ont pas été mis au courant de ce projet avant publication.

     

      Cliquez ici pour lire d’autres articles sur Phrenssynnes se cultive.

    book club illustration (credit DIVI)

    Pour me suivre et ne rien manquer, inscrivez vous à ces deux publications.

    En vous abonnant sur le blogue (sur la plateforme WordPress), vous recevez le samedi matin ma dernière publication sur différents sujets : la culture, la bouffe, les voyages ou certaines réflexions.

    Abonnez-vous au blogue

    Pour recevoir les dernières publications du blogue :

    Vous pouvez aussi souscrire à mon infolettre mensuelle (sur la plateforme Substack). Sur une note légère, humoristique et positive, je partage les idées géniales découvertes lors de mes navigations sur le web et qui mérites votre attention.

    Comment créer une chanson avec l’intelligence artificielle

    Chanson et IA

    Récemment, lors d’une fête à laquelle nous avons participé, nous avons entendu quelque chose d’unique.

    Un des convives nous a présenté une chanson personnalisée pour le jubilaire. Ce fut, bien sûr, le clou de la soirée! Étant donné que Lhom et moi étions conviés prochainement à un anniversaire de mariage, nous voulions absolument savoir comment faire.

    C’est ainsi que nous avons découvert que l’intelligence artificielle (IA) avait créé la mélodie.

    Nous avons réussi à concevoir une rengaine à propos de nos amis. On s’est bien amusés non seulement à la créer, mais aussi à la fête. Vous auriez dû voir les yeux du couple lorsqu’ils ont entendu la pièce vocale qui incarnait le thème de leur histoire d’amour.

    On peut faire beaucoup de choses avec l’intelligence artificielle (IA) mais je constate à peine l’étendue de ce qu’on peut réaliser. Comme déjà mentionné dans cet article, je ne veux pas me servir de l’IA pour écrire. Composer des textes s’avère être un véritable plaisir.

     

    Les étapes à suivre pour composer une chanson avec l’IA

    Composer les paroles

    Vous pouvez composer vous-même les paroles. Nous avons décidé d’utiliser Claude, une IA que j’ai découverte par l’entremise de Seth Godin.

    Ensuite, j’ai effectué un copier-coller sur mon application « note ». J’ai modifié les paroles afin de les rendre plus amusantes.

    Veuillez bien réviser votre texte. On ne peut pas les changer une fois la musique générée et garder la même mélodie.

    IA Claude (capture écran de Phrenssynnes)

    Évidemment, vous devrez vous créer un compte avec une adresse de courriel pour chaque application. J’utilise une adresse électronique Hotmail (ça peut être Gmail). Puisqu’à tout bout de champ, on se la fait demander, c’est pratique d’en détenir une pour les affaires importantes et une autre pour les choses qui le sont moins.

    Suno 1(capture écran de Phrenssynnes)

    IA pour la musique

    Lhom et moi avons essayé quelques sites, mais nous avons préféré Suno.com tel qu’on nous l’avait recommandé.

    L’application peut aussi vous créer des paroles mais nous ne les avons pas aimées. Peut-être parce que nous voulions que notre chanson soit en français.

    C’est pourquoi il est souhaitable de composer votre texte ou de le faire générer par une autre IA.

    Custom

    Pour utiliser vos propres paroles, vous devez cliquer sur le bouton « custom ». Faites ensuite un copier-coller dans la case des paroles.

    Puis, vous choisissez le style de musique et vous l’indiquez dans la case appropriée. Rock, pop, rap, jazz, à vous de sélectionner.

    Dans la section du bas, vous écrivez le titre de votre chanson. Ne l’inscrivez au début du texte car il fera partie de la chanson.

    Suno 2(capture écran de Phrenssynnes)
    Suno 3 (crédit photo Phrenssynnes)

    Créer, copier-coller et c’est terminé!

    Finalement, vous appuyez sur le bouton « create ».

    L’IA génèrera deux pièces musicales que vous pourrez voir du côté droit de l’écran. Vous sélectionnez votre préférée et cliquez sur l’icône « partager » pour copier le lien.

    J’ai copié le lien sur l’application « note » de mon téléphone. Lors de la présentation de la chanson, je n’ai eu qu’à cliquer sur le lien afin qu’on l’entende.

     

     

     

     

    Démonstration d’une chanson créée avec l’IA

    Pour vous faire la démonstration, j’ai décidé de produire une chanson pour le blogue.

    Le générateur de musique crée deux versions. Je vous les présente et j’aimerais que vous votiez dans les commentaires pour me dire laquelle vous préférez.

    Cliquez pour entendre la version 1 Chanson thème du blogue de Phrenssynnes

    https://suno.com/song/35dbeb63-9ae2-4ed8-a8e6-f4912ddf5314

    Cliquez pour entendre la version 2 Chanson thème du blogue de Phrenssynnes

    Nous nous sommes vraiment amusés lors de ces partys.

    Donnez-m’en des nouvelles si vous l’essayez!

    Photo de Lhom

    Sur la route, en compagnie de Brittany Brexit, nous rencontrons parfois des aléas. Nous avons observé ces nuages menaçants dans l’État de New York. Nous n’avons pas eu une seule goutte de pluie. Qui l’eût cru?

    Nuages (crédit photo Lhom)

    Je vous remercie d’avoir lu cette chronique.

    Si vous avez aimé cet article, je vous exprime toute ma gratitude si vous le partagez avec vos amis, votre famille ou sur les réseaux sociaux. 

    Je suis également reconnaissante que vous ayez pris le temps de lire mon texte au complet et de contribuer à la popularité du blogue!

    J’attends vos commentaires avec plaisir.

    Bonne semaine.

    Phrenssynnes

    Pour me suivre et ne rien manquer, inscrivez vous à ces deux publications.

    En vous abonnant sur le blogue (sur la plateforme WordPress), vous recevez le samedi matin ma dernière publication sur différents sujets : la culture, la bouffe, les voyages ou certaines réflexions.

    Abonnez-vous au blogue

    Pour recevoir les dernières publications du blogue :

    Vous pouvez aussi souscrire à mon infolettre mensuelle (sur la plateforme Substack). Sur une note légère, humoristique et positive, je partage les idées géniales découvertes lors de mes navigations sur le web et qui mérites votre attention.

    Le blogue de Phrenssynnes, 6 ans déjà!

    6 ans déjà!

    La rubrique sera différente cette semaine. J’en profite pour mentionner l’anniversaire du blogue et annoncer une collaboration.

    De plus, je désire effectuer quelques mises au point pour vous faciliter la vie lorsque vous naviguez sur le blogue. Cela répondra, j’espère, à vos questions. Si jamais cela ne correspond pas à vos interrogations, je compte sur vous pour me contacter.

    Je suis toujours honorée lorsque vous me consultez, car cela démontre votre intérêt.

    Collaboration

    J’ai récemment collaboré avec Josée Cousineau du blogue Des mots et des images. Je vous invite à aller lire l’article en question. Vous y trouverez d’ailleurs une artiste intéressante. Elle m’impressionne avec ses collages et ses talents photographiques.

    Cap

    Le blogue a maintenant atteint le cap de 300 articles publiés. Si vous avez envie d’y jeter un coup d’œil, cliquez sur la bibliothèque ci-dessous. Notez que vous trouverez aussi ce lien sur la page d’accueil du site. Amusez-vous à naviguer, vous verrez peut-être des sujets que vous n’avez pas consultés.

    Edith Wharton? Mais qui diable est Edith Wharton?

    J’ai choisi de vous parler d’Edith Wharton, car j’aime lire les œuvres des romancières américaines.  Je l’ai découverte dans ce livre offert par ma sœur ou mes parents lors d’un de mes anniversaires. L'histoire des plus grands succès littéraires (crédit photo...

    La meilleure recette de granola

    Granola maison Préparez-vous cette recette facile. Regardez les ingrédients de ce granola maison et vous comprendrez qu'il est bon pour la santé. Bien non, ce n'est pas  la recette de granola de Ricardo! La mienne est moins  sucrée et plus protéinée.  On ajoute...

    Brittany Brexit? Mais qui diable est Brittany Brexit?

    Brittany Brexit, la mini Cooper Rouge, brillante et très British, je suis la rutilante mini Cooper de Phrenssynnes. J'ai été conçue à Oxford, United Kingdom, yes my dear! C'était en 2016, au même moment où Phrenssynnes visitait la célèbre université.  Bloody hell!...

    La meilleure recette de tartare de saumon

    Tartare de saumonQuoi de mieux qu’un bon tartare de saumon assaisonné à notre goût. Cette recette est inspirée de celle de mon ami Martin et son frère, les Lucky Brothers. Portions 2 à 4 portionsPrêt en: 30 minutes Bon pour: Lunch ou entrée ou souperInroduction À...

    Citation de Carl Gustav Jung

    La citation préférée des optométristes!  «Votre vision devient claire lorsque vous regardez dans votre cœur.» Carl Gustav Jung Qui est Carl Gustav Jung? Selon Wikipédia, "il est un médecin psychiatre suisse" né en 1875. Il a été un des premiers disciples de Sigmund...

    Où aller en road trip ou les aventures de Brittany Brexit au Mont Tremblant

    Rouge, brillante et très British, je suis la rutilante mini Cooper de Phrenssynnes. Mais qui diable est Brittany Brexit? Envie d'une escapade d'automne? Indeed!  Pourquoi pas le Mont Tremblant.  Situé au nord de Montréal, c'est un des plus beaux endroits de...

    À mes amis surfers, une citation de Jon Kabat-Zinn

    Citation de Jon Kabat-Zinn « You can't stop the wave, but you can learn to surf. » Si vous avez aimé cette citation, je vous exprime toute ma gratitude si vous la partagez avec vos amis, votre famille ou sur les réseaux sociaux.  Je suis également reconnaissante que...

    Vive Coco Chanel

      Si vous avez aimé cette citation, je vous exprime toute ma gratitude si vous la partagez avec vos amis, votre famille ou sur les réseaux sociaux.  Je suis également reconnaissante que vous ayez pris le temps de contribuer à la popularité du blogue! J’attends...

    Citation de Mark Twain

    Venez découvrir d'autres citations ↓

    Siri Hustvedt. Mais qui diable est Siri Hustvedt?

    Siri Hustvedt?  Mais qui diable est Siri Hustvedt? Siri est une écrivaine américaine mondialement reconnue, elle a fait un Ph.D. en littérature anglaise à l’université Columbia à New York. Elle est issue d’une famille d’origine norvégienne. Poétesse, romancière et...

    L’infolettre

    La semaine prochaine, le 24 août, comme tous les derniers samedis du mois, je publierai mon infolettre sur Substack.

    Je fête le premier anniversaire sur Substack.

    Sur une note légère, humoristique et positive, je partage les idées géniales découvertes lors de mes navigations sur le web et qui méritent votre attention.

    Abonnez-vous pour ne rien manquer!

    Les commentaires

    Étant donné que j’adore lorsque vous me donnez vos avis ou vos appréciations, voici les bons trucs.

    Vous savez que je travaille principalement avec deux plateformes. WordPress pour Le blogue de Phrenssynnes (où je publie trois fois par mois) et Substack pour mon infolettre mensuelle.

    Si vous désirez laisser des réflexions sur Substack, vous devez avoir un compte ou l’application sur votre appareil. C’est un peu comme sur Facebook, si on veut y participer, on doit s’abonner avec une adresse courriel.

    C’est la même chose sur le blogue qui est créé avec WordPress.

    La zone pour inscrire vos commentaires se trouve toujours à la fin du texte.

    Habituellement, je partage mes publications sur Facebook le samedi matin. Vous pouvez, là aussi, répondre et partager le lien.

    J’adore lorsque vous me laissez vos avis ou vos appréciations.

    À la recherche de quelque chose?

    J’ajoute une note pour vous mentionner l’endroit du bouton recherche

    Depuis quelque temps, une lectrice me demande le lien pour la recette de clafoutis, une autre pour l’article sur Les survivants d’Alex Schulman, par exemple.

    Si vous cherchez quelque chose sur le site, une recette, un article sur un livre particulier, pensez à regarder en haut à droite. Vous reconnaîtrez l’icône nécessaire telle que vous voyez sur cette image. Tapez votre mot-clé et vous devriez réussir. Si jamais vous n’arrivez pas à trouver, n’hésitez pas à me joindre.

    La partie contact se situe à la fin de la page d’accueil du blogue.

    Icône recherche (capture écran de Phrenssynnes)

    Tapez votre mot-clé et vous devriez réussir. Si jamais vous n’arrivez pas à trouver ce qui vous cherchez, n’hésitez pas à me contacter avec la partie contact qui est à la fin de la page d’accueil du blogue.

    Voici la partie Contact

    Et si l’on vous demande de répondre à une équation mathématique, c’est pour éviter que des robots submergent le site de commentaires inutiles, non pertinents et toxiques.

    Sur le blogue, je peux parfois recevoir des centaines d’attaques de robots en seulement quelques minutes.

    15 + 14 =

    Photo de Lhom

    Pour terminer en beauté, Lhom nous propose cette semaine un panorama d’Attean Pound. Nous avons vu ce magnifique paysage lors de notre pèlerinage annuel à Ogunquit dans le Maine.

    Attean Pound, Maine (crédit photo Lhom)

    Je vous remercie d’avoir lu cet article.

    Si vous l’avez aimé, je vous exprime toute ma gratitude si vous le partagez avec vos amis, votre famille ou sur les réseaux sociaux. 

    Je suis également reconnaissante que vous ayez pris le temps de lire mon texte au complet et de contribuer à la popularité du blogue!

    J’attends vos commentaires avec plaisir.

    Bonne semaine.

    Phrenssynnes

    12 août 2024: Achetez votre livre québécois

    Le 12 août, c’est l’évènement Achetez votre livre québécois

    Étant donné que la journée du 12 août arrive à grands pas, je vous propose encore cette année d’encourager le monde du livre québécois.

    Les autres années, je vous ai présenté soit un ouvrage, soit un auteur ou un groupe de livres. Voici les articles des dernières années, cela peut vous donner des suggestions.

    2019, 2020, 2022, 2023

    Cette année, je vous suggère une liste d’auteurs québécois.

    J’ai un souvenir d’une époque où ma sœur et moi, nous nous régalions de romans de science-fiction. Et nous avions découvert Marion Zimmer Bradley. C’est à ce moment que j’ai compris le principe du bon filon. Les lecteurs invétérés savent que l’astuce pour dénicher des bouquins est la trouvaille d’un écrivain prolifique dont on aime les livres.

    Voilà pourquoi je vous propose une liste de bons filons québécois.

    Le livre de Boucar Diouf (crédit photo Phrensssynnes)
    le livre et une théière (crédit photo Phrenssynnes)
    Livre de Jean Lemieux (crédit photo Phrenssynnes)

    Des bons filons pour le 12 août 2024

    Dominique Demers

    Elle a écrit beaucoup de livres pour enfants, mais aussi pour adultes. Entre autres, Maïna que j’ai adoré et Le pari.

    Martin Michaud

    Si vous aimez les romans policiers, Martin Michaud est un incontournable avec sa série Victor Lessard. En plus, j’ai un petit faible pour cet écrivain puisqu’il est originaire de la ville de Québec.

    Chrystine Brouillet

    J’ai découvert Chrystine Brouillet au début de sa carrière lorsqu’elle a gagné le prix Robert-Cliche en 1982 avec Chère voisine. Depuis, cette auteure ne cesse de m’épater.

    Michel Tremblay

    Un impératif de la littérature québécoise, si vous ne l’avez pas encore lu, c’est l’occasion de le faire.

    Jean Lemieux

    Écrivain prolifique, Jean Lemieux a publié plusieurs romans policiers dont l’intrigue se passe aux Îles-de-la-Madeleine. J’ai adoré ses histoires avec le sergent-détective André Surprenant.

     

    Livre de Martin Michaud (crédit photo Phrenssynnes)
    Le torrent d'Anne Hébert (crédit photo Phrenssynnes)
    Livre de Dominique Fortier (crédit photo Phrenssynnes)

    D’autres idées pour le 12 août

    Patrick Sénécal si vous aimez les romans d’horreur est un bon filon à suivre.

    Découvrez Élisabeth Vonarburg, la reine de la science-fiction québécoise. J’ai lu, il y a longtemps, Tyranaël, les rêves de la mer que j’avais trouvé très intriguant.

    Le premier roman d’Alain Beaulieu, Fou-Bar, un roman léger, teinté d’humour et de dérision, précède une importante lignée de publications.

    Dominique Fortier, qui a écrit une quinzaine de livres, est originaire de la ville de Québec. Titulaire d’un doctorat en littérature, elle est également traductrice et ses livres ont gagné plusieurs prix littéraires.

    Profitons de l’évènement du 12 août pour relire les grands classiques québécois. Chaque histoire d’Anne Hébert me rappelle l’odeur des conifères de Sainte-Catherine-de-la-Jacques-Cartier. Les émotions y jaillissent aussi fortement que les remous de la rivière qu’elle a rendue célèbre.

     

    Photo de Lhom

    Lhom nous offre cette semaine une photographie tout à fait québécoise. Voici une image capturée à partir du chemin de La Liseuse, sur les bords de la rivière Jacques-Cartier. C’est un endroit magique que nous vous invitons à visiter l’été en vélo et l’hiver en ski de fond.

    Rivière Jacques-Cartier (crédit photo Lhom)

    Et vous? Quel est votre livre pour le 12 août?

    Avez-vous d’autres suggestions?

    J’attends vos commentaires avec plaisir.

    Bonne semaine.

    Phrenssynnes

    P.S. Les auteurs et éditeurs mentionnés n’ont pas été mis au courant de ce projet avant publication. Je n’ai aucun lien affilié.

     

     

     Cliquez ici pour lire d’autres articles sur Phrenssynnes se cultive.

    book club illustration1  (credit DIVI)

    En vous abonnant sur le blogue (sur la plateforme WordPress), vous recevez le samedi matin ma dernière publication sur différents sujets : la culture, la bouffe, les voyages ou certaines réflexions.

    Abonnez-vous au blogue

    Pour recevoir les dernières publications du blogue :

    Vous pouvez aussi souscrire à mon infolettre mensuelle (sur la plateforme Substack). Sur une note légère, humoristique et positive, je partage les idées géniales découvertes lors de mes navigations sur le web et qui mérites votre attention.

    L’ostinato

    Bonjour lecteur et lectrice,

    Je récidive cette semaine et je publie une autre de mes nouvelles intitulée L’ostinato.

    Je me suis creusée les méninges sur ce que j’allais publier cette semaine. En fouillant dans mes fichiers, je suis tombée sur ce texte. Tel que je vous en ai parlé il y a quelques jours, suite au décès récent de Paul Auster, on parle beaucoup, ces temps-ci, de son œuvre.

    Je me suis inspirée du thème du hasard, souvent présent dans les livres d’Auster, pour retravailler cette nouvelle qui, j’espère, vous divertira.

    Cœur dans un café (crédit photo Phrenssynnes)
    Cappuccino et La nuit de l'oracle (crédit photo Phrenssynnes)

    L’ostinato

    Elle entend toujours cette petite ou plutôt cette grande mélodie dans sa tête.  Pas comme un refrain, mais plutôt une obsession fatigante.  Une chanson, un air qui ne la lâche pas, qu’elle ne peut s’empêcher de fredonner depuis des jours.  Et dont elle ne connaît ni le titre ni les paroles.  Non, pense-t-elle, il n’y a pas de mots dans cette musique.  Elle ignore tout en la matière, mais, ça, elle le sait.

    Et cette chanson l’obsède.

    De toute façon, ça finira par passer, se rassure-t-elle.  Tout comme son chagrin d’amour, tout finit toujours par passer.

    Elle se consacre à ses affaires sans trop réfléchir.  Le travail, l’épicerie, le congrès, les impôts, les vacances à venir.  Tout défile dans sa vie et s’accomplit, tac, tac, tac, une tâche après l’autre.  Tout s’emboîte; la gym, le boulot, les amis.  Le tout revêt un certain rythme, mais qui ne fait vibrer personne. Pas même Louise.  Louise qui ne goûte pas, mais se précipite sans cesse.

    Et là, depuis quelque temps, cette mélodie obsédante la harcèle parfois jusqu’au plus bleu de la nuit.  Elle ne la connaît pas, mais l’a déjà écoutée, oui, quelque part, elle l’a entendue.  C’est un air célèbre, elle le croit, mais où donc a-t-elle remarqué cette œuvre?  Elle n’a aucun souvenir qui s’y rattache, mais elle prend conscience, sans savoir pourquoi, que cette harmonie la fait vibrer. Elle change son humeur.

    Cet air l’aide à se concentrer sur le son des oiseaux qui gazouillent, à être attendrie devant un poupon dans un carrosse.  La musique la réconcilie avec la vue d’un couple d’amoureux qui s’embrassent dans la rue. Elle respire, de nouveau, le parfum de l’été. Par miracle, la routine quotidienne se transmue en une joyeuse chorégraphie sous le rythme harmonieux.

    Et Louise se laisse bercer dans la cadence de ce tempo uniforme.

    Parfois, la mélodie diminue sans en avoir véritablement conscience.  Régler les conflits au bureau, diriger le département, faire ses courses. Tac, tac, tac, la machinerie reprend le dessus.  Quand le mécanisme grince, elle se dit que ça va passer.  Tout finit toujours par passer.

    Ses connaissances musicales presque nulles ne l’aident pas. Elle note sur sa liste de choses à faire de tenter de trouver le titre de cette œuvre.  Par malheur, elle chante si faux qu’elle ne se voit pas babiller l’air devant n’importe qui!  Alors sa petite mélopée reste en elle, lovée dans un petit coin obscur.  Toujours là et lentement, en sourdine, elle la comble.

    Par un samedi gris et morne, Louise fredonne dans sa tête tout en bouquinant dans une librairie.  Elle tend la main vers un livre et, alors qu’elle va le saisir, une tierce main croise la sienne. Louise réussit à s’emparer de l’objet avant l’autre.  Elle se retourne et regarde l’intrus.

    « Oh! C’est celui-là que je voulais! susurre-t-il.

    — Désolée, trop tard, déclare-t-elle.  Il n’y en a pas deux.

    — Et vous le prenez?

    — Évidemment! réplique-t-elle, sans réfléchir.

    En fait, elle n’avait pas la certitude de l’acheter, du moins jusqu’au moment où elle l’a touché.  C’est le contact avec l’objet qui la décide.  Elle caresse le dessus, jamais elle n’a senti une telle douceur. Quel est ce nouveau matériau? L’effleurement de ses doigts sur la couverture bleu nuit la trouble. Comme ce livre semble agréable à palper, songe-t-elle. « Mais allez-vous l’acheter, insiste-t-il avec son plus beau sourire.

    — Évidemment que je l’achète! assure-t-elle sans être dupe. »

    La passe de la drague à la librairie, elle se l’est déjà fait faire.  Et, elle catégorise l’importun dans la section « beau gars », en plus.  Ce sont les pires, se convainc-t-elle, ils sont assurés de leur charme.  Il s’éloigne, il a compris, tant mieux.

    Et la musique s’interrompt tout à coup en elle.  Elle regarde autour, personne n’a tressailli.  Bien entendu. Mais pour elle, c’est comme si l’orchestre s’était arrêté.  Un soupir et elle va payer La nuit de l’oracle.

    Dans la file d’attente à la caisse, le moineau ressurgit avec un livre dans les mains qu’il lui tend. « L’ogre de Barbarie de Pierre Brillon, ça ne vous tenterait pas? » Elle le regarde, insultée. « Vraiment? Je pourrais croire que vous me traitez d’ogre! Non, je reste avec mon Paul Auster. » conclut-elle, irritée.

    La nuit de l'oracle de Paul Auster (crédit photo Phrenssynnes)

    Plutôt que de retourner chez elle, elle décide de s’offrir un café au bistrot à côté de la librairie. Assise, patientant pour son cappuccino, elle examine, comme à son habitude, la toute dernière phrase de l’œuvre avant de la débuter.  Elle aime bien Paul Auster.  Elle raffole maintenant de ses livres. Lorsqu’elle a commencé à découvrir cet auteur, la finale la décevait souvent. Depuis, elle a choisi d’accepter ses histoires qui finissent en queue de poisson.

    Café et livre de Paul Auster (crédit photo Phrenssynnes)

    Elle termine la lecture de la première page quand devinez qui se pointe dans le bistro bondé en ce terne samedi après-midi? Et Don Juan s’assoit à la table aux côtés de Louise.  C’est la seule inoccupée, mais cela n’en réduit pas moins son irritation.  Elle a le goût de plier bagage tout de suite. Mais elle a atrocement envie de cette tasse fumante. Ce café mousseux qui vient juste d’être déposé à côté de la douce nuit de l’oracle.  Elle se persuade qu’elle a pris de l’expérience pour éloigner les dragueurs depuis sa dernière rupture.  S’il s’attend à ce qu’elle joue la coquette, il va être déçu.  Elle déguste et s’aperçoit du coin de l’œil qu’il a acheté le même livre qu’elle.

    — Oh! Bonjour, lance-t-il en la voyant.

     Il sourit et montre l’ouvrage.

    — Ils ont réussi à m’en trouver un. Sans rancœur, ajoute-t-il, déployant son aimable dentition.

     En faisant signe au serveur, il commande un allongé et rajoute :

    — Alors, comme ça, vous aussi vous aimez Paul Auster.  Moi, j’adore sauf la fin qui aboutit toujours en queue de poisson.

    Bon! juge Louise, voilà un séducteur doué de télépathie, je devrai m’en méfier. Elle remet le nez dans son livre tout en sirotant son breuvage.

    Quelques pages plus loin, elle songe à quitter les lieux lorsqu’elle entend sa fameuse rhapsodie qui joue dans le café; oh! là! là!  Elle va au moins rester pour entendre sa pièce au complet.  Elle lève la tête, son regard bleu se perd dans les notes de musique et elle savoure.  Il n’en faut pas plus à Casanova pour récidiver. « C’est bon, hein? »

    Malgré son agacement, elle ne peut s’empêcher de sourire et de lui demander: « Oui, est-ce que vous connaissez le titre de ce morceau?

    — Bien sûr, c’est Le Boléro de Ravel.  Et savez-vous quoi?  Je viens tout juste d’acheter le CD en même temps que le livre! » déclare-t-il en lui montrant le disque compact. « Ah! » répond-elle avec une insondable gaieté.

    Première page de La nuit de l'oracle (crédit photo Phrenssynnes)

    Les doigts de Louise se mettent à battre la cadence sur le moelleux de la couverture du bouquin. Un profond sentiment de joie de vivre l’envahit soudain dans un crescendo. 

    Dans la finale tonitruante de l’orchestre, ses doigts quittent La nuit de l’oracle.  Elle se surprend à lever la main et s’entendre dire : « Garçon! Garçon! Je vais prendre un autre cappuccino, s’il vous plaît! »

    Photo de Lhom

    Voici une photo prise de Central Park à New York, la ville où Paul Auster a vécu une grande partie de sa vie.

    New York par une journée ensoleillée (crédit photo Lhom)

    Je vous remercie d’avoir lu ce texte.

    Si vous l’avez aimé, je vous exprime toute ma gratitude si vous le partagez avec vos amis, votre famille ou sur les réseaux sociaux. 

    Je suis également reconnaissante que vous ayez pris le temps de lire mon texte au complet et de contribuer à la popularité du blogue!

    J’attends vos commentaires avec plaisir.

    Bonne semaine.

    Phrenssynnes

     

      Cliquez ici pour lire d’autres articles sur Phrenssynnes se cultive.

    book club illustration (credit DIVI)

    Pour me suivre et ne rien manquer, inscrivez vous à ces deux publications.

    En vous abonnant sur le blogue (sur la plateforme WordPress), vous recevez le samedi matin ma dernière publication sur différents sujets : la culture, la bouffe, les voyages ou certaines réflexions.

    Abonnez-vous au blogue

    Pour recevoir les dernières publications du blogue :

    Vous pouvez aussi souscrire à mon infolettre mensuelle (sur la plateforme Substack). Sur une note légère, humoristique et positive, je partage les idées géniales découvertes lors de mes navigations sur le web et qui mérites votre attention.

    Des bons livres pour l’été 2024

    Voici des bons livres pour l’été 2024

    Êtes-vous à la recherche de bons livres pour lire pendant l’été?

    Vous trouverez ici un article pour vous aider à dénicher la perle qui vous accompagnera lors de vos vacances. J’adore m’installer sur le bord de l’eau par une journée caniculaire avec un roman et un verre de limonade. J’oscille entre la chaise longue et la trempette, que ce soit dans la piscine, dans un lac ou dans l’océan. 

    Voici cinq suggestions pour agrémenter vos moments de détente.

    La nuit de l'oracle (crédit photo Phrenssynnes)

    La nuit de l’oracle de Paul Auster

    Homme de lettres américain de Brooklyn, il a enseigné à l’université Columbia et a traduit les œuvres de plusieurs auteurs français. Pourquoi lire Paul Auster cette année? Étant donné qu’il est décédé à la fin d’avril, on a envie de se retremper dans ses histoires où l’action se situe à New York. 

    Je vous suggère La nuit de l’oracle, où on côtoie un écrivain new-yorkais en convalescence d’une maladie qui l’a plongé dans les dettes et l’angoisse de la page blanche. Tout au long de la fiction, on le suit dans les rues de New York où il finit par retrouver l’inspiration en achetant un carnet bleu dans une charmante papeterie.

    Un carnet peut-être aussi bleu que la belle et douce couverture de ce livre?

    Le serment 1 de Tom Clancy et Mark Greaney

    Si vous aimez les histoires d’espionnage et d’action, vous serez servi avec ce roman du célèbre auteur américain, Tom Clancy.

    J’adore son héros, Jack Ryan, devenu, rien de moins que le président des États-Unis. Ce livre, publié en anglais en 2016, nous baigne dans une intrigue d’attentats, de failles informatiques et de patriotisme. Avez-vous vu les séries de Jack Ryan sur Prime Vidéo qui mettent en vedette John Krasinski?

    Le serment 1 vous plongera dans un univers géopolitique excitant et vous pourrez lire la suite dans Le serment 2.

    Bon livre pour 2024 (crédit photo Phrenssynnes)

    Les yeux de Mona de Thomas Schlesser

    Cet ouvrage publié cette année par l’historien de l’art Thomas Schlesser représente un bijou de lecture.

    La trame met en vedette une petite fille ayant des problèmes visuels qui visite les grands musées parisiens avec son grand-père. C’est un voyage éducatif extraordinaire si vous désirez en apprendre plus sur l’histoire de l’art. La beauté du roman apparaît dans chaque œuvre commentée et décrite afin d’en découvrir l’importance.

    C’est aussi attendrissant d’observer l’évolution de cette fillette tout au long du récit.

    Les yeux de Mona (crédit photo de Phrenssynnes)
    Bon livre pour 2024 (2) (crédit photo Phrenssynnes)

    La singularité du bouquin réside aussi dans sa jaquette qui montre les photos des œuvres dont il est question.

    Vous aurez envie de vous envoler vers Paris pour voir ces musées extraordinaires.

    Livre Les lendemains (crédit photo Phrenssynnes)

    Les lendemains de Mélissa Da Costa

    L’héroïne de Mélissa Da Costa, Amande, s’isole dans une maison de la campagne française pour couver un chagrin inconsolable.

    Le roman nous révèle pourquoi la protagoniste a tant de peine et comment elle finira par se reconstruire après ce drame. Le hasard l’aidera à découvrir de nouvelles relations et un calendrier qui lui permettra, grâce au jardinage, de recommencer à neuf.

    Voilà une belle histoire qui vous donne envie d’être en contact avec la nature et qui vous fera ressentir des émotions incroyables.

     

    Bien manger c’est tout simple! de Marie-Ève Caplette

    Je vous présente un livre de recettes très original. 

    Lorsqu’on a le plaisir de vivre longtemps, on se doit d’améliorer la qualité de notre alimentation.

    La nutritionniste Marie-Ève Caplette nous épaule avec délice dans ce bouquin plein d’images et de bonnes propositions. J’ai essayé quelques-unes de ses créations qui m’ont charmée. J’ai retenu celles de cretons végétaliens, les toasts à la ricotta, cinq marinades pour le poulet. Vous aurez envie de cuisiner!

    Elle nous donne une panoplie d’idées et de trucs pour nous aider à effectuer un virage santé avec plaisir et saveur.

    Bon livre de recettes pour 2024 (crédit photo Phrenssynnes)

    Si vous désirez d’autres suggestions, visitez la section Phrenssynnes se cultive.

    Photo de Lhom

    Lhom nous présente, cette semaine, une image du port de Wells dans le Maine où on sent l’air salin de la mer et la joie des vacances.

    Nous vous souhaitons de profiter au maximum de votre pause estivale.

    Port de Wells (crédit photo Lhom)

    Connaissiez-vous ces auteurs?

    Avez-vous d’autres suggestions à nous faire?

    J’attends vos commentaires avec plaisir.

    Je suis reconnaissante que vous ayez pris le temps de lire mon texte au complet et de contribuer à la popularité du blogue!

    Bonne semaine.

    Phrenssynnes

    P.S. Les auteurs et éditeurs mentionnés n’ont pas été mis au courant de ce projet avant publication.

     

      Cliquez ici pour lire d’autres articles sur Phrenssynnes se cultive.

    book club illustration (credit DIVI)

    Pour me suivre et ne rien manquer, inscrivez vous à ces deux publications.

    En vous abonnant sur le blogue (sur la plateforme WordPress), vous recevez le samedi matin ma dernière publication sur différents sujets : la culture, la bouffe, les voyages ou certaines réflexions.

    Abonnez-vous au blogue

    Pour recevoir les dernières publications du blogue :

    Vous pouvez aussi souscrire à mon infolettre mensuelle (sur la plateforme Substack). Sur une note légère, humoristique et positive, je partage les idées géniales découvertes lors de mes navigations sur le web et qui mérites votre attention.

    Le conte La complainte de Pierrot

    Un conte

    De temps à autre, je publie une œuvre de fiction.  Cette semaine, je vous offre un conte intitulé La complainte de Pierrot.

    La complainte de Pierrot

    On retrouva Pierrot au pied d’un grand pin.

    L’écume à la bouche, le cou désarticulé auprès d’une grande branche aussi cassée.  Qui pouvait bien l’avoir ainsi envoûté?  On demanda au merle, au canard et à l’engoulevent.  Mais nul ne put répondre.  On interrogea le renard et le lapin. Le raton, le hérisson.  Seul un solitaire bûcheron aurait pu raconter.

    Par un temps de grands vents, lui seul avait vu, témoin de ses yeux vus, la rencontre de Pierrot avec sa Pierrette.  Seul le bûcheron savait, pour les avoir entendus, que la Pierrette s’en était allée.  Partie au loin, au nord, dans une autre campagne où un autre gaillard l’attendait.  Ainsi, le Pierrot s’est trouvé abandonné autant par sa Pierrette que par sa destinée.

    Et il s’en est allé lui aussi, de ça, de là, divaguant dans le village jusqu’à l’approche du boisé.

    Arrivée au lieu-dit « du grand pin », une chouette vit Pierrot s’arrêter, hébété devant le majestueux conifère.  Le jeune homme regarda le très haut, celui où, au pied, il avait une première fois embrassé sa douce fiancée.  Puis les muscles bouillant de rage, il se mit à y grimper.  De branche en branche, il monta, ruant au passage l’écorce de rudes coups de pied.  Volant autour de la cime, l’oiseau l’entendit insulter le résineux comme si celui-ci eût été son inconnu rival. Ce long tronc fièrement dressé, symbole des amours passés, prit une autre raclée, violenté par un Pierrot enragé.  Le cocu frappa, cogna et tapa encore.  Mais de là, haut perché, le sifflement des cieux en vint peu à peu à le calmer.

    Et la chouette, au bûcheron, rapporta que c’est vers le nord qu’ensuite Pierrot regarda.  Il scruta, observa, chercha.  Fouilla l’horizon où nulle Pierrette ne se dessinait.  Plus jamais il ne la reverrait.

    Alors, le vertige de son chagrin le saisit.

    Et pendant un long et sombre mois, on entendit dans le village toutes les nuits dans une psalmodie, les litanies de la peine de Pierrot résonnant sur tous les toits du village jusqu’au plus haut du clocher.  Une longue plainte rythmée aux mêmes mouvements des jadis amours désormais évaporés.  Telle la complainte d’un loup ensorcelé, on ne put jamais arrêter cette grande lamentation de notre Pierrot atteint de peine et de surdité.  Car personne, il ne voulait entendre.  Et du jour, il ne donnait aucun signe de vie. À aucun de ses frères venus lui réclamer de descendre. À aucun de ses amis ou cousins. D’aucun pain offert, il n’a voulu manger.  D’aucune eau, il n’a voulu s’abreuver. D’aucun bras il n’a voulu s’entourer et, d’aucunes épaules il n’a voulu de ses larmes mouiller.

    Éploré, couché dans sa litière d’aiguille en haut de son grand pin, il a purgé son tourment. Et c’est ainsi qu’un matin, on le retrouva.  L’écume à la bouche, le cou désarticulé auprès d’une grande branche aussi cassée tout près d’un nid de chouette tombé.

    Accablé de sa peine, il est mort déchu, emporté par le poids de son amour abandonné.

    Toujours est-il que le lendemain matin, on vit que le grand pin, en une seule et bizarre nuitée, vers le nord s’était penché pour que chacun ne puisse jamais oublier que c’est par-là que la Pierrette s’en était allée.

    Depuis, toutes les années, quand vient le temps des grands vents, aux oreilles des merles, des canards et des engoulevents.  Aussi à celles des renards, des lapins, des ratons et des hérissons, pendant un mois on entend. Telle une psalmodie résonnant toutes les nuits. Sur tous les toits du village jusqu’au plus haut du clocher, le solitaire bûcheron entend, lui aussi les litanies et les bruissements.

    L’écho des sanglots de la peine de notre Pierrot.

    Photo de Lhom

    Nous avons bien cherché mais nous n’avons pas trouvé le grand pin de Pierrot!

    En fait, la photo de Lhom de la semaine nous présente une forêt de pins dans le New Hampshire.

    Forêt de pins (crédit photo Lhom)

    Je vous remercie d’avoir lu ce conte.

    Si vous l’avez aimé, je vous exprime toute ma gratitude si vous le partagez avec vos amis, votre famille ou sur les réseaux sociaux. 

    Je suis également reconnaissante que vous ayez pris le temps de lire mon texte au complet et de contribuer à la popularité du blogue!

    J’attends vos commentaires avec plaisir.

    Bonne semaine.

    Phrenssynnes

    Pour me suivre et ne rien manquer, inscrivez vous à ces deux publications.

    En vous abonnant sur le blogue (sur la plateforme WordPress), vous recevez le samedi matin ma dernière publication sur différents sujets : la culture, la bouffe, les voyages ou certaines réflexions.

    Abonnez-vous au blogue

    Pour recevoir les dernières publications du blogue :

    Vous pouvez aussi souscrire à mon infolettre mensuelle (sur la plateforme Substack). Sur une note légère, humoristique et positive, je partage les idées géniales découvertes lors de mes navigations sur le web et qui mérites votre attention.

    Muffins aux fraises et à la rhubarbe, une recette rapide, facile et délicieuse.

    Muffins fraise et rhubarbe (crédit photo Phrenssynnes)

    Lhom adore ces muffins aux fraises et à la rhubarbe

    Les fraises du Québec sont arrivées!

    Une multitude de recettes avec des fraises existent. Le mélange fraise rhubarbe représente une combinaison classique au Québec. La saveur acidulée et surette de la rhubarbe s’entremêle à merveille avec celle plus sucrée de la fraise.

    Cette méthode rapide et facile à réaliser vous comblera. À l’origine, cette recette incluait du beurre fondu. Employer de l’huile d’avocat n’altère pas le goût et améliore la qualité nutritive.

    De plus, cela permet de simplifier l’exécution, car on n’a pas besoin de faire fondre le beurre.

    Elle contient du sucre, mais pas beaucoup. Je n’ai pas expérimenté l’utilisation de purée de dattes pour remplacer le sucre granulé comme l’a popularisée madame Labriski. C’est une bonne idée que je n’ai pas encore testée. Si je l’essaye un jour, j’ajouterai une petite note à cet article.

    Muffins aux fraises et à la rhubarbe

    Ingrédients

    • 500 ml (2 tasses) de farine de blé entier
    • 17 ml (3 ½ cuillères à thé) de poudre à pâte
    • 90 ml (6 cuillères à table) de sucre granulé
    • 2 ml (½ cuillère à thé) de sel
    • 1 œuf battu
    • 200 ml (7/8 de tasse) de lait
    • 45 ml (3 cuillères à table) d’huile d’avocat
    • 250 ml (1 tasse) de fraises fraîches coupées
    • 250 ml (1 tasse) de rhubarbe fraîche en dés

    Préparation des muffins aux fraises et à la rhubarbe

    Étape 1

    Graissez 12 moules à muffins ou utilisez du papier parchemin ou des moules de silicone.

    Chauffez le four à 200 °C (400 °F).

    Étape 2

    Tamisez ensemble les ingrédients secs dans un bol.

    Étape 3

    D’autre part, mélangez l’œuf battu, le lait et l’huile.

    Étape 4

    Créez une fontaine avec les ingrédients secs et versez-y le mélange de liquide. Remuez avec une maryse ou une cuillère de bois, juste assez pour humecter les ingrédients. Ajoutez les fruits et brassez.

    Étape 5

    Versez dans les moules et faites cuire environ 20 minutes dans le four à 200 °C (400 °F).

    Si vos fruits sont congelés, le temps de cuisson peut être un peu plus long.

    Vérifiez si les muffins sont cuits à point avec un cure-dent.

    Moules en silicone (crédit photo Phrenssynnes)

    Vos muffins n’adhéreront pas à ces moules écologiques, mais on doit les laver à la main.

    Quant aux moules en papier, je les déteste car la moitié du muffin colle dessus.

    J’aime bien le papier parchemin mais cela produit plus de déchet. J’essaye de contribuer à ménager la planète.

    Ma sœur dit que chaque geste compte.

    Les outils pour les muffins aux fraises et à la rhubarbe

    Est-ce que j’ai piqué votre curiosité en utilisant le mot maryse au lieu de spatule? Cliquez ici pour apprendre la différence.

    Voici un exemple des moules de silicone mentionnés plus haut.

    moules de silicone dans moule de métal (crédit photo Phrenssynnes)

    Les variations des muffins aux fraises et à la rhubarbe

    Si vous souffrez d’intolérances au gluten ou au lactose, vous pouvez modifier les ingrédients concernés.

    Vous pouvez aussi utiliser un mélange de farine de blé entier et de farine de pois jaune comme dans cette autre recette. Vous bénéficierez de la farine de pois jaune dont je fais mention dans l’article en question.

    Avec une petite tasse de thé, ces muffins vous enchanteront.

    Muffin fraise et rhubarbe vue de haut (crédit photo Phrenssynnes)
    Théière du blogue de Phrenssynnes (crédit photo Phrenssynnes)

    Je vous souhaite une magnifique saison estivale.

    Merci d’avoir lu cette chronique au complet!

    Si vous l’avez aimé, je vous exprime toute ma gratitude si vous le partagez avec vos amis, votre famille ou sur les réseaux sociaux. 

    Je suis également reconnaissante que vous ayez pris le temps de lire mon texte jusqu’à la fin et de contribuer à la popularité du blogue!

    J’attends vos commentaires avec plaisir.

    Bonne dégustation!

    Phrenssynnes

    P.S. Je n’ai aucun lien affilié dans cet article.

    La recette est certifiée Lhom approved!

    Vous avez envie d’améliorer votre alimentation?

     

    Vous n’êtes pas seul. Je suis ici pour vous aider. Lisez ces articles et vous découvrirez des recettes faciles testées par une maman d’expérience!

     

    Abonnez-vous

    Pour recevoir les dernières publications du blogue :

    Chronique littéraire : La prisonnière du temps de Kate Morton

    La prisonnière du temps

    J’ai lu La prisonnière du temps de l’Australienne Kate Morton. Elle a publié son premier roman en 2007. En 2019 a paru La prisonnière du temps. Je découvre cette auteure née en 1976 et qui a étudié en littérature victorienne.

    Quatrième de couverture

    Quatrième de couverture  La prisonnière du temps (crédit photo Phrenssynnes)

    Citation de La prisonnière du temps

    « Les branches des arbres n’étaient pas droites. Elles croissaient vers la canopée en rubans ondulés. Les troncs étaient couverts de fougères et de lichens ; il y avait là des chênes, mêlés à quelques bouleaux et noisetiers. La lumière striait le sous-bois et l’air semblait vibrer de quelque attente.

    Lorsqu’ils atteignirent la clairière, Lucy croyait presque entendre la respiration des feuilles. »

    Kate Morton

    Ce que j’ai aimé

    Couverture 2 La prisonnière du temps (crédit photo Phrenssynnes)

    Je me suis laissée séduire par la magnifique image de la couverture.

    L’auteure nous attire au début du roman en piquant notre curiosité avec une accroche très captivante, tel que vous pouvez le lire sur la quatrième de couverture.

    Le lien entre le passé et notre époque s’avère un délice pour ceux qui aiment l’histoire. Les ellipses, c’est-à-dire les allers-retours entre le présent et le passé, coulent aussi bien que l’eau dans la Tamise. On ne s’y perd jamais.

    Plusieurs intrigues structurent la fiction, certaines contemporaines et d’autres dans les temps anciens, donc on ne s’ennuie pas.

    Elodie, l’héroïne principale, m’a charmé avec sa personnalité particulière. Elle ne se laisse pas impressionner par le glamour, l’argent ou le snobisme.

    J’aime le type d’écriture de Kate Morton, visuelle et dynamique. Elle nous donne envie de visiter Birchwood Manor, de faire un tour en chaloupe sur la Tamise ou de nous promener dans ces lieux envoûtants.

    Une des narratrices est un fantôme, on le découvre en cours de lecture. Mais on ne tombe pas dans un excès de surnaturel. La dose s’avère parfaite.

    Citation

    « Chacun de nous chemine vers son crépuscule. »

    Kate Morton dans La prisonnière du temps.

    Ce que j’ai moins aimé

    Telle la Tamise, les méandres du récit nous font découvrir une pléiade de personnages.

    En cours de lecture, je me suis demandé qui était cette Juliet sortie de nulle part et nouvellement parachuté dans l’intrigue. Mais en continuant, on trouve un sens à cette protagoniste.

    Je me suis aussi questionnée sur la nécessité littéraire du personnage d’Ada, dont on comprend plus ou moins le rôle dans le développement romanesque.

    On se rend compte que cette maison, baptisée Birchwood Manor, représente le vrai fil conducteur de cette fiction dont Juliet et Ada font partie intégrante.  L’auteure met en valeur l’importance des lieux chez l’être humain. En brillante écrivaine, Kate Morton finit par rattacher toutes les trames.

    La fin m’a un peu déçue, j’aurais adoré lire plus sur les péripéties amoureuses d’Elodie. Il manque de la prose avec des détails croustillants dans cette partie de l’intrigue.

    Qui sait? Peut-être dans un prochain roman?

    Couverture 3 La prisonnière du temps (crédit photo Phrenssynnes)

    Photo de Lhom

    Voici la photo de la semaine. Lhom nous présente une image de la fameuse Tamise dont il est souvent question dans le roman de Kate Morton.

    La Tamise vue de Londres (crédit photo Lhom)

    Recommandations

    Pourquoi lire La prisonnière du temps ?

    • Vous aimez les romans originaux avec un peu de surnaturel.
    • Si les fictions qui se déroulent en Angleterre vous passionnent.
    • Vous désirez voyager en Grande-Bretagne prochainement, ce livre vous donnera encore plus le goût de partir.
    • Si vous avez besoin de vous distraire avec une bonne histoire, lancez-vous dans ce bouquin.
    • J’espère que ma chronique vous a donné envie de lire cette belle histoire!

    Connaissiez-vous cette auteure?

    J’attends vos commentaires avec plaisir.

    Bonne semaine.

    Phrenssynnes

    P.S. Les auteurs et éditeurs mentionnés n’ont pas été mis au courant de ce projet avant publication.

     

      Cliquez ici pour lire d’autres articles sur Phrenssynnes se cultive.

    book club illustration (credit DIVI)

    Lorsque vous êtes abonné, tous les samedis matin, vous trouverez mon dernier article dans votre boîte courriel prêt à être consulté pendant que vous savourez votre café.

    Abonnez-vous

    Pour recevoir les dernières publications du blogue :

    Mémoires d’une de mes ancêtres, un petit bonheur à lire

    Écrire ses mémoires

    J’ai un ami, aussi écrivain, qui travaille sur ses mémoires. Une œuvre qu’il voudrait laisser à ses descendants. Lui-même aurait aimé pouvoir lire ce qu’un de ses arrière-grands-pères aurait écrit.

    J’ai, dans ma bibliothèque, un exemplaire des mémoires d’une de mes grands-tantes.

    Est-ce le genre de lecture qu’on aime faire lorsqu’on avance en âge? Peut-être, à moins d’être féru d’histoire.

    Est-ce qu’un jour j’écrirai mes mémoires ou mon autobiographie? Bonne question, mais une autre interrogation me vient à l’esprit.  Quelle est la différence?

    Selon le site Maxicours :

    « En tant que genre littéraire, le mot mémoires s’utilise uniquement au pluriel (et au masculin). Il désigne le témoignage écrit d’une personne sur sa propre époque et les événements qu’elle a vécus, soit en tant que témoin, soit en tant qu’acteur. Les mémoires sont proches de l’autobiographie, puisque ces deux genres possèdent plusieurs caractéristiques communes. Ce sont en effet des récits rétrospectifs en prose dans lesquels l’auteur assume son propre récit et prétend restituer la vérité des événements vécus. La différence majeure entre l’autobiographie et les mémoires réside dans la nature des faits racontés : dans le premier cas, le récit est centré sur la vie privée de l’auteur; dans le second, sur son époque. »

    La physique des catastrophes (crédit photo de Phrenssynnes)

    Pour et contre écrire ses mémoires

    J’ai commencé à lire La physique des catastrophes de Marisha Pessl et son incipit m’a beaucoup fait rire.

    Voici l’opinion de Gareth van Meer, un personnage de ce roman. 

    Pour mieux comprendre cette citation, le personnage principal, Bleue van Meer, raconte au début du livre l’opinion très rebutante de son père, Gareth, pour quiconque espère écrire ses mémoires.

    Citation

    « Papa disait toujours qu’il faut une sublime excuse pour écrire l’histoire de sa vie avec l’espoir d’être lu.

    “ À moins que ton nom ne soit comparable à ceux de Mozart, Matisse, Churchill, Che Guevara ou Bond — James Bond —, il vaut mieux que tu consacres ton temps libre à peindre avec tes doigts ou à pratiquer le palet, car personne, mis à part ta pauvre mère aux bras flasques et aux cheveux rêches qui te couve d’un regard tendre comme du veau, ne voudra écouter le récit de ta pitoyable existence, laquelle s’achèvera sans doute comme elle a commencé — dans un râle. ” »

    Marisha Pessl dans La physique des catastrophes

    Heureusement que ma grand-tante ne s’est pas laissé décourager, car je suis très contente de posséder un des rares exemplaires de son livre.

    Les mémoires de Marguerite Lescop

    Voici un récit plus positif pour ceux qui désireraient se lancer dans un tel projet.

    Connaissez-vous cette histoire à succès inattendu?  Marguerite Lescop a commencé à rédiger ses mémoires en 1990 : Le tour de ma vie en 80 ans. Elle a publié le livre à compte d’auteur en premier et il s’est vendu à plus de 100 000 exemplaires! C’est un record, puisque la définition d’un best-seller au Québec est un minimum de 3000 copies vendues. Elle a ensuite publié deux autres bouquins après avoir démarré sa maison d’édition.

    Comme quoi il n’est jamais trop tard!

    Livre de Marguerite Lescop (capture écran de Phrenssynnes)

    Les mémoires de Cécile Boily Soucy

    Cécilie Boily Soucy est ma grand-tante. Elle écrit dans son introduction qu’elle a été encouragée à rédiger son livre par Pierre Paquet lors d’une émission de Radio-Canada.

    Elle nous présente son grand-père, sa grand-mère, leurs enfants ainsi que les arrière-grands-parents. On retrouve à la fin du livre, une brève généalogie des familles Soucy, Boily et Vézina. Cécile Boily Soucy nous raconte toutes les anecdotes dont elle se souvient. Elle décrit les régions où elle a vécu: Baie Saint-Paul, Saint-Joachim, Saint-Raymond, Shawinigan, Petite-Rivière-St-François, Stoneham.

    L’auteure nous fait aussi découvrir ses descendants et fait un lien avec les professions des membres de la famille.

    Elle a commencé la rédaction à 82 ans et a terminé à l’âge de 85 ans en 1989.

     

    « Après cinq années, ma mère a obtenu sa place d’institutrice à Pérou où on s’installa avec plus d’aisance. Nous demeurions à peu près à un mille de l’école. Mes premiers souvenirs furent la mort de la mère de ma grand-mère, Sophie Simard qui avait 91 ans. C’était une petite dame très jolie avec sa capeline noire sur la tête et son châle à trois pointes sur les épaules. »

    Cécile Boily Soucy dans Une vie à découvrir

    Pérou est un rang dans la région de Baie Saint-Paul.

    Une vie à découvrir (crédit photo Phrenssynnes)

    Mes ancêtres

     

    Je suis étonnée de cette description de Sophie Simard, car je n’ai pas le même sentiment lorsque j’observe cette photo. Si j’avais été une petite fille, je crois que j’aurais eu peur de cette vieille grand-mère à l’allure austère.

    C’est une belle leçon à retenir et une preuve que les images ne reflètent pas toujours la réalité.

    Vous verrez plus bas, la photo d’Hélène Côté. Je l’ai connue, elle était mon arrière-grand-mère et nous l’appelions mémère Vézina. De mes souvenirs d’elle émane une douceur toute féminine même si elle portait constamment une longue robe noire.

    Une arrière grand-mère (crédit photo Phrenssynnes)
    Mon arrière grand-mère (crédit photo Phrenssynnes)

    Je vous présente une image du mariage de Cécile Boily avec Omer Soucy. Ils vécurent une grande partie de leur vie à Stoneham où je les ai déjà rencontrés. Mais je n’ai que de vagues souvenirs car j’avais moins de sept ans.

    La demoiselle d’honneur est ma tante Cécilia à l’âge de cinq ans.

    Citation de Cécile Boily Soucy

    « À la maison, on se confectionnait des carrosses pour nos poupées. Quand mon grand-père sciait son bois de chauffage, les premières rondelles servaient de roues pour nos carrosses. On perçait un trou au centre pour passer l’essieu et cela fonctionnait. Le reste du carrosse était fait de bois ou de carton. Pour habiller le toit, on prenait de vieux rideaux. »

    Cécile Boily Soucy dans Une vie à découvrir

    Voici une photo de l’auteure au pensionnat de la Congrégation Notre-Dame.

    Cécile Boily Soucy (drédit photo Phrenssynnes)
    Photo de mariage Cécile Boily Soucy (crédit photo de Phrenssynnes)

    Écrirez-vous vos mémoires?

    Et vous? Y a-t-il quelqu’un dans votre famille qui a écrit ses mémoires. Pensez-vous le faire un jour?

    Connaissez-vous le site Écrire ta vie?

    Citation

    « Au printemps 2020, lors de la première vague de la pandémie de COVID-19, Janette Bertrand, journaliste, actrice et écrivaine de 95 ans, était en confinement. Depuis chez elle, elle a invité les personnes âgées à participer à un atelier inspirant et chaleureux sur l’écriture autobiographique, afin de les guider dans la rédaction de leur histoire de vie durant cette période exceptionnelle de pause mondiale.

    Ainsi est né le projet « Écrire sa vie! ». Mme Bertrand, qui a enseigné l’écriture dramatique pendant 20 ans, a réalisé une série de huit capsules thématiques où elle accompagne les participants dans leur processus d’écriture.  Nous vous invitons à voir, à revoir et à partager ces capsules pour vous aider à écrire vos mémoires. »

    Présentation du site Écrire ta vie

    Aujourd’hui, avec toutes les technologies accessibles, c’est beaucoup plus facile de créer un livre.

    Cela pourrait être l’objet d’une prochaine chronique. Qu’en pensez-vous? Donnez-moi votre avis dans les commentaires.

    Photo de Lhom

    Cécile Boily Soucy a vécu 34 ans à Stoneham et elle a vu naître le centre de ski et le golf.

    « …à Stoneham s’est ajouté un terrain de golf, propriété de M. Jackie Dunn et un centre de ski que j’ai vu construire. On transportait les matériaux sur le mont Hibou en hélicoptère. Cela a donné beaucoup d’ouvrage aux gens de la place. Avant la construction du boulevard Talbot qui a duré à peu près cinq ans, le trafic du lac St-Jean passait par le village. »

    Voici une photo des pentes de ski de Stoneham que Lhom a prise en automne.

    Les pentes de ski de Stoneham (crédit photo Lhom)

    Je vous remercie d’avoir lu cette chronique.

    Si vous avez aimé cet article, je vous exprime toute ma gratitude si vous le partagez avec vos amis, votre famille ou sur les réseaux sociaux. 

    Je suis également reconnaissante que vous ayez pris le temps de lire mon texte au complet et de contribuer à la popularité du blogue!

    J’attends vos commentaires avec plaisir.

    Bonne semaine.

    Phrenssynnes

    Pour me suivre et ne rien manquer, inscrivez vous à ces deux publications.

    En vous abonnant sur le blogue (sur la plateforme WordPress), vous recevez le samedi matin ma dernière publication sur différents sujets : la culture, la bouffe, les voyages ou certaines réflexions.

    Abonnez-vous au blogue

    Pour recevoir les dernières publications du blogue :

    Vous pouvez aussi souscrire à mon infolettre mensuelle (sur la plateforme Substack). Sur une note légère, humoristique et positive, je partage les idées géniales découvertes lors de mes navigations sur le web et qui mérites votre attention.

    Salade de farro

    Salade de farro finale (crédit photo Phrenssynnes)

    La saison estivale commence et, avec les chaleurs, nous aimons manger des plats frais.

    Je vous présente une salade de farro qui conviendra pour un brunch, un dîner, ou pour servir en accompagnement lors d’un barbecue.

    Qu’est-ce que le farro?

    On surnomme le farro comme étant le grain traditionnel de la Méditerranée. En fait, c’est de l’épeautre perlé originaire d’Italie et ça ressemble à de l’orge.

    Ce grain entier et ancien contient une bonne quantité de fibres (18 % de la valeur quotidienne), des protéines et du fer (10 % de la valeur quotidienne). Il peut remplacer le riz comme féculent pour votre repas.

    C’est un excellent produit nutritif de base à ajouter dans les soupes, les casseroles et les salades.

    J’ai créé cette recette pour vous aider à adhérer à l’alimentation méditerranéenne en vous délectant.

    Pourquoi c’est important? Cliquez ici.

    Salade de farro

    Ingrédients

    • 125 ml de farro
    • 1 litre d’eau
    • 75 ml d’olives hachées
    • 125 ml de poivron rouge haché
    • 125 ml de poivron jaune haché
    • 75 ml d’oignon vert haché
    • 175 ml de cœur de palmier coupé
    • 250 ml de céleri haché
    • 1 carotte en dés
    • 1 tomate en dés
    • 75 ml de chou rouge haché
    • 2 œufs cuits durs hachés
    • 60 à 80 ml de vinaigrette de Phrenssynnes
    • Basilic frais et ciboulette fraîche pour décorer votre plat

    Préparation

    Étape 1

    Faites cuire le farro dans le litre d’eau environ 30 minutes. Si désiré, vous pouvez le faire tremper une nuit dans juste assez d’eau pour submerger. Le lendemain, vous égouttez. Puis faites cuire dans le litre d’eau. La cuisson prendra seulement 10 minutes au lieu de 30. Égouttez et rincez à l’eau froide.

    Étape 2

    Dans un grand bol à mélanger, réunissez les autres ingrédients. 

    Étape 3

    Ajoutez le farro cuit et la vinaigrette. Bien mélanger.

    Étape 4

    Décorez votre salade avec le basilic et la ciboulette. Réfrigérez.

    Donne environ 6 portions qui se conservent quelques jours au réfrigérateur.

    Tel que vous pouvez le constater, le farro ressemble à de l’orge ou à du riz brun.

    Voilà une belle façon d’améliorer votre alimentation selon la diète méditerranéenne. 

    Emballage de farro (crédit photo Phrenssynnes)
    Le farro cuit (crédit photo Phrenssynnes)
    Salade de farro avec oeuf (crédit photo Phrenssynnes)
    Salade de farro finale (crédit photo Phrenssynnes)

    Je vous souhaite une magnifique saison estivale.

    Merci d’avoir lu cette chronique au complet!

    Si vous l’avez aimé, je vous exprime toute ma gratitude si vous le partagez avec vos amis, votre famille ou sur les réseaux sociaux. 

    Je suis également reconnaissante que vous ayez pris le temps de lire mon texte au complet et de contribuer à la popularité du blogue!

    J’attends vos commentaires avec plaisir.

    Bon appétit!

    Phrenssynnes

    P.S. Je n’ai aucun lien affilié dans cet article.

    Vous avez envie d’améliorer votre alimentation?

     

    Vous n’êtes pas seul. Je suis ici pour vous aider. Lisez ces articles et vous découvrirez des recettes faciles testées par une maman d’expérience!

     

    Abonnez-vous

    Pour recevoir les dernières publications du blogue :

    Stoneham

    Introduction

    Voici un de mes souvenirs d’enfance qui m’habite chaque été lorsque je m’aventure trop longtemps dans les bois.

    Si vous êtes allergiques aux piqûres de moustiques, vous me comprendrez.

    Sinon, j’espère au moins vous faire sourire.

    Bonne lecture.

    Stoneham

     

    Des relents de souvenirs réveillent chez moi des sentiments équivoques pour ce lieu charmant qu’est Stoneham.  J’aime l’hiver, le ski, les feux de foyer, la bonne bouffe avec les amis.  Pourtant, existe dans mon esprit une sorte de dichotomie, comme si cet endroit adorable se transformait en un monde si différent l’été.

    Boisé Stoneham (crédit photo Phrenssynnes)
    Chemin boisé (crédit photo Phrenssynnes)

    Chez mon oncle

    Nous allions souvent, à l’époque de mon enfance, visiter un oncle, une tante et mes cousins, ces amateurs de pêche, de plein air et de camping.  Ils possédaient un terrain en bordure de la rivière des Hurons, juste à côté de l’église du village.  Mes parents, ma sœur et moi allions pique-niquer avec eux pendant les canicules. De magnifiques journées remplies aussi de maringouins, d’insectes noirs et autres horribles mouches qui raffolaient de ma douce et misérable peau.

    À peine sortie de la voiture, je me transformais en une cible mouvante entourée d’une ombre de moustiques. Je devenais comme un mariage d’oiseaux. Une brume d’insectes volait dans une parfaite harmonie avec tous les mouvements de mon corps.  J’avais beau courir de gauche à droite, descendre à la rivière avec mes cousins, galoper autour de la tente, cavaler dans les hautes herbes avec ma sœur, ils ne me lâchaient point.  Mon exquise chair se métamorphosait en un véritable festin pour eux.

    La frénésie

     

    Mon corps entier venait dans un tel état de crispation, à l’affût du moindre effleurement que provoquaient les pattes de moustique touchant mon épiderme.  Et je ne claquais jamais assez vite. De temps en temps, je criais victoire et mes yeux affolés voyaient une tache de sang auréoler le cadavre aplati de l’insecte maudit.  D’autres fois, je giflais ma cuisse alors que ce n’était qu’un brin d’herbe qui m’avait chatouillé la peau.   Parfois, une perle de sueur qui glissait lentement provoquait la même hystérie.  C’est surtout cet état de tension musculaire qui me rendait folle.  Si mal dans cette peau, véritable aimant à bibitte devenue boursouflée de piqûres.  Et cette rage. Cette frénésie de démangeaison, ce prurit quasi pervers obsédait tous mes sens.  Ah! Quelle jouissance que de gratter ces sales piqûres jusqu’au sang.

    Boisé l'été à Stoneham (crédit photo Phrenssynnes)

    La tartinade ou la baignade

     

    Quelques fois, je laissais ma mère me tartiner de chasse-moustique. Mais mon territoire épidermique déjà à feu et à sang en bénéficiait peu. Et, je me sentais visqueuse et brûlante avec cette odeur si chimique qui me poursuivait toute la journée, si artificielle et incongrue au milieu de toute cette nature.

    Ou j’allais me baigner dans la rivière caillouteuse dont l’eau glaciale contribuait à modifier ma contracture.  L’engourdissement gagnait mes pieds et mes jambes, c’est dans un état proche de l’apoplexie que je me mouillais le ventre.  Bravement, je m’enfonçais jusqu’à la nuque. Enfin, plus d’insectes!

    Faux, je finissais toujours par en apercevoir des géants avec de très longues pattes qui semblaient glisser sur la surface de l’eau comme d’habiles patineuses sur la glace.  Ces araignées d’eau ne piquaient pas, me disait-on.

    Le sandwich

     

    Puis les lèvres bleues, la peau rougie de froid, je courais sur l’herbe sèche qui me picotait les pieds, pour atteindre le sandwich jambon moutarde que me tendait ma mère.  Je m’enfuyais aussitôt dans la tente de mon oncle pour enlever mon maillot détrempé en me claquant à qui mieux mieux tantôt une jambe, tantôt un bras, la bobette d’une main, le sandwich dans l’autre.

    Et, je zippais rapidement la fermeture éclair du campement, je sprintais, lançant ma croûte de pain dans les airs, pour me réfugier dans la voiture de mon père.  La chaude canicule de l’habitacle réchauffait ma chair de poule.  Après avoir fini d’écraser tous les brûlots qui avaient daigné m’accompagner dans l’automobile, j’observais le restant de la famille goûter des joies du plein air.

    Mon corps exténué pouvait commencer à se détendre, une suave léthargie me gagnait, je m’allongeais sur la banquette, en profitant enfin de mon dimanche après-midi.

    Mais l’horreur me réveillait toujours un instant plus tard par le harcèlement d’un fatal bourdonnement me vibrant autour de l’oreille…

    Photo de Lhom

    Cette petite rivière n’est pas celle des Hurons mais Lhom a pris cette photo à Stoneham.

    Rivière à Stoneham (crédit photo Lhom)

    Je vous remercie d’avoir lu jusqu’ici!

    Si vous avez aimé cet article, je vous exprime toute ma gratitude si vous le partagez avec vos amis, votre famille ou sur les réseaux sociaux. 

    Pour m’encourager, je vous invite à vous abonner au blogue ou à l’infolettre. Vous trouverez les formulaires plus bas.

    Et encore merci de contribuer à la popularité du blogue!

    J’attends vos commentaires avec plaisir.

    Bonne semaine.

    Phrenssynnes

    Bonus!

    Si vous avez envie de m’encourager, voici un code QR que vos amis ou votre famille peuvent numériser avec la caméra de leur téléphone. Ils aboutiront ainsi à la page d’accueil du blogue.

    Plus besoin d’épeler le mot Phrenssynnes!

    code QR du blogue (crédit photo Phrenssynnes)

    Pour me suivre et ne rien manquer, inscrivez vous à ces deux publications.

    En vous abonnant sur le blogue, vous recevez le samedi matin ma dernière publication sur différents sujets : la culture, la bouffe, les voyages ou certaines réflexions.

    Abonnez-vous au blogue

    Pour recevoir les dernières publications du blogue :

    Vous pouvez aussi souscrire à mon infolettre mensuelle (sur la plateforme Substack). Sur une note légère, humoristique et positive, je partage les idées géniales découvertes lors de mes navigations sur le web et qui mérites votre attention.

    Mousse à l’omble de l’Arctique

    Cuisinez une mousse à l’omble de l’Arctique

    Qu’est-ce que l’omble?

    L’omble de l’Arctique ou omble chevalier est un poisson de la famille des saumons qu’on consomme dans les régions nordiques.

    Voici la recette de la mousse à l’omble, vous trouverez mes commentaires plus bas.

    Mousse à l’omble de l’Arctique

    Ingrédients

    • 170 g de hummus
    • 1 sachet de gélatine sans saveur
    • 50 ml d’eau froide
    • 15 ml de jus de citron
    • 30 ml d’olives hachées
    • 15 ml d’échalotes françaises hachées
    • 1 œuf cuit dur haché
    • 250 ml d’omble de l’Arctique cuit
    • 15 ml de céleri haché
    • Eau chaude pour bain-marie
    • Basilic frais et tomates cerises pour décorer

    Préparation

    Étape 1

    Videz le sachet de gélatine dans le chaudron du haut de votre bain-marie. Ajoutez 50 ml d’eau froide à la gélatine, mélangez et laissez reposer 15 minutes.

    Étape 2

    Placez le chaudron du haut de votre bain-marie sur celui du bas et faites chauffer afin de fondre la gélatine déjà gonflée.

    Étape 3

    D’autre part, mettez le hummus dans un bol à mélanger. Ajoutez la gélatine fondue et incorporez. Ensuite, ajoutez l’œuf cuit dur haché, les olives, le jus de citron, le céleri, les échalotes et l’omble cuit. Bien mélanger.

    Étape 4

    Versez dans un moule badigeonné avec un peu d’huile d’olive. Réfrigérez 2 à 3 heures avant de servir. Démoulez la mousse dans une assiette. Décorez-la avec des feuilles de basilic, des craquelins et des tomates cerises pour ajouter de la couleur.

    L'hummus dans le bol (crédit photo Phrenssynnes)
    L'hummus avec la gélatine (crédit photo Phrenssynnes)
    Le poisson cuit (crédit photo Phrenssynnes)

    J’ai une amie qui nous servait souvent comme entrée une délicieuse mousse au saumon.

    J’ai fini par lui demander la recette. Récemment, j’ai eu l’envie de la refaire pour servir comme hors-d’œuvre avec des craquelins. Et vous savez comment Phrenssynnes aime twister les recettes pour les améliorer d’un point de vue nutritif!

    Alors…

     

    Le twist santé (crédit photo Phrenssynnes)

    Comment twister une recette

    La stratégie consiste à remplacer les ingrédients moins bons pour la santé par d’autres.

    Évidemment, je choisis un équivalent qui a de meilleures valeurs nutritives. Ne pas trop altérer le goût et la texture du plat final s’avère crucial.

    La mousse au saumon de mon amie contient de la mayonnaise.

    Donc, son temps de conservation est limité. Je la jette après 24 heures, tel que ma mère me l’a toujours recommandée avec des mets cuisinés avec de la mayo.

    De plus, c’est considéré comme un aliment à diminuer dans notre consommation puisque c’est très gras. Et après plusieurs essais, je n’ai trouvé aucune mayo qui réussissait le test de l’application Yuka.

    Le twist santé (crédit photo Phrenssynnes)

    J’ai pensé remplacer la mayonnaise par du hummus.

    Plusieurs le font souvent pour un sandwich. L’autre amélioration est d’utiliser du poisson frais. Car dans la recette originale, le saumon est en conserve.

    J’ai choisi l’omble chevalier, mais vous pouvez aussi utiliser de la truite ou du saumon.

    Pour cuire l’omble, j’ai utilisé cette recette de Ricardo en substituant le vermouth par du vin blanc et le beurre par de l’huile d’olive. Cela m’a permis de faire un repas pour deux (avec 350 grammes) ainsi que cette mousse.

    Moule pour mousse (crédit photo Phrenssynnes)

    Le moule pour la mousse à l’omble de l’Arctique

     

     

    Voici le moule que j’utilise. Je le trouve pratique, car le fond peut s’enlever, ce qui facilite le démoulage. Sinon, trempez votre moule dans l’eau chaude quelques secondes avant de démouler votre mousse. Mais pensez aussi à passer un couteau au pourtour de la mousse pour décoller le bord et permettre à l’air d’entrer entre le moule et la mousse.

     

    Accessoire de cuisine

    Je possède un autre bidule pour trancher aisément un œuf cuit dur. L’instrument produit des lamelles uniformes. Je m’en sers aussi pour tailler des boules de fromage bocconcini.

    Observez les morceaux fins et égaux.

    N’en cherchez pas d’identique dans le commerce, car c’est une véritable antiquité! Il provient de ma belle-mère qui en avait hérité de sa sœur beaucoup plus âgée.

    Trancheur d'œuf (crédit photo Phrenssynnes)
    Œuf tranché (crédit photo Phrenssynnes)

    Bref, ce coupe œuf doit avoir plus de 50 ans! On faisait les choses solidement à cette époque

    Ces outils ne s’avèrent pas essentiels pour cuisiner, mais cela nous facilite la vie.

    Je suis certaine que vous ravirez vos invités avec cette mousse.

    Je vous remercie d’avoir lu cette chronique.

    Si vous avez aimé cet article, je vous exprime toute ma gratitude si vous le partagez avec vos amis, votre famille ou sur les réseaux sociaux. 

    Je suis également reconnaissante que vous ayez pris le temps de lire mon texte au complet et de contribuer à la popularité du blogue!

    J’attends vos commentaires avec plaisir.

    Bonne semaine.

    Phrenssynnes

    Trouver un équilibre peut être un défi mais manger sainement n’a pas besoin d’être compliqué!

    Abonnez-vous

    Pour recevoir les dernières publications du blogue :

    Floride vers Québec, le trajet formidable pour le retour

    La route de retour Floride vers le Québec

    Les vacances sont terminées et il faut bien revenir. J’aime jumeler le plaisir d’explorer avec le circuit à accomplir. Le choix de l’itinéraire pour la route s’avère important. Nous décidons à l’avance de la distance à parcourir quotidiennement en voiture. Nous planifions les plus longs trajets au début. De plus, nous vérifions les prévisions météorologiques d’avance et nous nous ajustons lorsque c’est possible.

    Le voyage que je vous présente s’étire sur quatre jours et trois arrêts « dodo ».

    Les hautes annonces au loin (crédit photo Phrenssynnes)

    Itinéraire

    En quittant la Floride, nous avons conduit sur l’autoroute 95 jusqu’à la hauteur de Charleston et ensuite sur la 26. Plus exactement, c’est à Whetsell, en Caroline du Sud, que nous sommes engagés sur la route 26. Nous nous sommes arrêtés pour la nuit à Columbia dans le même État.

    Le lendemain, de cette ville, nous sommes partis par l’autoroute 77 jusqu’à Fort Chiswell. Là, nous avons bifurqué afin de rouler sur la route 81. Ce trajet nous a fait éviter de passer près des grandes agglomérations comme Washington et Baltimore où on rencontre beaucoup de trafic. Surtout depuis que le pont s’est effondré à Baltimore.

    Nous avons couché le deuxième soir à Harrisburg, la capitale de la Pennsylvanie.

    Ensuite, la troisième journée, nous sommes partis d’Harrisburg en empruntant toujours la route 81 jusqu’à Binghamton dans l’État de New York.  À cet endroit, nous avons pris la 88 et fait un petit bout sur la route 90 afin de rejoindre la 87, un peu au nord d’Albany.

    Puis, nous avons filé pour Saratoga Springs, que nous avions sélectionné pour notre dernier arrêt avant d’arriver à destination.

    Drapeau américain sur la route (crédit photo Phrenssynnes)

    Nos observations sur la route

    Nous avons remarqué plusieurs choses sur ce long parcours d’environ 2900 kilomètres.

    Voyager sur des autoroutes qui ne traversent pas les grandes villes nous fait découvrir des facettes particulières de l’Amérique.

    Les frontières

    Comme au Canada avec ses provinces, chaque État signale sa frontière par une pancarte ou un emblème. Nous avons aimé celui qui nous annonçait la Caroline du Sud.

    Les entrepôts

    Sur une partie du trajet, en Pennsylvanie et dans l’État de New York, nous avons vu de chaque côté de la route un grand nombre d’entrepôts gigantesques. Ces millions de pieds carrés, propriétés de grosses compagnies comme Amazon, Walmart, etc., nous ont beaucoup impressionnés.

    Les aires de repos

     

    Les Rest Areas sont bien gérés. C’est accueillant et propre.

    Je dirais mieux qu’au Québec où nous nous sommes frappés le nez sur une porte de toilette barrée sur laquelle on avait collé une vilaine feuille de papier barbouillée d’un « FERMÉ ».

    Surtout lorsque ça fait quelques kilomètres qu’on attend…

    Aire de repos aux USA (crédit photo Phrenssynnes)
    Annonce d'avocat sur la route (crédit photo Phrenssynnes)

    Les affiches publicitaires

    Nous avons remarqué beaucoup de panneaux publicitaires. Cela n’a rien d’étonnant au pays du capitalisme. Mais ce qui nous a frappés, c’est leur hauteur.

    Nous avons aussi observé de nombreuses annonces pour des avocats.

    Et, lorsqu’on se situe dans les États du Sud telles la Géorgie et les Carolines, on voit des affiches religieuses, comme vous pouvez le constater sur une photo.

    Les pancartes religieuses me surprennent toujours.

    Blue Ridge Parkway

    Même si nous voyagions dans la région des montagnes Blue Ridge, nous n’avons pas parcouru le célèbre Parkway. Nous nous promettons de le réaliser un jour.

    Cependant, je vous assure que le paysage sur la route 81 entre Charlotte et Harrisburg vous coupera le souffle!

    Les affiches nombreuses (crédit photo Phrenssynnes)
    Ce qui est écrit sur l'annonce (crédit photo Phrenssynnes)

    Lisez ce qui est écrit sur l’affiche!

    Une autre curiosité sur la route de la Floride vers Québec

    À Mount Jackson en Virginie, on a décoré le réservoir d’eau d’un panier de pommes. J’ai trouvé cela joli.

    Nos arrêts

    Columbia

    Nous avons effectué notre premier arrêt dans la ville de Columbia en Caroline du Sud.

    Le temps prévu pour réaliser cet itinéraire représentait environ huit heures et demie, mais nous avons été retardés par un trafic important à l’intersection de la route 26.

    Heureusement que nous utilisons l’application Waze. Cela nous a permis de trouver un parcours alternatif qui nous a fait éviter un énorme bouchon.

     

    Réservoir d'eau décoré avec des dessins de pommes (crédit photo Phrenssynnes)
    Bouchon de circulation (crédit photo Phrenssynnes)
    Fleurs printanières sur la route (crédit photo Phrenssynnes)

    La pizzéria de Columbia

    Nous sommes allés manger dans un petit restaurant local près de notre hôtel.

    Nous avions envie d’une pizza et avons cherché sur le web. En arrivant sur place, nous avons constaté que la devanture du Pizza Palace ne nous inspirait pas beaucoup.  J’hésitais, mais Lhom a dit : « Tant qu’à être rendu, allons voir à l’intérieur. » Je crois qu’il avait faim.

    Le restaurant était presque plein et l’ambiance semblait chaleureuse.

    À une table, un couple très âgé dégustait leur breuvage. Un peu plus loin, trois amies discutaient joyeusement à travers des éclats de rire. Un autre groupe de quatre personnes partageait un pichet de bière. J’aurais parié que c’était les parents de la jeune fille accompagnés de son mari. Nous étions les seuls qui ne venaient pas de la place!

    L’atmosphère s’est révélée sympathique. Nous avons obtenu un excellent service et on m’appelait « darling » avec un bel accent traînant du Sud.  Et nous avons trouvé la nourriture succulente.

    Nous avons vécu une immersion dans la culture « carolinienne » avec beaucoup de plaisir.

    Le cœur de l'Amérique (crédit photo Phrenssynnes)
    Vallée de Shenandoah (crédit photo Phrenssynnes)

    Sur la route vers Harrisburg, voici des photos du cœur de l’Amérique. Les paysages de la vallée de Shenandoah nous éblouissent.

     

    Harrisburg, Pennsylvanie

    Capitole à Harrisburg (crédit photo Phrenssynnes)

    Harrisburg, la capitale de la Pennsylvanie, est située sur le bord de la rivière Susquehanna.

    Nous avons profité d’une demi-journée pour nous délier les jambes. Après toute cette route, nous avions besoin de bouger.

    Murale à St-Petersburg (crédit photo Lhom)

    Nous avons fait la tournée des fresques d’Harrisburg, comme à St Petersburg en Floride où Lhom avait croqué cette belle image.

    Les murales de la ville d’Harrisburg

    Murale 1 Harrisburg (crédit photo Phrenssynnes)
    Murale 2 Harrisburg (crédit photo Phrenssynnes)
    Murale 3 Harrisburg (crédit photo Phrenssynnes)
    Murale 4 Harrisburg (crédit photo Phrenssynnes)
    Des nuages (crédit photo Phrenssynnes)

    En route vers le nord

    En route vers Saratoga Springs, nous avons observé une formation nuageuse inquiétante, pourtant nous avons eu à peine quelques gouttes de pluie.

    Nous avons opté pour Saratoga Springs, mais nous aurions pu aussi arrêter à Hyde Park où nous avons déjà séjourné en revenant de Philadelphie.

     

    Saratoga Springs

    Saratoga Springs était réputé pour ses eaux thermales. Vous pouvez aller vous promener au Saratoga Spa State Park. Cette zone était un lieu sacré pour les Amérindiens.

    « Ces sources sont les seules sources minérales naturellement gazeuses à l’est des montagnes Rocheuses. »

    Saratoga Springs heritage area visitor center

    Pendant la guerre française et indienne (1754-1763), on y amenait des soldats pour aider à guérir leurs blessures.

    L’ancien président Franklin D. Roosevelt qui souffrait de poliomyélite vantait les bienfaits de ces cures thermales.

    La ville est aussi un endroit renommé pour les courses de chevaux pur-sang.

    Étant donné qu’il pleuvait lorsque nous sommes passés, nous avons écourté notre visite.

    Par contre, je peux vous recommander le restaurant où nous avons mangé avec beaucoup d’agrément, le Thirsty Owl.

    Conclusion

    De retour à Québec, nous sommes allés voir le film Guerre civile que je vous recommande d’ailleurs.

    Dans l’intrigue, une équipe de journalistes roulent de New York vers Washington pour aller rencontrer le président. Avec étonnement, Lhom et moi avons reconnu une partie de la route que nous venions juste de conduire!

    Photo de Lhom

    Nous gardons dans nos souvenirs cette image d’une de nos dernières soirées à Delray Beach. 

    Atlantic avenue (crédit photo Lhom)

    Je vous remercie d’avoir lu cette chronique.

    Si vous avez aimé cet article, je vous exprime toute ma gratitude si vous le partagez avec vos amis, votre famille ou sur les réseaux sociaux. 

    Je suis également reconnaissante que vous ayez pris le temps de lire mon texte au complet et de contribuer à la popularité du blogue!

    J’attends vos commentaires avec plaisir.

    Bonne semaine.

    Phrenssynnes

    P.S. Je n’ai aucun lien affilié avec les endroits recommandés.

    Afin de ne rien manquer, abonnez-vous!

    Abonnez-vous

    Pour recevoir les dernières publications du blogue :

    Lumière dorée prise de Perkins Cove (crédit photo Phrenssynnes)

    Pour lire en plus sur les aventures de Brittany Brexit et autres voyages.

    Observation de la faune locale en Floride

    Observation d’une faune variée

    En Floride, vous pouvez faire d’autres activités que de vous étendre sur la plage. Moi aussi j’aime bien me tartiner de crème solaire, m’installer avec un livre à la main sous un parasol coloré et lézarder devant l’océan.  Mais je vous suggère de compléter votre séjour par une visite dans des refuges d’oiseaux.

    Explorer le Green Cay Nature Center and Wetlands vaut le détour.

    Image éducative 1 (crédit photo Phrenssynnes)
    Construction du Green Cay Nature Center (Crédit photo Phrenssynnes)
    Image éducative 2 (crédit photo Phrenssynnes)

    En 1999, la famille Winsberg a vendu, à un prix réduit, leur terrain au Palm Beach County à la condition qu’on y construise un centre pour accueillir la faune sauvage. Avant, cette famille exploitait une ferme prospère de poivrons verts.

    Observation d’un spécimen particulier

     

    Maintenant, les visiteurs peuvent se promener gratuitement sur les immenses trottoirs de bois aménagés pour l’observation de la faune.

    L’endroit est aussi peuplé d’une autre espèce rare : l’homo sapiens accroauxphotos! C’est un être humain dont le visage est caché par un appareil photo muni d’une interminable lentille de zoom. La tête habituellement ornée d’un chapeau, il est vêtu de couleur neutre, se fondant bien avec l’environnement. Je n’ai pas pris en photo ce spécimen malgré le grand nombre observé immobile sur les longues galeries de bois.

    Ah! Ah! Je me trouvais bien mal équipé, par rapport à eux, avec mon minable téléphone cellulaire pour croquer les images incroyables que la nature nous offrait. Pourtant, j’ai conclu que le résultat n’était pas si mauvais.

    J’ai même réussi à filmer cet oiseau qui s’envole.

    Mettez le son pour entendre les chants.

    Trottoirs de bois (crédit photo Phrenssynnes)
    Fleur mauve au centre nature (crédit photo Phrenssynnes)
    Affiche éducative au centre naturel (crédit photo Phrenssynnes)

    Hum… J’étais bien contente de la présence de ce genre de poisson dans le marais, car je suis allergique aux piqûres de moustique.

    Nous avons parcouru le centre vers dix heures le matin et je n’ai pas eu une seule piqûre. Par contre, je ne garantirais pas cela si vous effectuez votre sortie à l’aube ou au crépuscule.

    Même si nous avons visité l’endroit dans le milieu de l’avant-midi, nous avons aperçu une foule d’animaux extraordinaires.

    Des oiseaux blancs (crédit photo Phrenssynnes)
    Une sorte d'héron (crédit photo Phrenssynnes)

    Observation de la faune à une bonne distance

    Dans ce genre d’endroit, nous pouvons aussi voir des alligators. Chanceux, nous avons pu en observer deux. Tel que vous pouvez le constater, il se reposait assez loin de nous, mais j’ai réussi à obtenir une bonne image en zoomant. C’est le même animal sur les deux photos.

    Alligator au loin (crédit photo Phrenssynnes)
    Zoom sur l'alligator (crédit photo Phrenssynnes)

    Observer les oiseaux sans être ornithologue

    C’est une visite très agréable même si vous n’êtes pas un ornithologue chevronné. De plus, si vous vous y rendez avec des enfants, ils trouveront que c’est une expérience incroyable.

    Observation d'un oiseau (crédit photo Phrenssynnes)

    Vous trouverez plusieurs tableaux éducatifs où on explique les variétés d’oiseaux et d’animaux qu’on peut observer.

    Sur cette photo et la vidéo, vous pouvez voir des tortues.

    Deux tortues (crédit photo Phrenssynnes)

    Conclusion sur l’observation de la faune locale

     

    Nous avons adoré cette activité. Vous pouvez aussi visiter gratuitement un autre endroit, le Wakodahatchee Wetlands qui se situe dans la même région.

    J’aime beaucoup entendre le chant des oiseaux et j’ai été comblée dans cette visite. Et vous? Aimez-vous observer les oiseaux?

    Regardez cette vidéo et mettez le son.

    Photo de Lhom

    Cette semaine, nous avons droit non pas à une image, mais à une vidéo de Lhom. Il a réussi à filmer un deuxième alligator qui se promenait paisiblement dans l’étang à côté des volatiles.

    Je vous remercie d’avoir lu cette chronique.

    Si vous avez aimé cet article, je vous exprime toute ma gratitude si vous le partagez avec vos amis, votre famille ou sur les réseaux sociaux. 

    Je suis également reconnaissante que vous ayez pris le temps de lire mon texte au complet et de contribuer à la popularité du blogue!

    J’attends vos commentaires avec plaisir.

    Bonne semaine.

    Phrenssynnes

    Afin de ne rien manquer, abonnez-vous!

    Abonnez-vous

    Pour recevoir les dernières publications du blogue :

    Lumière dorée prise de Perkins Cove (crédit photo Phrenssynnes)

    Pour lire en plus sur les aventures de Brittany Brexit et autres voyages.

    Chronique de « Intérieur nuit » de Marisha Pessl

    Pourquoi lire Intérieur nuit?

    J’ai lu le livre, Intérieur nuit, le deuxième roman publié de Marisha Pessl, une écrivaine du Nord-est américain.

    J’aime encourager la gent féminine et je sélectionne des livres où l’intrigue se passe à des endroits que je visite. Donc, je fais des recherches dans ce sens. C’est ainsi que j’ai découvert Marisha Pessl.  Pourquoi l’avoir choisie? Sur un site internet, les noms de plusieurs femmes auteures défilaient.

    Deux petites coïncidences m’ont surprise, tout simplement!

    Intérieur nuit m’attendait à la bibliothèque!

    Depuis que j’ai terminé cette lecture, j’ai décidé d’entamer bientôt La physique des catastrophes.

    Livre de Marisha Pessl sur un palmier (crédit photo Phrenssynnes)

    Citation

    « L’opacité. Je sais que c’est difficile à comprendre de nos jours, mais le véritable artiste a besoin d’opacité pour créer. C’est d’elle qu’il tient son pouvoir. Son invisibilité. Moins le monde en sait sur lui, sur ses faits et gestes, ses origines, ses méthodes secrètes, plus il est fort. »

    Marisha Pessl dans Intérieur nuit

    Quatrième de couverture

    Je trouve inutile de recopier la quatrième de couverture, je préfère vous laisser parcourir le résumé directement sur cette image. La lisez-vous toujours avant de commencer un livre? Moi, oui.

    Quatrième de couverture d'Intérieur nuit (crédit photo Phrenssynnes)

    Citation

    « Ma vie était un costume que je n’avais mis que pour les grandes occasions. La plupart du temps, je l’avais gardée au fond de mon placard, oubliant jusqu’à sa présence. On était censés mourir quand les coutures ne tenaient plus qu’à un fil, quand les coudes et les genoux étaient tachés d’herbe et de boue, les épaulettes abîmées par les étreintes, les pluies torrentielles et le soleil de plomb, le tissu élimé, les boutons arrachés. »

    Marisha Pessl dans Intérieur nuit

    Intérieur nuit sur un palmier (crédit photo Phrenssynnes)

    Ce que j’ai aimé

    Page noire (crédit photo Phrenssynnes)

    L’audace d’Intérieur nuit

    Tout d’abord, lorsque j’ai parcouru le bouquin, j’ai remarqué un fait rare dans un tel type de roman. En feuilletant l’ouvrage, on découvre plusieurs pages avec des images. Vous observerez des rapports médicaux, des photos de chroniques dans des magazines ou des sites internet. En fait, Marisha Pessl a créé ces volets graphiques afin de rendre encore plus réel Stanislas Cordova, un des personnages importants de l’histoire. Il est un cinéaste mythique, très connu, mais également d’une excentricité légendaire. On qualifie ses films de chefs-d’œuvre.

    Mais c’est le journaliste d’investigation, Scott McGrath, que nous suivons tout au long du livre. J’aime son scepticisme et son auto-dérision.

    Ses expériences sont aussi imagées.

    Par exemple, à la page 581 de l’intrigue, Scott éprouve un black-out de trois jours. Or, pour figurer cette perte de conscience, l’auteure a choisi d’insérer dans le bouquin une feuille noire, recto et verso!

    J’admire cette fantaisie artistique de l’écrivaine.

    Une des choses qui m’a frappée dans cette fiction, c’est la complexité dans la construction des protagonistes.

    Pessl a imaginé, non seulement la vie, l’œuvre entière du cinéaste Cordova, mais aussi plusieurs articles de médias à son sujet.

    C’est la première fois où je lis un roman où la création des personnages est si approfondie. Et j’admire cela.

    Livre Intérieur nuit sur fond gris (crédit photo Phrenssynnes)

    Citation

    « Le temps efface de nos souvenirs la plupart des horreurs et des souffrances. »

    Marisha Pessl dans Intérieur nuit

     

    Ce que j’ai moins aimé

    Les italiques

    Marisha Pessl utilise l’italique d’une façon inusitée que je n’ai pas tout à fait compris.

    Le côté sombre

    On perçoit que l’enquête du journaliste Scott McGrath frise l’obsession malsaine.

    De plus, lors de sa quête, il découvre un lien avec la magie noire et on sent bien son angoisse avec tout ça.

    Le réalisateur Cordova crée des films d’une horreur et d’une violence si terribles qu’on en interdit la diffusion dans les salles de cinéma. Des admirateurs divulgueront l’œuvre devenue ainsi mythique, de façon illégale dans les endroits les plus insolites. Cela prendra une tournure virale sur le nombre d’irréductibles adeptes anormalement obnubilés par l’artiste.

    Cela teinte l’histoire d’un côté obscur.

    J’ai aimé la finale

    Par contre, sans vous en dire plus, la fin nous aligne vers quelque chose de plus lumineux. Du moins, c’est mon interprétation.  Mais, puisque cette fin est ouverte, peut-être en discernerez-vous une autre fin.

    Le côté sombre de New York (crédit photo Phrenssynnes)

    Photo de Lhom

    Cette photo de Lhom illustre bien la ville où se déroule le roman. La branche symbolise une autre partie de l’intrigue de Marisha Pessl qui se déroule dans la région au nord du Big Apple.

    New York City vue côté Nord (crédit photo Lhom)

    Recommandations

    Je vous recommande de lire ce roman si :

    • Vous aimez lire les histoires qui se déroulent à New York et dans la région de la Hudson Valley.
    • Vous recherchez des fictions où on met en valeur les artistes.
    • Vous voulez encourager la littérature féminine.
    • Vous désirez lire un livre admirablement écrit et bien traduit.

    Intérieur nuit est le genre de roman qu’on regrette de terminer parce qu’on aurait encore envie de suivre les héros.

    Connaissiez-vous cette auteure?

    Je vous remercie d’avoir lu cette chronique.

    Si vous avez aimé cet article, je vous exprime toute ma gratitude si vous le partagez avec vos amis, votre famille ou sur les réseaux sociaux. 

    Je suis également reconnaissante que vous ayez pris le temps de lire mon texte au complet et de contribuer à la popularité du blogue!

    J’attends vos commentaires avec plaisir.

    Bonne semaine.

    Phrenssynnes

    P.S. Je n’ai pas avisé, avant publication, les auteurs et éditeurs mentionnés dans cet article.

    Lorsque vous êtes abonné, tous les samedis matin, vous trouverez mon dernier article dans votre boîte courriel prêt à être consulté pendant que vous savourez votre café.

    Abonnez-vous

    Pour recevoir les dernières publications du blogue :

    Abonnez-vous

    Pour recevoir les dernières publications du blogue :

    Version 2 d’un road trip Québec Floride. D’autres beaux endroits à visiter

    Rouler jusqu’en Floride

    Si vous n’avez jamais effectué le parcours du Québec à la Floride, sachez que c’est une belle expérience à faire au moins une fois dans sa vie.

    Vous le faites chaque année ? Cet article s’adresse aussi à vous, car vous découvrirez peut-être un chemin différent du vôtre.

     

    La grisaille du Québec (crédit photo Phrenssynnes)

    Les hôtels sur la route de la Floride

    Nous profitons du chemin plutôt que de nous dépêcher afin d’atteindre notre destination.

    L’objectif est de rouler six à neuf heures par jour selon les endroits que nous voulons visiter.

    Nous réservons, au fur et à mesure, dans la même chaîne pour toutes les nuitées. On s’abonne au club de la compagnie afin de bénéficier de certains avantages.

    Quitter la grisaille du Québec

    Parcourir ce long chemin à la fin de l’hiver, c’est une expérience visuelle. Des teintes de gris ennuyant et de brun fade, on voyage vers la verdure et la couleur des fleurs éclatantes.

    Nous avons pris l’autoroute 87 en passant par Plattsburgh dans l’État de New York.

    Nous avons effectué ce parcours en quatre jours et trois nuits.

    La veille, nous allons nous acheter un casse-croûte à l’épicerie ainsi que des collations protéinées telles que des noix et des barres tendres.

    Avant de partir, nous préparons aussi de bonnes réserves d’eau dans nos gourdes thermiques.

    Gourdes thermiques (crédit photo Phrenssynnes)

    Sur la route

    Toutes sortes d’expériences visuelles nous attendent sur la route.

    Nous avons aperçu un véhicule insolite. Désolée pour la qualité de la photo, mais j’ai dû me dépêcher pour croquer cette image imparable! Remarquez les faux rats sur le toit ainsi que la fausse main sous la voiture.

    Voiture étrange (crédit photo Phrenssynnes)
    Nos premières fleurs (crédit photo Phrenssynnes)

    Les premières couleurs

    Nous avons bifurqué au nord du Big Apple, juste après Gardnertown,  pour rejoindre l’autoroute 84. Ensuite, à Scranton en Pennsylvanie, nous avons pris la 81.

    À Wilkes-Barre, nous avons effectué notre première pause. J’aurais cru qu’après neuf heures de voiture la température serait plus clémente. Mais il faisait froid comme chez nous lorsque nous sommes partis le matin. Et il ventait beaucoup.

    Saviez-vous que Scranton est la ville natale du président Joe Biden?

    À part Scranton et Wilkes-Barre, vous pouvez aussi loger à Clark Summit qui se situe juste à côté. Lisez cet article où Brittany Brexit vous raconte notre arrêt dans cette petite bourgade.

    Le lendemain, nous avons continué sur la route 81 jusqu’à Frederick au Maryland où nous avons rejoint la 270 pour prendre la 495 qui ceinture la ville de Washington.

    On doit attendre à la hauteur de la capitale américaine pour apercevoir les premières couleurs.

    Nous avons vu en premier ces bouquets jaunes et ensuite, nous avons été pâmés par les arbres fleuris. En sortant de la voiture pour manger notre pique-nique, nous avons entendu les mélodies d’oiseaux. Dévorer notre sandwich à l’extérieur autour de la végétation colorée et se faire bercer par les chants de merles, quel bonheur!

    La deuxième nuitée

    Nous avons effectué notre deuxième arrêt à Fayetteville en Caroline du Nord.

    Notre sortie au restaurant nous a permis de vivre une expérience culturelle. Le jeune serveur nous a demandé une carte d’identité pour vérifier notre âge malgré les cheveux blancs de Lhom. Nous avons bien ri avec lui. Il nous a expliqué que la loi l’obligeait à faire cette vérification, peu importe les évidences.

    J’en ai profité pour savourer du grits et du pain au maïs, deux spécialités du Sud.

    Le grits ressemble à la polenta.  C’est une céréale moulue de façon grossière fabriquée à partir du maïs. On cuit cette semoule avec de l’eau ou du lait afin de créer une bouillie crémeuse. Certains la servent chaude au petit-déjeuner comme un gruau mais on la propose aussi pour remplacer les pommes de terre ou le riz.

    Les arbres en fleurs et le soleil (crédit photo Phrenssynnes)
    La couleur rose des fleurs (crédit photo Phrenssynnes)
    Fleurs blanches du printemps (crédit photo Phrenssynnes)

    Savannah, un bel arrêt vers la Floride

    Après avoir dépassé Washington, nous avons pris l’autoroute 95 jusqu’à notre prochain arrêt.

    Nous avons fait un pique-nique dans un des nombreux parcs de Savannah.

    Le détour en vaut la peine. Vous y découvrirez une ville du Sud impressionnante par sa végétation et ses nombreux jardins qu’on appelle des squares. Disséminés au centre-ville, les gens vont s’y détendre et admirer l’environnement.

    Nous avons ressenti une atmosphère douce et calme à l’heure du dîner dans cet endroit.

    Lhom et moi avions déjà visité cette ville il y a plusieurs années. Cette visite rapide nous a donné le goût d’y retourner pour un plus long séjour.

    Les arbres et la végétation y sont magnifiques.

    Les fleurs à Savannah (crédit photo Lhom)

    Allez vous délier les jambes en marchant au parc Forsyth, vous trouverez le site enchanteur.

    Si vous décidez de faire votre arrêt pour la nuit à Savannah, choisissez un hôtel à Richmond Hill. Les tarifs, plus économiques qu’au centre-ville, vous plairont. De plus, c’est au sud et près de l’autoroute 95.

    Vous gagnerez en rapidité lors de votre départ.

    Parc fleuri à Savannah (crédit photo Lhom)
    Les arbres à Savannah (crédit photo Phrenssynnes)

    Un autre truc pour la route vers la Floride

     

    Nous avions envisagé dormir à Savannah mais nous avons changé nos plans en fonction de la température.

    Lhom surveille toujours la météo afin de mieux synchroniser les activités extérieures.  C’est un autre truc à penser pour rendre votre parcours plus agréable.

    Donc, nous avons fait notre troisième halte à Jacksonville et il nous restait seulement quelques heures pour atteindre notre destination, Delray Beach.

    Savez-vous qu’en entrant dans l’État de la Floride, si vous arrêtez au centre d’information, on vous offrira un jus d’orange ou de pamplemousse gratuitement?

    De plus, la quantité de brochures et documents touristiques m’a impressionnée dans ce centre de renseignement. Je dois avouer une petite lubie lorsque je voyage. J’aime les cartes routières. J’adore pouvoir décortiquer et saisir chaque itinéraire dans une vue globale. Et je sais que nous n’en avons pas vraiment besoin avec les applications électroniques d’aujourd’hui.

    Tout le monde me taquine au sujet de ce caprice.

    Application Waze (Capture écran de Phrenssynnes)

    Les applications électroniques

    Pour ce qui est de ces applications électroniques, nous aimons beaucoup Waze. Elle offre plus d’informations que Google Map. Beaucoup de camionneurs l’utilisent, ce qui est une bonne référence!

    C’est un site où tout le monde peut participer. On y signale la présence policière, les accidents, les objets et les débris sur la route. Vous pouvez aussi voir tous les autres chauffeurs en ligne en temps réel. Mais vous pouvez désactiver cette fonction dans les réglages.

    Essayez la avant de partir afin de vous habituer et vous l’adopterez.

    Petit détail à ne pas oublier lors de vos paramétrages, veuillez à bien indiquer non seulement la ville, mais également l’État américain. J’ai remarqué qu’on trouve plusieurs Fayetteville ou Harrisburg. Déterminez bien votre destination, car vous pourriez vous retrouver à un endroit indésiré.

    Des fleurs en Floride

    Les fleurs de la Floride (crédit photo Phrenssynnes)
    Des orchidées (crédit photo Phrenssynnes)

    Nous voici enfin arrivés!

    La végétation luxuriante nous démontre que l’on est rendu dans une région tropicale.

    Fleur d'Hibiscus (crédit photo Phrenssynnes)
    Un jardin d'orchidées (crédit photo Phrenssynnes)
    Fleurs mauves (crédit photo Phrenssynnes)

    Photo de Lhom

    Lors d’un arrêt, Lhom, ce petit coquin, a pris une photo, à mon insu. Hum, je n’ai pas fini de me faire agacer!

    Carte routière (crédit photo Lhom)

    Je vous remercie d’avoir lu cette chronique.

    Si vous avez aimé cet article, je vous exprime toute ma gratitude si vous le partagez avec vos amis, votre famille ou sur les réseaux sociaux. 

    Je suis également reconnaissante que vous ayez pris le temps de lire mon texte au complet et de contribuer à la popularité du blogue!

    J’attends vos commentaires avec plaisir.

    Bonne semaine et bon voyage.

    Phrenssynnes

    Le challenge de février sans alcool, mon expérience personnelle.

    Introduction

    En 2024, j’ai décidé de me donner un défi. En anglais, ils le nomment Dry February. J’ai choisi le mois le plus court, mais je me suis fait avoir. 2024 est une année bissextile! Un jour de plus. Hum!

    Le défi

    Le défi, c’est de ne pas boire d’alcool pendant les vingt-neuf jours de février.

    Ma consommation d’alcool

    Ma consommation habituelle se résume à quelques verres de vin par semaine, du jeudi au dimanche. Je n’en bois pas tous les jours. Cela équivaut environ à un ou deux verres de vin lorsque j’en prends.

    Exceptionnellement, j’avoue que cela peut aller à quatre verres lors d’une soirée avec des amis.

    J’adore découvrir les saveurs des différents cépages.

    Boisson sans alcool (crédit photo Phrenssynnes)

    Je bois très peu de bière et jamais d’alcool fort comme du gin ou du scotch. Je n’aime pas l’effet désagréable que ce genre de boisson me procure. Souvent en apéro, je prends un verre de vin blanc ou de mousseux. Je n’aime pas les digestifs, c’est trop sucré en général et le cognac se situe dans la catégorie trop fort pour moi.

    Educalcool

    À ce propos, le site Educalcool fournit une réponse à toutes nos interrogations.

    On croit que tout est relatif, mais vérifié sur Éducalcool. Certains diront que je bois peu, mais pour une personne de ma constitution, c’est plus que les recommandations.

    Personne n’est parfait.

    Pourquoi le défi sans alcool

     

    Je suis sensibilisée au problème de l’alcoolisme. Je ne voudrais pas que cela m’arrive.

     

    Mon autre motivation à relever ce défi demeure la curiosité.

     

    • Comment vais-je me sentir?
    • Est-ce que j’en suis capable?
    • Jusqu’à quel point vais-je trouver cela difficile?
    • Est-ce que je me sentirais mieux?
    • Est-ce que cela me ferait maigrir?
    • Est-ce que cela me donnera envie d’arrêter complètement?
    Verre de vin et Ta mort a moi (crédit photo Phrenssynnes)

    Les moyens pour réussir

    Lorsqu’on se fixe un défi, nous devons nous donner les moyens de réussir.

    J’en ai d’abord discuté avec Lhom. Il m’a demandé : « Et à la Saint-Valentin? » J’ai décidé de faire une exception pour cette seule journée et je me suis limitée à un verre de rouge. Du moins, pour ce qui est du vin!

    La bière sans alcool m’a sauvée.

    J’associe la consommation de boissons alcoolisées avec le côté festif des week-ends. Donc, je me suis aussi donné la permission de boire de la bière sans alcool dans les moments où je prendrais du vin. J’ai acheté différentes sortes de bières sans alcool pour faire une expérience de dégustation.

    lettre d'amour (crédit photo Phrenssynnes)

    Les mocktails?

    Je n’ai pas exploré le monde des mocktails (des cocktails sans alcool) car ces breuvages sont souvent composés de jus ou de sirops sucrés. Je ne voulais pas remplacer ma consommation d’alcool par une augmentation de sucre.

    Trouver le moyen de se gâter

    Un autre truc pour raviver un breuvage ennuyant est de me servir une eau minérale dans un élégant verre à martini ou une belle coupe. Je garnis cette boisson avec une rondelle de citron ou une olive.

    Ce que j’ai trouvé difficile

    J’ai trouvé que le moment le plus difficile du mois est quand j’ai reçu des amis à souper. Je sers souvent une assiette de fromages, après le menu principal, avec une baguette au levain. J’ai découvert que c’est meilleur avec un bon verre de rouge qu’avec de la bière.

    Conclusion de mon défi sans alcool

    Première constatation, j’ai réussi!

    Deuxième conclusion, je n’ai pas modifié mon opinion et je préfère le goût du vin à celui de la bière. D’autant plus que c’est moins bourratif.

    Je n’ai pas maigri et je n’ai pas remarqué de changement pour ma santé.

    Le lendemain de la soirée où on a reçu des amis, étant donné que nous nous étions couchés plus tard, j’étais fatiguée. Mais autant que si j’avais pris deux ou trois verres!

    J’ai découvert plusieurs bières sans alcool délicieuses. Je ne vois pas de différence dans le goût, avec et sans alcool. Tellement, qu’à l’avenir, je ne consommerai que des bières sans alcool.

    Cela m’a fait prendre conscience de la quantité qu’on doit boire pour ne pas nuire à notre santé.

    Le premier mars, je ne me suis pas soûlée, mais le vin était bon!

    Photo de Lhom

    Lhom nous offre cette semaine une image de la ville de New York prise à partir de Central Park. Nous y sommes allés quelques jours après l’ouverture de la frontière américaine pendant la pandémie.

    New York (crédit photo Lhom)

    Et vous? Avez-vous déjà fait ce genre de défi?

    Êtes-vous amateur de vin ou l’alcool a-t-il peu de place dans votre vie?

    J’attends vos commentaires avec plaisir.

    Je vous remercie d’avoir lu cette chronique.

    Si vous avez aimé cet article, je vous exprime toute ma gratitude si vous le partagez avec vos amis, votre famille ou sur les réseaux sociaux. 

    Je suis également reconnaissante que vous ayez pris le temps de lire mon texte au complet et de contribuer à la popularité du blogue!

    Bonne semaine.

    Phrenssynnes

    Trouver un équilibre peut être un défi mais manger sainement n’a pas besoin d’être compliqué!

    Abonnez-vous

    Pour recevoir les dernières publications du blogue :

    Journée internationale de la femme et jardin d’écrivaines.

    Les écrivaines et la Journée internationale de la femme

    Étant donné que le 8 mars est la Journée internationale des droits des femmes, mon article hebdomadaire sera consacré aux femmes et à la littérature.

    Lire les œuvres d’écrivaines est une façon concrète d’encourager les femmes.

    Selon Wikipédia, les sœurs Brontë, Charlotte, Emily et Anne, ont publié sous des pseudonymes masculins.

    Selon une biographie, Jane Austen aurait publié dans l’anonymat!

     

    Persuasion de Jane Austen (crédit photo Phrenssynnes)

    « L’ouvrage paraît donc en 1846 sous des pseudonymes masculins, Currer (pour Charlotte), Ellis (pour Emily) et Acton (pour Anne) Bell. Ce sont des prénoms fort peu courants, mais les initiales de chacune des sœurs sont respectées et le patronyme a peut-être été inspiré par celui du vicaire de la paroisse, Arthur Bell Nicholls. »

    Extrait de Wikipédia

    « Ayant publié ses romans sous anonymat, Jane Austen ne connaît aucune véritable popularité de son vivant, bien qu’elle soit lue et appréciée par l’élite littéraire de l’époque et jouisse de bonnes ventes et de critiques favorables pour la plupart de ses œuvres. Il faut attendre 1869 et la publication de A Souvenir of Jane Austen (Mes Souvenirs de Jane Austen), signé par son neveu James Edward Austen-Leigh, pour que l’écrivaine fasse l’objet d’un regain d’intérêt en Angleterre. »

    Extrait de la biographie de Jane Austen sur le site FNAC.

    Livre sur femme et science (capture écran de Phrenssynnes)

    Les femmes, l’histoire et la science

    Tout d’abord, je vous encourage à lire ces deux livres qui mettent en valeur les femmes dans deux domaines souvent réservés aux hommes.

    Les grandes oubliées : pourquoi l’histoire a effacé les femmes de Titiou LeCocq. Je l’ai trouvé très intéressant et instructif. Il nous apprend beaucoup de choses sur l’histoire des femmes en France. C’est un essai de 325 pages publié en 2022. Non seulement l’auteure nous explique pourquoi l’histoire a effacé les femmes, mais elle nous fait aussi découvrir celles qu’elles étaient et leur rôle important.

    Un deuxième bouquin en attente sur ma PAL (pile à lire) est une recommandation d’un bon ami. Oui, c’est un homme qui m’a suggéré la lecture du livre Les plus grandes femmes de la science de Jean C.Baudet.

     

    Un jardin d’écrivaines

    Cet article se veut un jardin de suggestions de livres publiés par des femmes dans lequel vous pouvez aller cueillir l’inspiration pour vos prochaines lectures.

    Je les ai classés par leur nationalité. Par contre, certaines n’écriront pas nécessairement des histoires qui ont eu lieu dans leur pays natal. Par exemple, Elizabeth George est une Américaine, mais ses romans se déroulent en Grande-Bretagne.

    Si vous cliquez sur le nom d’une auteure, vous serez dirigé vers une chronique sur d’un ses livres.

    Mini jardin botanique (crédit photo Phrenssynnes)
    Tout le bleu du ciel (capture écran de Phrenssynnes pour club de lecture)
    Livre de Sagan et boiserie (crédit photo de Phrenssynnes)
    Femme forêt (crédit photo Phrenssynnes)

    Citation

    « La plus grande gloire pour une femme est qu’on ne parle pas d’elle, disait Périclès qui était, lui, un des hommes dont on parlait le plus. »
    Une chambre à soi, Virginia Woolf

    Si l’historique de la journée du 8 mars vous intéresse, je vous invite à consulter cet article de la blogueuse Ju lit les mots.

    Photo de Lhom

    Lhom nous offre deux photos prises il y a quelques années à Calgary en Alberta.

    C’est une sculpture de cinq femmes canadiennes surnommées les cinq célèbres.

    Il en manque deux sur un cliché, c’est pourquoi vous avez droit à deux images cette semaine.

    Cette magnifique œuvre de Barbara Paterson nous a éblouis. Je dois avouer que je ne les connaissais pas avant d’avoir vu cette statue.

    Je vous présente les cinq célèbres :

    Quatre Albertaines et Henrietta qui était Québécoise. Elles ont travaillé d’arrache-pied pour le droit des femmes canadiennes. Si vous avez envie de comprendre pourquoi ces cinq femmes sont connues, voici le lien pour découvrir leur histoire.

    Les Cinq femmes célèbres (crédit photo Lhom)
    Les cinq célèbres(2) (crédit photo Lhom)

     

    Quelles écrivaines allez-vous cueillir dans ce jardin?

    Je vous remercie d’avoir lu cette chronique.

    Si vous avez aimé cet article, je vous exprime toute ma gratitude si vous le partagez avec vos amis, votre famille ou sur les réseaux sociaux. 

    Je suis également reconnaissante que vous ayez pris le temps de lire mon texte au complet et de contribuer à la popularité du blogue!

    J’attends vos commentaires avec plaisir.

    Bonne semaine.

    Phrenssynnes

    P.S. Je n’ai pas avisé, avant publication, les auteurs et éditeurs mentionnés dans cet article.

     

     

     Cliquez ici pour lire d’autres articles sur Phrenssynnes se cultive.

    book-club_illustration-10 (crédit DIVI)

    Abonnez-vous

    Pour recevoir les dernières publications du blogue :