Cette semaine, comme vous avez pu le constater sur Facebook, ma sœur et moi avons fait un petit séjour à Stoneham. Nous nous sommes amusées à le nommer pompeusement Camp littéraire 2024!
Voici la photo de l’inauguration officielle.
Des randonnées pédestres entre de grandes discussions et d’exercices littéraires ou créatifs. En bref, ce fut une expérience intense et très motivante. N’ayez crainte, je vous épargnerai mes élucubrations poétiques.
Donc, le sujet de la semaine sera sur une conférence qui m’a fait découvrir les secrets d’un bon repos.
Insomnie, un problème pour beaucoup de personnes
Je vois que sur le réseau social Reddit, le thème de l’insomnie provoque beaucoup de commentaires. Devons-nous présumer la grande importance de ce problème dans la population?
Insomnie et ménopause
Je ne suis pas une insomniaque chronique mais à une certaine époque, j’avais plus de mal à bien dormir. La ménopause s’avère une période de changement important dans la vie d’une femme. Et, j’ai été étonnée que l’insomnie s’avère en être le plus grand symptôme. Alors que je croyais que c’était les chaleurs.
J’ai déjà écrit un article sur le sommeil. En fait, c’était le résumé d’un livre sur l’insomnie que j’ai beaucoup apprécié et d’une allocution de Matt Walkers.
Matt Walkers
Avez-vous visionné cette conférence de ce spécialiste? Il explique jusqu’à quel point le sommeil est important pour une bonne santé. Que ce soit pour le système immunitaire, le niveau de testostérone (oui, messieurs!), les fonctions d’apprentissage et de mémoire. Le sommeil s’avère aussi bénéfique pour empêcher l’inflammation chronique et réduire les chances de maladies cardiovasculaires.
De l’importance du sommeil
L’idée n’est pas de vous stresser si vous dormez mal mais de vous faire comprendre l’importance du sommeil. Car la plupart du temps, vous pouvez reprendre le contrôle en ayant de bonnes habitudes.
Mais qu’en est-il si vous dormez bien et que vous êtes quand même fatigué?
Lors de mes navigations sur le web, je suis tombée par hasard sur une conférence du docteure Saundra Dalton-Smith. Elle raconte qu’à un moment dans sa vie, après une bonne nuit de sommeil, elle se réveillait épuisée. Sa conférence est le fruit de ses recherches. Elle explique que le sommeil et le repos ne sont pas la même chose. Le sommeil s’avère crucial mais c’est seulement une partie du repos dont nous avons besoin.
George Stern en a fait une belle infographie sur ce lien.
Un souvenir fabuleux berce ma mémoire tous les mois de novembre. Je ne sais pas quel âge j’avais, mais c’était l’époque où ma conscience émergeait de ma petite enfance. Assise à la fenêtre, j’attendais. Une espérance peuplait mes journées lentes et monotones. Puis un matin, la voilà. Quelle surprise de voir ces minuscules flocons se déposer avec précaution et former un voile ensoleillé sur la terre gelée! Je m’étais imaginé que des boules de neige, de véritables sphères de huit à dix centimètres chuteraient du ciel. Quel étonnement! Je contemplais ce nouveau décor avec délice. Mon novembre sinistre se troquait en un décembre joyeux. Je ressentais cette première neige comme l’exaucement d’un vœu.
Le ravissement nous avait menées à l’ivresse, ma sœur et moi. Avant même d’avoir déjeuné, notre mère nous avait chassées dehors avec soulagement. Nous rêvions de glissades, de bonhomme de neige, de joies hivernales. Des heures incalculables de plaisir nous attendaient, enfin terminé le cafard pluvial.
Des années plus tard, j’étudiais à Montréal et je revenais d’un week-end à Québec par un dimanche soir lugubre. Après un souper au rosbif chez mes parents, mon amoureux venait toujours me reconduire à la gare sur le boulevard Charest. Et me revient cet arrière-goût désagréable, l’odeur des gaz d’échappement des autobus. Le cœur gros, je grimpais dans l’engin qui filerait sur l’autoroute 20 pour me ramener vers mes études en optométrie. Arrivée dans la métropole, je prenais le métro, autre souvenir olfactif pénible. Comment décrire l’odeur du métro? J’embarquais ensuite dans le bus numéro 51 jusqu’à l’université. Le métro ne se rendait pas jusque-là à l’époque. En passant, je saluais la statue d’Édouard Montpetit et grimpais les interminables escaliers jusqu’aux résidences d’étudiant où j’habitais.
Ce soir-là, mon sac de voyage m’écrasait l’épaule autant que la semaine de travaux, de stage et d’examens qui m’attendait. Le goût du rosbif et des baisers de mon amoureux se dissipait déjà et j’avais hâte de retrouver mon lit. Le corps penché vers l’avant, je cheminais dans la giboulée contre le vent. Pas un être vivant à l’horizon.
Puis, j’ai entendu des cris.
J’ai relevé la tête, c’était des rires. Un jeune étudiant étranger, seul, les deux bras grands ouverts, virevoltait et valsait sur le parvis. Son visage tourné vers les cieux, il s’éclatait de rire. La neige, aussi blanche que son sourire, contrastait avec sa peau foncée. Il gloussait, inclinait la tête vers l’arrière pour la recevoir en plein visage. Ses yeux brillaient autant que les cristaux scintillaient au sol sous la lumière des réverbères.
Soudain, il me regarda et me dit avec le visage resplendissant : « C’est de la neige! »
Une euphorie étira mes lèvres et cette gaité enfantine m’était revenue. Quel bonheur de le voir savourer sa première neige! Je repensai à mes balles de dix centimètres et le poids de ma semaine à venir s’envola. Après quelques mots avec lui, je grimpai la dernière volée de marches en dansant au même rythme que les flocons.
Photo de Lhom
Lhom a choisi cette photo. Voici ce qui nous attend dans les prochains mois. Pour ceux qui n’aiment pas la neige, pensez à planifier des activités en plein air et cela vous aidera à mieux vivre vos hivers.
Je vous remercie d’avoir lu cette chronique.
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Je suis également reconnaissante que vous ayez pris le temps de lire mon texte au complet et de contribuer à la popularité du blogue!
J’attends vos commentaires avec plaisir, dites-moi ce que vous aimez.
Bonne semaine.
Phrenssynnes
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Mon petit frère et moi avions sept années de différence, ce qui me permettait d’étirer l’âge pour fêter l’Halloween. Pour mon plus grand plaisir, j’avais hérité de la tâche de l’accompagner. Je continuais à ramasser des friandises alors que mes copines se jugeaient trop grandes.
Se déguiser à l’école
À l’école, nous avions comme projet obligatoire d’écrire des sketches. Il s’agissait de petites pièces de théâtre que nous composions en groupe. On devait ensuite les jouer devant la classe.
Et là, il fallait se déguiser. Youpi!
Je me souviens, entre autres, d’une fois à la fin de l’école primaire. Dans une scène, je jouais le rôle d’une épouse si en colère contre son mari, qu’elle lui lançait un œuf. Mon mari était joué par un rouquin, Michel qui restait au bout de notre rue. Son déguisement consistait en de vieux habits et une vieille calotte verte que j’avais chipés à mon père. Je ne me souviens pas des détails de l’histoire. Mais je me rappelle que j’avais un œuf. Un seul.
J’avais bien mimé la colère, je lui criais après, alors que lui devait s’éloigner de moi, comme prévu dans le scénario. Nous avions pratiqué la scène mais pas le geste.
J’ai toujours été une enfant gauche. Je n’étais pas très douée pour les sports et je n’avais jamais lancé une balle de baseball de ma vie. Michel devait le savoir.
Et, je lui ai lancé l’œuf. J’ai visé dans le mille, à mon grand étonnement!
En plein derrière la tête, dans le milieu de la casquette verte.
Je fus si étonnée. Et lui aussi. Le rythme de son pas diminua pendant que l’œuf visqueux lui dégoulinait dans le cou.
Mais « The show must go on! »
Michel et moi avons réussi, avec beaucoup de difficulté, à retenir notre fou rire pendant que toute la classe se bidonnait.
Je ne sais pas si mon père a porté sa calotte verte après cet évènement!
L’Halloween pour mes enfants
J’ai transmis à mes filles la joie de fêter cette journée d’épouvante.
La première fois que nous avons sonné aux portes, ma fille aînée devait avoir environ deux ans. Dès les premiers bonbons, elle s’est assise sur le bord du trottoir et a commencé à les déguster. J’ai dû travailler fort pour la persuader de continuer la collecte.
Au fil des ans, nous l’avons fait malgré le froid et même la neige. Les enfants revenaient excitées de l’école. J’avais prévu un souper rapide et ensuite je les déguisais. Puis, vers vingt heures, épuisées, elles déversaient chacune leur montagne de friandises sur le tapis du salon.
Des jours et des jours de gâteries.
Depuis le temps, cette fête, d’origine américaine est de plus en plus soulignée au Québec. Elle met un petit grain de sel dans la noirceur de l’automne. Nous achetons tous des citrouilles et d’autres décorations.
J’essaye de faire ma part et de cuisiner la citrouille au lieu de la jeter aux poubelles.
L’Halloween pour une grand-mère
Depuis que je suis grand-mère, ma fille m’a prévenue que les choses ont changé. Non seulement on doit avoir une citrouille mais elle doit être illuminée pour avoir la visite des enfants déguisés. D’une année à l’autre, l’achalandage fluctue et cet automne, nous avons eu peur de manquer de bonbons. Il faut croire que la chandelle dans la citrouille a attiré la clientèle!
Si nous n’avions pas cette fête, il faudrait l’inventer.
Comme les autres plaisirs de cette sombre saison : cuisiner de la soupe à la courge butternut, se délecter de gâteau aux pommes et rêver d’une dinde avec de la purée de patate douce. Lire un bon roman avec une tasse de thé. Grimper des montagnes sur des sentiers remplis de feuilles mortes. Et pourquoi ne pas participer au NaNoWriMo?
L’automne s’avère une belle saison pour écrire.
En conclusion, je ne sais pas ce qu’est devenu Michel. En tout cas, il n’est pas devenu acteur.
Moi non plus, pourtant j’aimais bien me déguiser et jouer la comédie.
C’est peut-être là que j’ai pris le goût d’écrire et espérer faire rire toute la compagnie.
Photo de Lhom
Dans le thème de saison, Lhom nous présente une photo des décorations que l’on peut voir en saison à Ogunquit, Maine. Ça vaut le déplacement!
Je vous remercie d’avoir lu cette chronique au complet!
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Récemment, lors d’une fête à laquelle nous avons participé, nous avons entendu quelque chose d’unique.
Un des convives nous a présenté une chanson personnalisée pour le jubilaire. Ce fut, bien sûr, le clou de la soirée! Étant donné que Lhom et moi étions conviés prochainement à un anniversaire de mariage, nous voulions absolument savoir comment faire.
C’est ainsi que nous avons découvert que l’intelligence artificielle (IA) avait créé la mélodie.
Nous avons réussi à concevoir une rengaine à propos de nos amis. On s’est bien amusés non seulement à la créer, mais aussi à la fête. Vous auriez dû voir les yeux du couple lorsqu’ils ont entendu la pièce vocale qui incarnait le thème de leur histoire d’amour.
On peut faire beaucoup de choses avec l’intelligence artificielle (IA) mais je constate à peine l’étendue de ce qu’on peut réaliser. Comme déjà mentionné dans cet article, je ne veux pas me servir de l’IA pour écrire. Composer des textes s’avère être un véritable plaisir.
Les étapes à suivre pour composer une chanson avec l’IA
Composer les paroles
Vous pouvez composer vous-même les paroles. Nous avons décidé d’utiliser Claude, une IA que j’ai découverte par l’entremise de Seth Godin.
Ensuite, j’ai effectué un copier-coller sur mon application « note ». J’ai modifié les paroles afin de les rendre plus amusantes.
Veuillez bien réviser votre texte. On ne peut pas les changer une fois la musique générée et garder la même mélodie.
Évidemment, vous devrez vous créer un compte avec une adresse de courriel pour chaque application. J’utilise une adresse électronique Hotmail (ça peut être Gmail). Puisqu’à tout bout de champ, on se la fait demander, c’est pratique d’en détenir une pour les affaires importantes et une autre pour les choses qui le sont moins.
IA pour la musique
Lhom et moi avons essayé quelques sites, mais nous avons préféré Suno.com tel qu’on nous l’avait recommandé.
L’application peut aussi vous créer des paroles mais nous ne les avons pas aimées. Peut-être parce que nous voulions que notre chanson soit en français.
C’est pourquoi il est souhaitable de composer votre texte ou de le faire générer par une autre IA.
Custom
Pour utiliser vos propres paroles, vous devez cliquer sur le bouton « custom ». Faites ensuite un copier-coller dans la case des paroles.
Puis, vous choisissez le style de musique et vous l’indiquez dans la case appropriée. Rock, pop, rap, jazz, à vous de sélectionner.
Dans la section du bas, vous écrivez le titre de votre chanson. Ne l’inscrivez au début du texte car il fera partie de la chanson.
Créer, copier-coller et c’est terminé!
Finalement, vous appuyez sur le bouton « create ».
L’IA génèrera deux pièces musicales que vous pourrez voir du côté droit de l’écran. Vous sélectionnez votre préférée et cliquez sur l’icône « partager » pour copier le lien.
J’ai copié le lien sur l’application « note » de mon téléphone. Lors de la présentation de la chanson, je n’ai eu qu’à cliquer sur le lien afin qu’on l’entende.
Démonstration d’une chanson créée avec l’IA
Pour vous faire la démonstration, j’ai décidé de produire une chanson pour le blogue.
Le générateur de musique crée deux versions. Je vous les présente et j’aimerais que vous votiez dans les commentaires pour me dire laquelle vous préférez.
Cliquez pour entendre la version 1 Chanson thème du blogue de Phrenssynnes
Cliquez pour entendre la version 2 Chanson thème du blogue de Phrenssynnes
Nous nous sommes vraiment amusés lors de ces partys.
Donnez-m’en des nouvelles si vous l’essayez!
Photo de Lhom
Sur la route, en compagnie de Brittany Brexit, nous rencontrons parfois des aléas. Nous avons observé ces nuages menaçants dans l’État de New York. Nous n’avons pas eu une seule goutte de pluie. Qui l’eût cru?
Je vous remercie d’avoir lu cette chronique.
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La rubrique sera différente cette semaine. J’en profite pour mentionner l’anniversaire du blogue et annoncer une collaboration.
De plus, je désire effectuer quelques mises au point pour vous faciliter la vie lorsque vous naviguez sur le blogue. Cela répondra, j’espère, à vos questions. Si jamais cela ne correspond pas à vos interrogations, je compte sur vous pour me contacter.
Je suis toujours honorée lorsque vous me consultez, car cela démontre votre intérêt.
Collaboration
J’ai récemment collaboré avec Josée Cousineau du blogue Des mots et des images. Je vous invite à aller lire l’article en question. Vous y trouverez d’ailleurs une artiste intéressante. Elle m’impressionne avec ses collages et ses talents photographiques.
Cap
Le blogue a maintenant atteint le cap de 300 articles publiés. Si vous avez envie d’y jeter un coup d’œil, cliquez sur la bibliothèque ci-dessous. Notez que vous trouverez aussi ce lien sur la page d’accueil du site. Amusez-vous à naviguer, vous verrez peut-être des sujets que vous n’avez pas consultés.
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La semaine prochaine, le 24 août, comme tous les derniers samedis du mois, je publierai mon infolettre sur Substack.
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Sur le blogue, je peux parfois recevoir des centaines d’attaques de robots en seulement quelques minutes.
Photo de Lhom
Pour terminer en beauté, Lhom nous propose cette semaine un panorama d’Attean Pound. Nous avons vu ce magnifique paysage lors de notre pèlerinage annuel à Ogunquit dans le Maine.
Je vous remercie d’avoir lu cet article.
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De temps à autre, je publie une œuvre de fiction. Cette semaine, je vous offre un conte intitulé La complainte de Pierrot.
La complainte de Pierrot
On retrouva Pierrot au pied d’un grand pin.
L’écume à la bouche, le cou désarticulé auprès d’une grande branche aussi cassée. Qui pouvait bien l’avoir ainsi envoûté? On demanda au merle, au canard et à l’engoulevent. Mais nul ne put répondre. On interrogea le renard et le lapin. Le raton, le hérisson. Seul un solitaire bûcheron aurait pu raconter.
Par un temps de grands vents, lui seul avait vu, témoin de ses yeux vus, la rencontre de Pierrot avec sa Pierrette. Seul le bûcheron savait, pour les avoir entendus, que la Pierrette s’en était allée. Partie au loin, au nord, dans une autre campagne où un autre gaillard l’attendait. Ainsi, le Pierrot s’est trouvé abandonné autant par sa Pierrette que par sa destinée.
Et il s’en est allé lui aussi, de ça, de là, divaguant dans le village jusqu’à l’approche du boisé.
Arrivée au lieu-dit « du grand pin », une chouette vit Pierrot s’arrêter, hébété devant le majestueux conifère. Le jeune homme regarda le très haut, celui où, au pied, il avait une première fois embrassé sa douce fiancée. Puis les muscles bouillant de rage, il se mit à y grimper. De branche en branche, il monta, ruant au passage l’écorce de rudes coups de pied. Volant autour de la cime, l’oiseau l’entendit insulter le résineux comme si celui-ci eût été son inconnu rival. Ce long tronc fièrement dressé, symbole des amours passés, prit une autre raclée, violenté par un Pierrot enragé. Le cocu frappa, cogna et tapa encore. Mais de là, haut perché, le sifflement des cieux en vint peu à peu à le calmer.
Et la chouette, au bûcheron, rapporta que c’est vers le nord qu’ensuite Pierrot regarda. Il scruta, observa, chercha. Fouilla l’horizon où nulle Pierrette ne se dessinait. Plus jamais il ne la reverrait.
Alors, le vertige de son chagrin le saisit.
Et pendant un long et sombre mois, on entendit dans le village toutes les nuits dans une psalmodie, les litanies de la peine de Pierrot résonnant sur tous les toits du village jusqu’au plus haut du clocher. Une longue plainte rythmée aux mêmes mouvements des jadis amours désormais évaporés. Telle la complainte d’un loup ensorcelé, on ne put jamais arrêter cette grande lamentation de notre Pierrot atteint de peine et de surdité. Car personne, il ne voulait entendre. Et du jour, il ne donnait aucun signe de vie. À aucun de ses frères venus lui réclamer de descendre. À aucun de ses amis ou cousins. D’aucun pain offert, il n’a voulu manger. D’aucune eau, il n’a voulu s’abreuver. D’aucun bras il n’a voulu s’entourer et, d’aucunes épaules il n’a voulu de ses larmes mouiller.
Éploré, couché dans sa litière d’aiguille en haut de son grand pin, il a purgé son tourment. Et c’est ainsi qu’un matin, on le retrouva. L’écume à la bouche, le cou désarticulé auprès d’une grande branche aussi cassée tout près d’un nid de chouette tombé.
Accablé de sa peine, il est mort déchu, emporté par le poids de son amour abandonné.
Toujours est-il que le lendemain matin, on vit que le grand pin, en une seule et bizarre nuitée, vers le nord s’était penché pour que chacun ne puisse jamais oublier que c’est par-là que la Pierrette s’en était allée.
Depuis, toutes les années, quand vient le temps des grands vents, aux oreilles des merles, des canards et des engoulevents. Aussi à celles des renards, des lapins, des ratons et des hérissons, pendant un mois on entend. Telle une psalmodie résonnant toutes les nuits. Sur tous les toits du village jusqu’au plus haut du clocher, le solitaire bûcheron entend, lui aussi les litanies et les bruissements.
L’écho des sanglots de la peine de notre Pierrot.
Photo de Lhom
Nous avons bien cherché mais nous n’avons pas trouvé le grand pin de Pierrot!
En fait, la photo de Lhom de la semaine nous présente une forêt de pins dans le New Hampshire.
Je vous remercie d’avoir lu ce conte.
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J’ai un ami, aussi écrivain, qui travaille sur ses mémoires. Une œuvre qu’il voudrait laisser à ses descendants. Lui-même aurait aimé pouvoir lire ce qu’un de ses arrière-grands-pères aurait écrit.
J’ai, dans ma bibliothèque, un exemplaire des mémoires d’une de mes grands-tantes.
Est-ce le genre de lecture qu’on aime faire lorsqu’on avance en âge? Peut-être, à moins d’être féru d’histoire.
Est-ce qu’un jour j’écrirai mes mémoires ou mon autobiographie? Bonne question, mais une autre interrogation me vient à l’esprit. Quelle est la différence?
« En tant que genre littéraire, le mot mémoires s’utilise uniquement au pluriel (et au masculin). Il désigne le témoignage écrit d’une personne sur sa propre époque et les événements qu’elle a vécus, soit en tant que témoin, soit en tant qu’acteur. Les mémoires sont proches de l’autobiographie, puisque ces deux genres possèdent plusieurs caractéristiques communes. Ce sont en effet des récits rétrospectifs en prose dans lesquels l’auteur assume son propre récit et prétend restituer la vérité des événements vécus. La différence majeure entre l’autobiographie et les mémoires réside dans la nature des faits racontés : dans le premier cas, le récit est centré sur la vie privée de l’auteur; dans le second, sur son époque. »
Pour et contre écrire ses mémoires
J’ai commencé à lire La physique des catastrophes de Marisha Pessl et son incipit m’a beaucoup fait rire.
Voici l’opinion de Gareth van Meer, un personnage de ce roman.
Pour mieux comprendre cette citation, le personnage principal, Bleue van Meer, raconte au début du livre l’opinion très rebutante de son père, Gareth, pour quiconque espère écrire ses mémoires.
Citation
« Papa disait toujours qu’il faut une sublime excuse pour écrire l’histoire de sa vie avec l’espoir d’être lu.
“ À moins que ton nom ne soit comparable à ceux de Mozart, Matisse, Churchill, Che Guevara ou Bond — James Bond —, il vaut mieux que tu consacres ton temps libre à peindre avec tes doigts ou à pratiquer le palet, car personne, mis à part ta pauvre mère aux bras flasques et aux cheveux rêches qui te couve d’un regard tendre comme du veau, ne voudra écouter le récit de ta pitoyable existence, laquelle s’achèvera sans doute comme elle a commencé — dans un râle. ” »
Marisha Pessl dans La physique des catastrophes
Heureusement que ma grand-tante ne s’est pas laissé décourager, car je suis très contente de posséder un des rares exemplaires de son livre.
Les mémoires de Marguerite Lescop
Voici un récit plus positif pour ceux qui désireraient se lancer dans un tel projet.
Connaissez-vous cette histoire à succès inattendu? Marguerite Lescop a commencé à rédiger ses mémoires en 1990 : Le tour de ma vie en 80 ans. Elle a publié le livre à compte d’auteur en premier et il s’est vendu à plus de 100 000 exemplaires! C’est un record, puisque la définition d’un best-seller au Québec est un minimum de 3000 copies vendues. Elle a ensuite publié deux autres bouquins après avoir démarré sa maison d’édition.
Comme quoi il n’est jamais trop tard!
Les mémoires de Cécile Boily Soucy
Cécilie Boily Soucy est ma grand-tante. Elle écrit dans son introduction qu’elle a été encouragée à rédiger son livre par Pierre Paquet lors d’une émission de Radio-Canada.
Elle nous présente son grand-père, sa grand-mère, leurs enfants ainsi que les arrière-grands-parents. On retrouve à la fin du livre, une brève généalogie des familles Soucy, Boily et Vézina. Cécile Boily Soucy nous raconte toutes les anecdotes dont elle se souvient. Elle décrit les régions où elle a vécu: Baie Saint-Paul, Saint-Joachim, Saint-Raymond, Shawinigan, Petite-Rivière-St-François, Stoneham.
L’auteure nous fait aussi découvrir ses descendants et fait un lien avec les professions des membres de la famille.
Elle a commencé la rédaction à 82 ans et a terminé à l’âge de 85 ans en 1989.
« Après cinq années, ma mère a obtenu sa place d’institutrice à Pérou où on s’installa avec plus d’aisance. Nous demeurions à peu près à un mille de l’école. Mes premiers souvenirs furent la mort de la mère de ma grand-mère, Sophie Simard qui avait 91 ans. C’était une petite dame très jolie avec sa capeline noire sur la tête et son châle à trois pointes sur les épaules. »
Cécile Boily Soucy dans Une vie à découvrir
Pérou est un rang dans la région de Baie Saint-Paul.
Mes ancêtres
Je suis étonnée de cette description de Sophie Simard, car je n’ai pas le même sentiment lorsque j’observe cette photo. Si j’avais été une petite fille, je crois que j’aurais eu peur de cette vieille grand-mère à l’allure austère.
C’est une belle leçon à retenir et une preuve que les images ne reflètent pas toujours la réalité.
Vous verrez plus bas, la photo d’Hélène Côté. Je l’ai connue, elle était mon arrière-grand-mère et nous l’appelions mémère Vézina. De mes souvenirs d’elle émane une douceur toute féminine même si elle portait constamment une longue robe noire.
Je vous présente une image du mariage de Cécile Boily avec Omer Soucy. Ils vécurent une grande partie de leur vie à Stoneham où je les ai déjà rencontrés. Mais je n’ai que de vagues souvenirs car j’avais moins de sept ans.
La demoiselle d’honneur est ma tante Cécilia à l’âge de cinq ans.
Citation de Cécile Boily Soucy
« À la maison, on se confectionnait des carrosses pour nos poupées. Quand mon grand-père sciait son bois de chauffage, les premières rondelles servaient de roues pour nos carrosses. On perçait un trou au centre pour passer l’essieu et cela fonctionnait. Le reste du carrosse était fait de bois ou de carton. Pour habiller le toit, on prenait de vieux rideaux. »
Cécile Boily Soucy dans Une vie à découvrir
Voici une photo de l’auteure au pensionnat de la Congrégation Notre-Dame.
Écrirez-vous vos mémoires?
Et vous? Y a-t-il quelqu’un dans votre famille qui a écrit ses mémoires. Pensez-vous le faire un jour?
« Au printemps 2020, lors de la première vague de la pandémie de COVID-19, Janette Bertrand, journaliste, actrice et écrivaine de 95 ans, était en confinement. Depuis chez elle, elle a invité les personnes âgées à participer à un atelier inspirant et chaleureux sur l’écriture autobiographique, afin de les guider dans la rédaction de leur histoire de vie durant cette période exceptionnelle de pause mondiale.
Ainsi est né le projet « Écrire sa vie! ». Mme Bertrand, qui a enseigné l’écriture dramatique pendant 20 ans, a réalisé une série de huit capsules thématiques où elle accompagne les participants dans leur processus d’écriture. Nous vous invitons à voir, à revoir et à partager ces capsules pour vous aider à écrire vos mémoires. »
Présentation du site Écrire ta vie
Aujourd’hui, avec toutes les technologies accessibles, c’est beaucoup plus facile de créer un livre.
Cela pourrait être l’objet d’une prochaine chronique. Qu’en pensez-vous? Donnez-moi votre avis dans les commentaires.
Photo de Lhom
Cécile Boily Soucy a vécu 34 ans à Stoneham et elle a vu naître le centre de ski et le golf.
« …à Stoneham s’est ajouté un terrain de golf, propriété de M. Jackie Dunn et un centre de ski que j’ai vu construire. On transportait les matériaux sur le mont Hibou en hélicoptère. Cela a donné beaucoup d’ouvrage aux gens de la place. Avant la construction du boulevard Talbot qui a duré à peu près cinq ans, le trafic du lac St-Jean passait par le village. »
Voici une photo des pentes de ski de Stoneham que Lhom a prise en automne.
Je vous remercie d’avoir lu cette chronique.
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La marche est un exercice facile et bénéfique pour votre santé. Vous avez besoin d’une bonne paire de chaussures. C’est une activité qui comporte peu de risque et qui est accessible.
Lorsque j’ai commencé ma recherche pour cet article, j’ai tapé sur Google « bienfaits de la marche ». Savez-vous combien de résultats le navigateur m’a fournis?
En cliquant sur le lien plus haut, vous trouverez plus de 62 millions de textes qui expliquent les bienfaits de la marche.
Pourquoi en faire un de plus? me suis-je demandé.
Parce que je peux vous aider en rédigeant cette rubrique à vous convaincre d’être plus actif.
La marche est un exercice facile et si vous n’êtes pas en forme, c’est le meilleur moyen pour commencer.
Parce que c’est important.
Bref, je peux vous dénicher une foule de raisons, mais je vais plutôt me concentrer sur le sujet de l’article.
Améliorer votre santé avec la marche
Lorsqu’on a le plaisir de vivre longtemps (je ne trouve pas de synonyme avec une connotation positive au mot « vieillir »), c’est notre responsabilité d’avoir une bonne hygiène de vie. On tient souvent la santé pour acquise et c’est quand on est malade que l’on constate son importance.
Ma sœur qui était médecin me disait toujours que pour aider quelqu’un, on doit avoir trois conditions. La personne qui est dans le besoin a le devoir de :
vouloir s’aider elle-même.
avoir la capacité de pouvoir s’aider.
pouvoir accéder à cette aide.
En rapport avec la marche, le numéro un représente, par exemple, un individu qui aime les activités intellectuelles et ne veut pas faire d’exercice parce qu’il ne s’identifie pas à quelqu’un de sportif. Si vous êtes quelqu’un qui ne veut pas faire d’entraînement physique, continuez quand même de lire cet article et vous me direz dans les commentaires si j’ai réussi à vous faire bouger. Ainsi, je pourrai taquiner ma sœur et lui dire que sa théorie ne fonctionne pas toujours.
La deuxième catégorie pourrait être, par exemple, une personne handicapée qui se déplace en fauteuil roulant. Elle n’a pas la capacité de marcher, donc c’est une question de pouvoir.
Dans le troisième cas, j’ai de la difficulté à trouver un exemple pour un individu qui n’aurait pas accès à la marche, habituellement, même les prisonniers ont droit à une heure par jour.
Mais, pour vous aider à figurer mon propos, cela pourrait être quelqu’un ayant besoin d’un médicament, mais qui, pour une raison ou une autre, est dans l’impossibilité d’obtenir ce médicament.
Aussi bête que cela soit-il, la condition numéro un est primordiale, mais quelquefois pénible.
Lorsqu’on n’a jamais été malade, pourquoi ferait-on des modifications dans notre vie? On se croit invincible quand on est jeune, donc pourquoi bougerait-on quelque chose dans nos habitudes? « Changement » est le mot-clé ici.
La résistance au changement se trouve un mécanisme de défense qui nous est dans certains cas nuisible.
Le plaisir de marcher
Pour développer le plaisir de marcher, on suggère d’associer une autre activité.
La marche et les balados
Un bon moyen d’ajouter du plaisir à la marche et vous permettre d’allonger votre promenade est d’écouter des balados. Par contre, soyez prudent et contrôlez le volume de votre appareil afin d’entendre les autos.
Venez lire cet article si vous ne savez pas quoi écouter.
Une activité avec un ou des amis
Faire une randonnée avec un ou des amis est une excellente façon de développer du plaisir pour la marche.
Allez marcher dans la nature ou découvrir un nouveau quartier de votre ville. Converser avec un copain ou une copine lors d’une promenade vous permettra de nourrir cette amitié.
Améliorer les relations dans votre couple
Lorsque les enfants sont assez grands pour se garder seuls, aller faire une petite marche est un excellent moyen de se retrouver en tête-à-tête avec votre conjoint.
Lorsqu’on n’a pas de téléviseur, de téléphone, de bambins qui pleurent, etc., devant nous, nous finissons par bavarder. La marche facilite la discussion.
C’est le bon moment pour dialoguer sur les sujets dont vous ne désirez pas parler devant vos rejetons. De plus, la marche vous place côte à côte et vous fait bouger dans la même direction. Inconsciemment, cela vous aidera à mieux vous entendre, plutôt que si vous êtes assis l’un en face de l’autre.
Bon pour le moral
Le plaisir est associé à la marche, et des recherches ont prouvé que cette activité physique est bonne pour la santé mentale.
« Une activité physique régulière permets de réduire le risque de maladies cardiaques de 30 %, de diabète de 27 % et de cancer du sein et du colon de 21 à 25 % ; aide à conserver un poids normal ; favorise la santé mentale. »
Si votre propre santé ne vous motive pas à pratiquer cette activité physique, faites-le pour les autres.
Tout le monde s’arrache les cheveux pour trouver des moyens pour désembourber les urgences des hôpitaux. Si chacun prend sa santé en main et essaye de diminuer sa sédentarité en faisant plus d’exercice, cela va sûrement épauler notre système de santé surchargé.
On passe notre temps à chialer contre le gouvernement parce qu’il a fait ceci ou qu’il n’a pas fait cela. Mais vous, aujourd’hui, qu’avez-vous fait pour être en meilleure forme? Si chacun y met du sien, ça va aider.
« Mieux vaut prévenir que guérir. »
Proverbe datant de la nuit des temps.
Mes trucs pour développer une habitude
Comment changer vos habitudes et réussir à inclure la marche dans votre quotidien?
Organisez-vous pour que cela soit facile et qu’il n’y ait aucune friction. Vous devez essayer d’éliminer tous les obstacles potentiels.
Choisissez non pas l’heure, mais la fenêtre de temps où vous allez marcher. Par exemple, si vous décidez d’exécuter votre entraînement un matin à sept heures et qu’il pleut, vous abandonnerez.
Vérifiez les prévisions météo.
Déterminez à l’avance un plan B, c’est-à-dire y aller à un autre moment ou à un endroit différent. Vous pouvez aller vous promener dans un centre commercial si la température n’est pas clémente.
Préparez-vous!
Identifiez les vêtements et chaussures que vous porterez, puis sortez-les. Invitez quelqu’un ou choisissez et téléchargez un balado à écouter. Chargez tout appareil nécessaire.
Mettez une alarme dans votre téléphone pour vous le rappeler.
Cherchez de nouveaux endroits à découvrir en marchant.
Établissez une destination, un but à votre promenade.
Ayez un objectif tellement minuscule la première fois que vous ne pourrez pas vous empêcher d’y aller. Ensuite, augmentez cet objectif petit à petit. Le premier matin, fixez-vous pour but de marcher un nombre de minutes ridicules pour vous. Ainsi, juste le fait de vous habiller et de sortir ne vous découragera pas. Seulement mettre le nez dehors sera une victoire.
Accordez-vous des petites récompenses pour chaque étape mais sans reprendre toutes les calories dépensées!
Si vous avez de la difficulté à intégrer de nouvelles habitudes dans votre vie, je vous invite à lire ce livre extraordinaire de James Clear, Un rien peut tout changer.
Je suis certaine que vous pouvez y arriver.
Photo de Lhom
Voici un endroit magnifique pour aller marcher surtout l’hiver et l’automne, le sentier du Hibou à Stoneham.
Je vous remercie d’avoir lu cette chronique.
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J’attends vos commentaires avec plaisir.
Bonne semaine.
Phrenssynnes
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Trouver un équilibre peut être un défi mais manger sainement n’a pas besoin d’être compliqué!
« Une citation est la reproduction d’un court extrait d’un propos ou d’un écrit antérieur dans la rédaction d’un texte ou dans une forme d’expression orale. »
Selon Wikiquotes :
« Une citation est un passage emprunté à un auteur qui peut faire autorité. »
Comment faire une citation
Cela prend deux auteurs pour créer une citation. Le premier la compose et le deuxième la reproduit. Toutefois, un écrivain peut se citer lui-même.
Une bonne maxime met en valeur les qualités littéraires, d’intelligence et de sagesse de son créateur. Sa force se trouve dans la concision. Le choix des termes dans un énoncé court s’avère crucial et souligne l’habileté de son concepteur.
On répète souvent les paroles des politiciens, des écrivains, des grands scientifiques ou des gens célèbres. Ces mots deviennent des citations.
La citation se trouve plus forte si cette affirmation brillante est rédigée avec un jeu de mots.
« Be yourself, everyone else is already taken.»
Oscar Wilde
Pourquoi aime-t-on les citations ?
On les adore parce qu’elles exposent des vérités extraordinaires qui font écho ou qui ont une résonance en nous. C’est comme si l’univers nous envoie un clin d’œil. Est-ce que ça vous est déjà arrivé?
Elles nous font sourire, nous offrent un sujet de réflexion ou de discussion. Les citations suscitent l’admiration.
Et, on aime bien les répéter pour avoir l’air intelligent!
On les affectionne parce qu’on admire celui ou celle qui l’a dit ou écrit. Elles deviennent célèbres lorsqu’elles bouleversent un grand nombre de personnes.
J’ai un faible pour celles en lien avec les yeux, la vision ou le regard.
Pourquoi j’apprécie les citations et les collectionne
J’adore lire et découvrir une phrase brève avec du punch qui me fait vibrer ou sourire.
Cela ajoute un petit grain de sel dans ma semaine.
Je les collectionne depuis des années, j’ai un carnet bien rempli.
Lorsque mes enfants vivaient avec nous, j’avais pris l’habitude de coller un bout de papier avec ma dernière découverte sur le frigo.
Depuis ce temps, j’ai installé un tableau où je les transcris moi-même à la craie. Oui, c’est une véritable ardoise que je photographie. Ce n’est pas une image trouvée sur Internet!
Plus la maxime est courte, plus je l’estime.
Et je retiens aussi celles composées par une personne que j’admire.
Souvent, les citations ajoutent du positif dans notre vie.
Les romans regorgent souvent de citations. Surveillez lorsque vous sentez votre lecture s’interrompre par une phrase concise qui vous fait réfléchir.
Coco Chanel possédait toute une personnalité.
Photo de Lhom
Avec la Saint-Valentin qui s’en vient, cette citation me fait penser à Lhom.
Pour la photo, il a choisi ces magnifiques trois arbres. Nous étions à Manchester Center dans le Vermont lors d’un de nos périples d’automne avec Brittany Brexit.
Aimez-vous les citations? Quelles sont vos préférées?
J’attends vos propositions pour en avoir une nouvelle dans ma collection.
Je vous remercie d’avoir lu cette chronique.
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Je m’amuse parfois à effectuer des recherches insolites. Quel pourrait être l’objet le plus ridicule à se procurer sur le web?
Cet article n’est pas pour se moquer de vous si vous avez déjà réalisé ce type d’achat, mais plutôt pour vous divertir. J’imagine que la plupart du temps les gens acquièrent ce genre de cossins pour blaguer.
Je vous propose une collection qui se démarque soit par l’humour, soit par sa futilité ou par le prix.
Ces machins me font réfléchir et philosopher sur la société actuelle. En ces temps de simplicité volontaire, je suis toujours surprise de découvrir tous ces objets qu’on peut trouver sur l’internet.
Je vous invite à voter dans les commentaires sur la chose que vous jugez la plus ridicule.
Comment créer une poule insolite
Voici pour le magnifique prix de 24,16$ des bras en plastique que vous pouvez greffer sur votre poule favorite.
Et que dire de ces superbes boucles d’oreilles avec des poissons rouges dans un sac transparent. Veuillez noter que l’on n’a pas oublié de les mettre dans l’eau.
Intelligence artificielle insolite
Ici pour la modique somme de 22,99$ vous pouvez vous procurer ces gants munis d’une lampe DEL. Ils s’avèrent utiles pour la pêche, le camping, les réparations, mais surtout pour impressionner vos amis. Hum… est-ce que j’entends quelques messieurs dirent : Wow! C’est ce qu’il me faut absolument!
L’autre image nous montre que vous pouvez acquérir pour 1,44$ un livre écrit par l’intelligence artificielle destiné à l’intelligence artificielle.
Rien de moins!
Du papier de toilette insolite
J’espère ne pas mousser la campagne électorale d’un certain candidat républicain en faisant la promotion de ce produit. Qui achètera ce rouleau de papier de toilette à l’effigie du célèbre personnage? Heureusement qu’il est épais (3 plis), il ne manquerait plus qu’il déchire!
Achèterez-vous ce somptueux plat pour 100 £ ce qui équivaut à environ 170$ canadien? Pourquoi payer moins pour un bol de riz?
Avouez, c’est une pièce magnifique.
Des ustensiles insolites
Le monde des ustensiles de cuisine regorge d’exemple d’objets aussi insolites que farfelus, d’autant plus qu’ils ne revêtent qu’une seule et unique fonction.
Dans la première photo, voici un couteau pour racler du beurre dur. Ensuite, vous pouvez voir un tranche-œuf à la coque. Mangez-vous des œufs à la coque?
La troisième image nous montre un porte-cuillère amusant. Et j’avoue que le dernier item, le coupe kiwi remporte la palme pour la pertinence la plus exclusive.
Des prix insolites
Plus haut à votre gauche, je présente un exerciseur de mâchoire. Son utilité réside dans son efficacité à obtenir une mâchoire carrée. Mais je serais embêtée de vous expliquer comment l’employer.
Connaîtriez-vous autant de succès avec le porte-burger? Est-ce que dévorer d’énormes burgers pourrait développer votre mâchoire aussi bien que cet équipement miraculeux? Une étude scientifique s’avère nécessaire. Hum! Qui devrait financer cette étude? Le fabricant de cet appareil ou une grande chaîne de resto rapide?
Je croyais avoir battu les records avec le bol de riz à 100£ mais j’ai découvert cette tasse à plus de 2000 $ et cet oreiller à 3611 $. J’espère qu’à ce prix les beaux rêves sont garantis.
On s’amuse avec ChatGPT et l’insolite
Dans mon dernier article, je vous ai mentionné que j’aime écrire et que je ne me sers pas de l’intelligence artificielle pour composer un texte sur le blogue.
Mais, ma curiosité l’a emportée et je me suis amusée avec ChatGPT.
Je lui ai demandé :
Invente un objet insolite et inutile pour vendre sur amazon.com
Et voici sa réponse:
Bien sûr, voici une idée amusante d’objet insolite et inutile à vendre sur Amazon : le « Chapeau silencieux pour animaux domestiques ».
Il s’agit d’un petit chapeau que l’on attache doucement sur la tête de votre animal de compagnie, qu’il soit un chien, un chat ou même un hamster. L’idée principale est que ce chapeau prétend rendre votre animal « silencieux » pendant une courte période après l’avoir porté.
Bien entendu, ce chapeau ne change en rien le comportement sonore de l’animal, mais il offre une touche d’humour aux propriétaires d’animaux qui cherchent un moyen farfelu de gérer le bruit de leurs compagnons. Le « Chapeau silencieux pour animaux domestiques » pourrait être disponible dans une variété de couleurs et de styles pour convenir à tous les goûts et tailles d’animaux de compagnie.
N’oubliez pas d’inclure une description hilarante et une série de photos de chiens, chats, et autres animaux arborant fièrement ce chapeau sur la page Amazon pour attirer l’attention des acheteurs potentiels.
Avons-nous un ou une volontaire pour créer et mettre en vente ce fameux chapeau?
Un petit dernier
Voici une invention primordiale, découverte sur ce site, que mon frère ingénieur apprécierait sûrement.
Le redresseur d’ongle d’orteil!
Cette conception géniale gagnera-t-elle vos votes pour l’objet le plus insolite?
Voilà, c’était ma collection et j’avoue que j’aurais une petite faiblesse pour le couteau à beurre. Ah! Ah!
Photo de Lhom
Cette semaine, Lhom nous offre une photographie qui vous fera aimer la neige. Pour les lecteurs qui n’habitent pas au Québec, sachez que nous avons subi deux tempêtes en quelques jours. Nous avons reçu environ 50 centimètres de neige fraîche.
C’est le rêve pour nous qui sommes skieurs, car toute l’accumulation tombée avant Noël avait fondu avec les pluies abondantes.
Donc, la saison est bien amorcée.
Je vous remercie d’avoir lu cette chronique et j’espère qu’elle vous a amusé.
Si vous avez aimé cet article, je vous exprime toute ma gratitude si vous le partagez avec vos amis, votre famille ou sur les réseaux sociaux.
Je suis également reconnaissante que vous ayez pris le temps de lire mon texte au complet et de contribuer à la popularité du blogue!
J’attends vos commentaires avec plaisir.
Bonne semaine.
Phrenssynnes
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Vous êtes plusieurs à attendre avec anticipation, le samedi matin, pour découvrir le sujet sur lequel je vais vous entretenir. En ce début d’année 2024, je réfléchis sur le bilan de 2023 et l’avenir.
La surprise des années 60
Dans les années 60, nos parents nous avaient inscrites à une activité hebdomadaire organisée par la ville. Ma soeur et moi prenions un autobus avec un groupe de jeunes, supervisés par une monitrice, tous les samedis matin, pour aller skier. Nous rentrions, en fin d’après-midi, les muscles endoloris, fourbues, mais surtout affamées. En attendant de dévorer le spaghetti que notre mère nous préparait, comme tous les enfants de notre âge, nous nous écroulions dans le boudoir en face de la télé.
Un beau début janvier, en entrant dans la maison au retour du ski, nous avons perçu un brouhaha inhabituel. Nous avons couru vers la salle de séjour, toujours vêtues de nos anoraks où des images fluorescentes de Bugs Bunny nous ont saisies. Mon père, parmi un dédale de cartons d’emballage et de sons, tentait d’ajuster le niveau de couleurs sur un immense téléviseur. Ma mère retenait notre petit frère qui essayait de tâter tous les boutons de l’appareil. Pour ajouter au chaos, ma sœur et moi avons hurlé en cœur. Yeah!
Nos parents avaient acheté une télévision en couleurs!
Bilan 2023
En ce début de janvier 2024, mes rétines sont happées par autre chose que des images fluorescentes : les chiffres de mon blogue. J’ai le plaisir de vous informer que le site a battu des records de visiteurs cette année.
Peut-être que je me suis améliorée du point de vue technique? Après cinq ans, Le Dieu Google réussit-il à trouver mon blogue dans l’immense jungle du web? Et que les êtres humains qui cherchent à lire sur mes thèmes me découvrent. Peut-être que le bouche-à-oreille influence?
L’évolution des blogues
Mes amis, les blogueurs, Anne-Marie et Justin, ont réalisé des bilans en fin 2023. Je remarque, depuis quelques années, l’évolution de leur projet. Et c’est intéressant de voir la tournure qu’ils prennent ainsi que les différences entre nos blogues. J’ai observé aussi que d’autres ont abandonné. Mais pas Anne-Marie ni Justin!
Anne-Marie est très structurée sur son blogue de voyage. Elle a intégré des liens affiliés et elle s’est spécialisée dans une niche de voyage pour personne introvertie. J’adore l’organisation de son site.
Justin, quant à lui, est un Américain tombé amoureux de la France en 2020. Il rédige un blogue en français pour apprendre cette langue. Justin compose une série d’articles sur tous les départements de la France. En plus d’écrire une chronique chaque jour, il anime aussi un balado. J’ai beaucoup d’admiration pour sa persévérance et tout son travail. Un grand nombre de Français le suivent.
L’intelligence artificielle
Depuis quelque temps, l’intelligence artificielle (IA) est arrivée dans nos vies et nous nous demandons tous où cela va nous mener. Les choses ont beaucoup brassé à Silicon Valley, où de gros conflits à ce sujet ont perturbé une compagnie technologique. Certains ressentent une menace tandis que d’autres y voient une circonstance opportune extraordinaire. Mais lorsqu’on fait face à l’inconnu, cela peut générer de l’anxiété.
Je sens de l’inquiétude dans le monde de l’écriture et c’est une réaction normale.
Vous me trouverez peut-être vieux jeu, mais, à part dans cette chronique où j’ai essayé ChatGPT, je ne me sers pas de l’IA pour la rédaction de mes articles. Au contraire, c’est un plaisir pour moi de créer des textes pour vous informer et vous divertir. Je ne gâcherai pas cet amusement en le faisant faire par une machine!
Des textes personnalisés
Sur la plateforme Medium.com (où j’écris aussi) leur nouvel objectif cette année est de privilégier des articles avec des récits personnels. Nous aimons tous découvrir le vécu des autres et nous le faire raconter.
Des histoires vraies
J’ai lu le livre de James Clear, Un rien peut tout changer. Au début, il raconte son expérience. Il était joueur de baseball pendant ses études et envisageait d’en faire une carrière professionnelle. Mais un jour, il a reçu une balle en pleine figure qui a provoqué une commotion cérébrale très grave. Il a failli mourir et nous relate bien des détails. Il a pu recommencer à pratiquer son sport après sa longue guérison avec beaucoup de rééducation et de patience. Mais ce qu’il a surtout appris, suite à cette expérience, c’est le pouvoir des petites habitudes. Il en a écrit un bouquin et il est devenu consultant dans ce domaine. Je vous recommande d’ailleurs la lecture de cet ouvrage fascinant.
La publication de James Clear ne m’aurait pas aussi intéressé si je n’avais parcouru le récit de cette épreuve que lui et les membres de sa famille ont vécue. Le reste de son livre avec toute la logique des stratégies n’aurait pas eu autant d’impact sur moi si je n’avais pas connu son histoire particulière.
Je crois que les dirigeants de Medium ont raison en privilégiant les histoires personnelles.
Un point de singularité
L’IA représente un point de singularité technologique. Ce qui veut dire :
L’expression « singularité technologique » ou « point de singularité technologique » désigne un événement spéculatif à venir, intimement lié au développement d’une authentique intelligence artificielle (désormais IA) et censé bouleverser l’ordre des choses.
Mon père a eu 96 ans l’automne dernier et il a vécu plusieurs grands changements tout au long de sa vie : la radio, la télévision, l’ordinateur, les tablettes numériques et les téléphones intelligents. Il se souvient et nous raconte que, lorsqu’il était petit, il aimait s’approcher de la radio pour écouter le radio-feuilleton pour enfants, Madeleine et Pierre.
Malgré le choc visuel que mes rétines ont subi dans les années 60, l’avènement de la couleur dans les télévisions ne représente pas une singularité. Mais la venue de la télé en a été une.
Nous nous rappelons tous de l’arrivée de l’appareil téléphonique cellulaire intelligent, une singularité qui a beaucoup changé notre vie quotidienne.
Face à cette nouvelle technologie, les experts prévoient un retour en force vers le contenu authentique et humain.
Paradoxe intéressant : bien qu’on emploie de plus en plus l’IA, le public a soif d’interactions humaines et authentiques. Cette tendance influencera fortement les campagnes en 2024.
Donc, je persévèrerai à composer sur ce site en 2024. Je maintiendrai également l’infolettre mensuelle sur la plateforme Substack.
Ma promesse pour 2024 est de continuer avec le même style d’article, c’est-à-dire des écrits humains et authentiques.
Je vais aussi me concentrer à développer des microactions, comme le suggère James Clear dans son livre.
J’espère vous divertir et vous surprendre chaque samedi matin.
Photo de Lhom
Lhom a décidé de continuer à collaborer en 2024 en nous présentant toujours une photo en fin d’article.
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«I’ve learned that people will forget what you did, people will forget what you said but people will never forget how you made them feel. »
Maya Angelou
2024
Depuis plusieurs années, j’adopte la résolution de ne pas en prendre au jour de l’An.
En 2019, cette maxime de Maya Angelou m’a inspirée. Je la trouve toujours d’actualité en 2024.
Cette citation ressemble à mon objectif du blogue, j’espère que vous vous sentirez mieux après avoir lu mes textes. Bref, pour vous tous, je vais essayer encore en 2024.
Dans mon dernier article, je vous avais avisé que la prochaine publication paraîtrait en janvier 2024. Mais je n’ai pas pu m’empêcher de vous écrire un petit mot en cette fin d’année.
Et vous ? Faites-vous un bilan de votre année?
Prenez-vous des résolutions au jour de l’An? Les avez-vous tenues dans les années passées? Et quelles sont-elles pour 2024?
Lhom se joint à moi pour vous souhaiter santé, bonheur et prospérité pour tout et chacun d’entre vous en 2024.
Pour me suivre et ne rien manquer, inscrivez vous à ces deux publications.
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La veille, j’avais écouté sur YouTube une entrevue avec une jeune écrivaine, Anne Bonfert. Elle est également parachutiste, photographe et globe-trotter. D’origine allemande, elle était en Nouvelle-Zélande lors de l’interview, assise devant un arbre et entourée d’oiseaux qui gazouillaient.
Elle a publié un très bel article intitulé Mastering the Art of Rain Photography. Avec ce lien, vous ne pourrez pas lire le texte complet (puisqu’on doit être abonné à la plateforme payante Medium.com), mais vous pourrez voir quelques images.
Elle m’a inspirée.
J’ai essayé, en ce matin blanc, de maîtriser l’art de la photographie de la neige.
Comment maîtriser l’art de photographier sous la neige ?
Quel est le secret? Appuyer sur le foutu bouton le plus vite possible, car vos doigts vont geler!
Ah! Ah! Soyons plus sérieux.
À la recherche de la beauté dans la neige
Soyez à la recherche de la beauté. J’avoue qu’au printemps, lorsque la neige est noire, je la trouve moins sublime. Comme vous pouvez le voir sur cette photo.
J’essaye, à ce moment, de dénicher l’harmonie ailleurs.
À la recherche de l’émotion
Lors de ma promenade du matin, j’ai rencontré l’excitation. Celle des enfants sur mon chemin. Ils ressemblaient à des bonshommes de neige après avoir effectué toutes les cabrioles et pirouettes possibles afin de profiter de cette sensation différente.
C’est attendrissant de les observer s’amuser sur ce tapis blanc.
Étaient-ils plus énervés par la nouvelle neige que leur congé d’école à cause d’une grève des professeurs? Je ne leur ai pas demandé. J’ai préféré voir juste l’émerveillement.
Je continue ma promenade dans l’épaisse couche qui assourdit le bruit de mes pas et ranime les exclamations des petits.
J’adorais faire l’ange dans la neige pendant mon enfance.
Déterminer le sujet de votre photo sous la neige
J’ai choisi ce majestueux chêne comme sujet d’expérience photographique.
Un vieil arbre solide et entêté.
Il n’a pas voulu laisser tomber ses feuilles avant que la neige arrive.
L’équipement choisi pour photographier la neige
J’aurais pu utiliser un appareil sophistiqué.
J’aurais pu travailler le temps d’ouverture du diaphragme, l’exposition à la lumière, jouer avec la mise au point.
J’aurais pu prendre des clichés des innombrables motifs géométriques des flocons.
J’ai choisi le chêne du voisin et mon téléphone intelligent.
Simplicité volontaire.
Essayer plusieurs façons d’observer et choisir
Je m’éloigne de l’arbre. Puis, je m’approche et prends conscience de l’ampleur de son tronc. Je devine son âge.
Une fois que j’ai trouvé mon sujet photographique, je dois choisir le bon angle.
J’étudie bien la question.
Car le gel des doigts n’est pas une plaisanterie! De toute façon, je dois être rapide pour éviter la buée et la neige fondue sur l’objectif.
Parfois, observer les choses à l’envers nous aide à mieux les percevoir.
C’est en regardant vers le ciel qu’on sent les racines.
Jouer avec la couleur
Vous pouvez expérimenter comme Anne Bonfert et créer des images en noir et blanc.
Je l’ai essayé et cela nous donne la preuve que le temps paraissait bien gris ce matin-là. Ah! Ah! Je ne vois pas beaucoup de différence que les photos aient de la couleur ou pas.
Le linceul de neige
En vous écrivant ces mots, je comprends mieux pourquoi j’ai sélectionné cet arbre.
Cette neige, qui le recouvre comme un linceul blanc, me rappelle celui qui habitait à côté du chêne.
Celui qui s’en est allé le printemps dernier.
Solide, majestueux, généreux et presque centenaire comme son chêne.
Et aussi, un peu entêté.
Il a laissé beaucoup de glands pour propager sa bonté.
Hommage à mon voisin décédé en mai.
Photo de Lhom
Lhom nous offre cette semaine une photo des montagnes de neige éternelle près de Chamonix.
Le mot de la fin
Êtes-vous photographe dans l’âme, vous aussi?
Je vous remercie d’avoir lu cette chronique.
Si vous avez aimé cet article, je vous exprime toute ma gratitude si vous le partagez avec vos amis, votre famille ou sur les réseaux sociaux.
Je suis également reconnaissante que vous ayez pris le temps de lire mon texte au complet et de contribuer à la popularité du blogue!
Lorsque j’étais petite et que j’avais fini mes devoirs, mon père m’interdisait d’aller écouter la télévision. Il me disait: « Lis dans ta chambre encore trente minutes. » Ça m’embêtait un peu, j’aurais bien voulu regarder la télé, mais le plus fou, c’est que je lisais!
J’en déduis que j’ai toujours aimé la lecture. Que ce soit des romans, des essais sur différents sujets ou tout simplement des articles sur le web, je trouve la plupart du temps quelque chose d’intéressant à découvrir.
D’ailleurs, j’ai formé, avec des amies, un club de lecture.
Étant donné que je désire partager ce plaisir, j’ai fait quelques recherches et constaté quelques faits étonnants.
Les bénéfices de la lecture pour la santé
La consultation de cet article m’a appris que la lecture :
Améliore la connectivité du cerveau.
Aide à prévenir le déclin cognitif relié à l’âge.
Réduit le stress.
Prépare à une bonne nuit de sommeil.
Aide à soulager les symptômes de la dépression.
Peut aider à vivre plus longtemps.
En fait, ces effets positifs ne m’étonnent pas. Par contre, mes recherches m’ont amenée à des informations encore plus surprenantes.
Les bénéfices de la lecture pour votre vie professionnelle
Souvent, les hommes ont tendance à lire des essais, des mémoires ou des autobiographies. Certains prétendent que lire des histoires inventées est une perte de temps.
Pourtant, des études scientifiques suggèrent que consommer de la littérature apporte plus d’avantages que des ouvrages non fictionnels.
Cela m’a beaucoup surprise, car je croyais que c’était la lecture, en général, qui était bonne.
Lire des œuvres littéraires romanesques développe notre acuité sociale, c’est-à-dire notre capacité à comprendre les motivations d’autrui. La lecture d’essais peut être bénéfique pour améliorer notre culture et notre éducation. Par contre, elle ne contribue pas à accroître notre quotient émotionnel comme le fait une œuvre littéraire.
Les personnes avec un bon quotient émotionnel sont une force recherchée par les employeurs d’aujourd’hui.
Cet article de la Harvard Business Review relate les avantages de la littérature de fiction dans le monde du travail.
La lecture et l’empathie
Souvent, dans les livres sur les affaires, on réduit les questions de façon binaire. C’est bon ou mauvais. Par contre, dans la vie comme dans les romans, nous faisons face à toutes sortes de circonstances complexes avec nos collègues, nos amis ou notre famille. La littérature nous donne l’impression d’être dans la tête d’un autre et nous offre la chance de voir ce point de vue différent du nôtre.
Par exemple, lorsqu’on découvre l’histoire d’un capitaine de bateau confronté à des décisions difficiles, on peut bénéficier de son expérience ainsi que la façon dont il résout son problème.
Cela augmente nos facultés empathiques.
La lecture d’œuvres littéraires donne plus d’expérience
Dans une étude de 2013, on a prouvé avec une tomodensitométrie cérébrale que lire une œuvre romanesque a un effet sur le cerveau. Au fur et à mesure que la tension montait dans l’histoire, de plus en plus de régions de la masse cérébrale s’allumaient.
Les tomodensitomètres cérébraux ont dévoilé que pendant la période de lecture, la zone corticale qui réagit aux sensations physiques telles que le mouvement et la douleur s’est activée.
Dans notre tête, lorsqu’on lit, les zones du cerveau stimulées sont les mêmes que si on avait vécu l’acte du personnage. À un degré moindre que dans la réalité, mais ce sont les mêmes régions!
Donc, la lecture nous permet d’utiliser plus de parties de notre matière grise. Cela nous donne la possibilité de ressentir plus d’expériences.
Le livre qu’on a fait lire aux participants de l’étude mentionnée ci-haut est le roman Pompéide Robert Harris.
Il y a quelques années, j’ai participé à une étude de l’Université de Sherbrooke sur les activités de lecture. Un des buts de cette étude était de trouver des moyens de favoriser la lecture chez les hommes afin qu’ils soient cognitivement plus stimulés.
En général, les femmes lisent plus que les hommes comme le spécifient plusieurs sources. (1, 2, 3)
Étant donné tous ces avantages, je vous encourage à inclure cette activité phénoménale dans votre quotidien.
Et l’incitation vaut aussi pour vous, messieurs!
J’invite d’ailleurs mon lectorat masculin à nous suggérer, dans les commentaires, vos fictions littéraires préférées.
Photo de Lhom
Lhom nous propose, cette semaine, la photographie d’un bel endroit pour s’installer avec un bon livre dans la nature.
On entend presque la cascade!
Je vous remercie d’avoir parcouru cette chronique.
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Plus jeune, j’étais une personne très douce et j’avais un problème à dire non. Peu après avoir accouché de mon premier bébé, j’ai appréhendé mes difficultés en tant que maman. Je devrais dire niet souvent, agir avec fermeté et inventer des punitions au besoin. Je sais, on utilise maintenant le mot « conséquence », pas punition!
J’ai compris, alors, le plaisir d’être grand-maman. Je n’aurais pas besoin de dire non à mes petits-enfants et je ne ferais que gâter.
Je suis grand-mère trois fois. J’ai deux petits-fils, une toute nouvelle petite-fille et beaucoup de chemin parcouru.
Voici la première photo prise avec l’ainé de mes petits-enfants.
Mais avant de devenir une grand-mère, je devais, pour être une bonne maman, faire attention à mon comportement.
Afin de bien l’éduquer, j’ai dû ne pas rire lorsque mon ainée a fait un immense dégât. Elle avait tartiné plusieurs murs, les meubles de sa chambre ainsi que sa salopette avec la crème blanche et visqueuse appliquée pour son érythème fessier.
J’ai réussi, par miracle, à croquer cet instant mémorable avec un appareil photo avant que ma fille ne rempire la situation. Nous n’avions pas de téléphone intelligent dans nos poches à cette époque.
***
L’histoire du caillou
À l’époque, j’étais une maman très occupée. J’éduquais deux enfants, j’avais un mari, un travail avec des responsabilités, etc. L’expression «charge mentale» n’existait pas encore mais on la vivait quotidiennement.
Un jour, j’étais pressée et je rangeais la chambre de ma cadette. Je ne sais quel évènement me contraignait, mais j’étais obligée de faire ce ménage.
En même temps, je songeais probablement au menu du souper, à la pile de lavage, à ma prochaine réunion de bureaux ou à n’importe quel autre tracas sur ma liste de trucs à accomplir. Mais avant tout, j’essayais de mettre fin au chaos qui régnait dans cette pièce. Ce dont je me souviens le plus, c’est que je n’en avais pas du tout envie. Et je devais ajouter une tâche de plus, apprendre à ma fille à être plus ordonnée.
Et, c’est là que j’ai découvert le caillou.
Une vulgaire pierre sale, pleine de terre au beau milieu du lit. Maintenant s’ajoutaient les draps à laver. Exaspérée, la moutarde me monta au nez et j’ai crié après ma cadette. « Veux-tu me dire pourquoi tu gardes un vieux caillou malpropre dans tes draps et pourquoi ce vieux papier de gomme traîne sur ta table de chevet? Il me semble que ce n’est pas compliqué de le mettre dans la poubelle qui est juste là. » Joignant le geste à la parole, je tirai l’emballage de gomme dans la corbeille tandis que ma fille de cinq ans le rattrapa au vol en s’exclamant : « Attends! »
Puis, elle ferma les yeux et le huma. « Ça sent bon. »
Et saisissant le vilain caillou, elle déclara que c’était son oiseau.
La boite à souvenirs
Je suis descendue de mes grands chevaux, me suis assise sur le bord du lit pour observer la fameuse roche et prendre conscience qu’il présentait vraiment la forme d’un geai bleu. Puis, j’ai, moi aussi, humé la senteur d’essence de menthe. Je me suis quand même demandée comment j’allais lui faire comprendre qu’on ne pouvait pas conserver tous les bouts de papier jusqu’à ce que l’odeur en ait disparu.
Pourtant, j’ai placé le geai bleu dans sa boite à souvenirs.
Le plaisir de la semaine d’une grand-mère
Cette semaine, j’ai eu un gros plaisir. Ma petite-fille, lors de sa visite, portait la robe de baptême de sa mère. Et oui! Je l’avais gardée.
Vous l’avez compris, un de mes plus grands défauts est de conserver toutes sortes de choses. J’ai de la difficulté à me débarrasser de toute ma collection de cossins. Après réflexion, j’ai découvert que ce défaut me vient du fait que j’attache une valeur sentimentale aux objets.
Je n’ai pas retrouvé le fameux caillou mais cette première œuvre d’art qu’il me fait plaisir de vous partager ainsi que la robe.
Imaginez toutes ces années avec une telle philosophie. On se retrouve avec une maison bien remplie.
Et vlan pour le minimalisme.
La conclusion d’une grand-mère
Mais ce n’est pas la raison pour laquelle je vous raconte ces histoires.
La vie est remplie de soucis, de stress au travail, de fatigue ressentie, de contrariétés au quotidien et de listes de tâches à réaliser. Mais l’essentiel, c’est que vous ne retiendrez pas tout cela. Le sujet de la réunion de bureaux, ce qui vous a obligé à faire du ménage et votre chicane avec votre conjoint s’estomperont.
Vous vous souviendrez des histoires de geai bleu et de Zincofax.
Photo de Lhom
Une grand-maman qui regarde vers l’avenir ou le chemin parcouru?
Et vous? Conservez-vous beaucoup d’objets souvenirs?
Je vous remercie d’avoir lu cette chronique.
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Je suis également reconnaissante que vous ayez pris le temps de lire mon texte au complet et de contribuer à la popularité du blogue!
Cet été au Québec, la température ne nous a pas beaucoup gâtés. Il pleut, il y a de la bruine, c’est nuageux, le soleil apparaît et soudain, voilà une autre ondée. Ou il pleuvasse et un ensoleillement nous éblouit en même temps! L’automne souffle pour nous rappeler qu’il se trouve à nos portes.
Bref, c’est un moment où nous restons plus à l’intérieur.
J’en ai profité pour faire du rangement. Et j’ai découvert un petit trésor. Je suis tombée sur une ancienne boite à souvenirs, mais avant de vous en dire plus sur mes trouvailles, je veux vous parler du fromage bleu.
Le fromage bleu
Souvent nos goûts ou nos activités préférées sont influencés de façon aléatoire, selon nos expériences au fil du temps.
Aimez-vous le fromage bleu, le vrai, celui où on peut distinguer la moisissure? Si oui, je parie que la première fois que vous en avez goûté, ce n’était pas un mardi soir pluvieux et ennuyant où votre mère vous a obligé à le finir. Ou était-ce votre père qui vous a forcé à rester à table jusqu’à ce que vous l’ayez tout mangé? Je vous entends répliquer : « Non, ça, c’est l’histoire des choux de Bruxelles! »
Si vous aimez le bleu, je gagerais plutôt que vous avez vécu cette première expérience avec des amis, à la fin d’un copieux repas bien arrosé de rires et de vieux Bordeaux. Vous l’avez étendu sur un morceau de baguette pour ensuite le savourer avec une gorgée de ce vin corsé au milieu des hilarités.
La boite à souvenirs
Revenons maintenant à la boite à souvenirs. En avez-vous une? Est-ce que vous en conservez une dans votre grenier? Vous savez, ce genre de contenant dans lequel vous rangez une foule de bidules?
Le caillou bien poli qu’un ancien amoureux avait cueilli avec vous lors d’une marche romantique sur une plage.
Vos journaux intimes écrits pendant votre adolescence.
La première rose que vous avez reçue dans votre vie.
Vos médailles gagnées dans différents concours.
Votre premier bracelet de breloque démodé.
Les clichés pris dans des photos Booth.
Mon gros défaut
Vous aurez constaté mon défaut ou mon côté mélancolique, celui de conserver trop de trucs en souvenir. C’est le contraire de la simplicité volontaire! Est-ce que j’ai vraiment besoin de garder tout cela?
Pourtant, j’ai eu beaucoup de plaisir à fouiller dans cette boite retrouvée cette semaine.
Et j’ai mis le doigt sur une des raisons pourquoi j’aime tant écrire.
J’ai trouvé, entre autres, le dessin en titre de cet article et une pièce de théâtre composée pour le cours de français de cinquième secondaire.
La trouvaille dans les souvenirs
Lorsque j’étudiais, en troisième secondaire, je faisais partie de l’équipe du journal de l’école. Un de mes textes, que vous pouvez lire ci-dessous, expliquait le quotidien des étudiants pendant les pauses de dix minutes entre chaque cours.
On a parlé du premier numéro de notre publication dans le bulletin d’une station radiophonique de la ville de Québec.
L’éditorialiste, qui était le père d’un élève, a qualifié de « savoureux » ce premier billet diffusé sur les dix minutes. Vous pouvez consulter l’éditorial plus bas.
Un tel encouragement m’a influencée à un moment charnière de ma vie et j’en garde une forte impression.
Comme la saveur d’un bon fromage bleu dont je me délecte encore de nombreuses décennies plus tard.
L’état de flux, les souvenirs et l’écriture
Ces souvenirs m’ont entraînée à une réflexion. J’aime également écrire parce que cela m’amène dans un état de flux que les anglophones nomment flow.
Connaissez-vous cette sensation décrite par le psychologue hongrois-américain Mihaly Csikszentmihalyi ?
Cet état est bien expliqué dans son livre Flow : The psychology of optimal experience.
Dans Wikipédia, voici comment on résume l’état de flux :
« […l’ état mental dans lequel une personne effectuant une activité est complètement immergée dans un sentiment de concentration énergique, d’implication totale et de plaisir dans le processus de l’activité. »
Et dans cette vidéo, Adam Grant raconte avec un exemple concret comment cette sensation a réussi à l’aider à passer à travers la pandémie. Pendant le confinement, sa sœur, qui habitait à l’autre bout du pays, lui a proposé de jouer en famille à un jeu en ligne. Adam Grant s’est rendu compte, au fil du temps, que cette activité amenait toute sa famille dans un état de flux.
Les conditions pour le flux
Pour atteindre cet état, vous devez effectuer une tâche qui demande un certain défi. Cela ne doit pas être trop facile ni trop difficile.
Vous devez être intensément concentré, focalisé sur l’activité donc dans le moment présent.
Lorsque vous êtes dans la zone de flux, vous ne sentirez plus votre conscience de soi, vous serez immergé dans votre activité.
Vous perdrez la notion du temps que certains qualifient comme une distorsion de l’expérience temporelle.
De plus, pour vivre le flux, votre activité doit avoir un sens pour vous. Cela doit être important et gratifiant.
Citation
“Flow states are the secret of life. […] No sugar. No naughty videos. No Netflix. No alcohol. No drugs. Flow states are a drug that offers real happiness.”
Si je vous raconte cette histoire, c’est pour vous sensibiliser à l’influence de vos encouragements auprès des jeunes.
Souvent, on ne se rend pas compte de l’impact positif que nos paroles ou nos actes peuvent avoir.
Pour certains, écrire est une activité rebutante, mais pour d’autres, c’est comme un bon fromage bleu. Gardez toujours à l’esprit l’importance de stimuler les gens dans ce qu’ils aiment faire.
Si vous fouillez dans votre mémoire, vous retrouverez sûrement des moments dans votre existence où vous avez vécu dans une zone de flux.
Comment l’atteignez-vous?
En organisant un voyage à l’autre bout du monde avec votre conjoint?
En planifiant l’itinéraire idéal pour la sortie du grand patron?
En chantant dans une chorale ou en jouant du piano?
En affrontant un adversaire coriace au tennis?
En travaillant avec un fichier Excel complexe?
En dressant votre chien à marcher au pied?
En concoctant une béchamel parfaite?
En créant un site web ou un blogue?
En opérant une vessie cancéreuse?
En lisant un bon bouquin?
En écrivant un roman?
En tissant au métier?
En tricotant?
Photo de Lhom
Lhom a capturé cette image à Chamonix. Non, ce n’est pas nous planant en parapente puisque j’ai le vertige. Je ne sais pas si Lhom a voulu nous démontrer une activité où l’on peut ressentir le flux, mais j’aurais plutôt éprouvé une horrible trouille.
Je vous remercie d’avoir lu cette chronique.
Si vous avez aimé cet article, je vous exprime toute ma gratitude si vous le partagez avec vos amis, votre famille ou sur les réseaux sociaux.
Je suis également reconnaissante que vous ayez pris le temps de lire mon texte au complet et de contribuer à la popularité du blogue!
Dans l’épisode 1438, intitulé : Live longer and reverse aging with these daily habits with Peter Attia (backed by science), l’invité de Lewis Howes est Peter Attia. Le docteur Attia vient de publier un livre : Outlive: The Science and Art or Longevity. Ce Canadien de 50 ans a étudié à l’Université Queens et fait ensuite ses études de médecine à Stanford.
Il a fait sa résidence en chirurgie générale à l’hôpital John Hopkins. Né à Toronto, il vit maintenant à Austin au Texas. Il anime, lui aussi, un balado où il discute de longévité, car il a fondé une clinique médicale spécialisée dans ce domaine.
Je m’intéresse moi aussi à la longévité.
J’ai été témoin de ce vieillissement de la population. Au début de ma carrière, je voyais très peu de gens de 85 ans qui conduisaient leur voiture. Et à la fin de ma vie professionnelle, j’en examinais régulièrement.
J’ai même eu une patiente qui a eu son permis de conduire jusqu’à ses 99 ans!
En tant qu’optométriste, c’est souvent moi qui donnais la première gifle de la vieillesse en annonçant à mes patients qu’il était presbyte. C’est le premier signe.
Combien de fois ai-je entendue cette phrase que je déteste : « maudite vieillesse! »
Avec l’expérience, j’essayais de les faire focusser (ah! ah! déformation professionnelle) sur la gratitude en répliquant : « Cela fait partie du plaisir de vivre longtemps. »
Longévité: Life span (vivre longtemps) et Health span (vivre en bonne santé)
C’est bien beau survivre jusqu’à 100 ans, mais c’est primordial d’être en bonne santé toutes ces années.
Passer les dernières décennies de notre existence à souffrir ou être victime d’Alzheimer nous empêche de profiter du bonheur de vivre. Le docteur Attia fait partie de ce courant d’experts en longévité ainsi que David Sinclair et Mark Hyman.
Citation
«Reste cette duperie fondamentale : ce n’est pas la vie que la science, les techniques ont prolongé, c’est la vieillesse. »
-Pascal Bruckner dans Une brève éternité.
Les principes de longévité du docteur Peter Attia
Dans cet épisode, Peter Attia définit trois fondements essentiels pour vivre longtemps en bonne santé.
L’aspect cognitif qui représente la bonne santé de notre cerveau.
Le physique qui est notre capacité de mouvement et l’absence de douleur.
La résilience émotionnelle est la faculté de rebondir face à des difficultés et de pouvoir revenir à un état d’équilibre.
Il identifie trois grandes maladies chroniques et causes de mortalité par ordre d’importance :
Les problèmes cardio-vasculaires.
Le cancer.
La maladie d’Alzheimer.
Diabète et longévité
Une autre affection, le diabète de type 2, est souvent sous-jacente à celles nommées précédemment.
Pour prévenir et combattre le diabète de type 2, le docteur Attia suggère :
La diète
Il a parlé de l’importance de consommer beaucoup de protéines, car c’est une molécule pour bâtir des muscles.
L’autre point, à son avis, est de diminuer nos carbohydrates ou de choisir ceux avec d’excellentes qualités nutritives. Par exemple, manger du pain au levain de blé entier plutôt qu’un bon gâteau au chocolat!
Le sommeil est très important. Pour améliorer sa qualité, le docteur Attia suggère d’arrêter de manger quelques heures avant de dormir.
Une autre de ses recommandations est de cesser d’utiliser nos appareils électroniques au moins une heure à une heure et demie avant l’heure du coucher.
Et pour les siestes, il ne voit pas de problème pourvu que cela n’interfère pas avec notre nuit. Fiou! Je dois avouer que claquer un petit somme dans l’après-midi est un des grands plaisirs de ma vie!
Nous avons des cycles d’environ 90 minutes quand nous dormons. Donc, il conseille, si on est un adepte de la siesta, de faire un roupillon d’une durée moindre que ce cycle afin de ne pas affecter notre nuit. Alors, pas de problème avec un power nap de vingt minutes.
Santé émotionnelle
L’autre façon de diminuer nos chances d’avoir du diabète de type 2 est d’apprendre à gérer le stress et l’anxiété dans notre vie. Et, pour cela, il suggère la thérapie! Rien de moins!
Il recommande particulièrement d’avoir une bonne relation avec le psychologue et une certaine spécialité, la thérapie dialectique comportementale (TDC).
Hum… Êtes-vous comme moi? Vous questionnez-vous sur ce que ça mange en hiver ? En fait, ce grand nom compliqué serait la troisième vague de la thérapie cognitivo-comportementale.
Ça ne vous en dit pas plus…
J’ai fait quelques recherches et esantementale.ca, un organisme de santé mentale canadien cite :
La thérapie comportementale dialectique (TCD) est un type de thérapie mis au point pour aider les gens à réguler leurs émotions en leur enseignant diverses compétences telles que 1) la pleine conscience ; 2) l’efficacité interpersonnelle (par exemple, s’affirmer dans les interactions sociales), 3) la tolérance à la détresse (être capable de tolérer des situations stressantes) et 4) la régulation émotionnelle (être capable de réguler ou de gérer les stress et les déclencheurs).
En lien avec cet article, Lhom nous offre cette semaine un paysage dont nous voudrons encore profiter même lorsque nous aurons 125! Ah! Ah! nous adorons le Maine et ces magnifiques plages près d’Ogunquit.
Aujourd’hui, les paroles seraient « Tout le monde veut vivre longtemps, mais personne ne veut vieillir! »
Quels sont les compromis que vous êtes prêts à faire pour être en santé le plus longtemps possible? Là est toute la question.
Bonne semaine et cultivez le plaisir de vivre longtemps.
Phrenssynnes
P.S. Cet article se veut informatif et ne remplace pas les conseils d’un professionnel de la santé. Consultez votre médecin avant de prendre toute mesure pour votre santé personnelle.
On est au début juin, c’est le temps de faire des réserves pour l’été. Tel que je l’ai déjà expliqué dans cet article, j’ai l’habitude, à l’apparition des premiers signes de la saison chaude, de faire deux gros pots de marinade. Une est au vin rouge que j’utilise pour les viandes rouges et l’autre au vin blanc. Vous vous demandez quel est le petit truc santé de Phrenssynnes avec ces marinades ?
Ce matin, j’ai fait celle au vin blanc et j’ai pensé à vous. Voici le secret.
Je mets une quantité équivalente d’huile et de vin blanc. La recette originale stipulait ¾ de tasse d’huile et ¼ de tasse de vin blanc. J’utilise souvent cette marinade avec des poitrines de poulet désossées, une viande maigre qui a tendance à être sèche. J’ai remarqué en ayant une quantité égale d’huile et de vin, le résultat final est aussi délicieux et moins gras.
Cuisiner ce matin m’a fait penser à mon récent article sur les aliments ultra-transformés. Hum… J’ai réalisé qu’un des ingrédients, le bouillon de poulet concentré, doit appartenir à la catégorie 3 ou 4 de la classification NOVA! Si jamais je réussis à trouver un équivalent, je vous fais signe. En attendant, j’utilise la version avec moins de sel et remarquez qu’on ne doit pas ajouter de sel.
Parlant d’aliment transformé, on en a parlé dans les médias récemment. Il semble que ce soit un sujet au goût du jour.
La douche froide
Avez-vous remarqué une nouvelle mode sur Instagram sur les vertus du cold plunge. Wim Hof est un des gurus de cette thérapie. On retrouve même la célèbre Mel Robbins qui s’y est mise aussi sur Instagram. C’est comme se baigner dans l’océan à Ogunquit. Ce bain dans cette eau salée est vivifiant!
Je suis une adepte de la douche froide.
À l’époque de mon enfance, le spa n’était pas en vogue. Bien sûr, les saunas existaient, mais cela n’était pas très courant. Depuis plusieurs années, avec la popularité grandissante, j’y suis allée quelques fois. J’en ai découvert les bienfaits. En vérité, après avoir fait les étapes chaud-froid, comme recommandé, cela me donnait la sensation d’être « décrassée ». C’est le même feeling qu’après un entraînement de course. Si vous êtes un adepte du jogging, vous reconnaissez cette sensation. C’est probablement le moment où notre corps sécrète de l’endorphine. C’est un sentiment de bien-être incroyable et on devient accro.
Le Québec regorge d’endroits fabuleux où on peut faire un cold plunge de façon tout à fait naturelle!
Je l’ai déjà expérimenté dans cette magnifique cascade après une randonnée en montagne par une journée de canicule. Lhom peut en témoigner!
Douche écossaise
J’ai ainsi l’habitude des douches écossaises. Dans un premier temps, je prends ma douche chaude et après le savonnage, j’utilise la douche téléphone. Je coupe complètement l’eau chaude et je commence par les pieds. J’asperge d’eau froide le bout des orteils en remontant vers les cuisses. Ensuite, je fais les bras, toujours de l’extrémité vers le corps. Du bas vers le haut, je continue sur le ventre et le dos. Puis le cou et la nuque. Je ne fais pas le visage, car je ne veux pas augmenter ma légère couperose.
Parfois, j’ai la sensation de sentir chaque vaisseau sanguin de mes jambes se contracter après le passage frigorifiant de l’eau. J’ai l’impression que doucher à l’eau froide des extrémités vers le corps donne un peu le même effet qu’un massage du style drainage lymphatique.
Étant donné que j’habite au Québec, je vous assure qu’au mois de janvier lorsqu’on a -30 degrés Celsius avec le refroidissement éolien, la douche n’est plus écossaise, mais glaciale! Peut-être devrais-je la qualifier de Québécoise!
Pensez à vérifier si ce traitement au froid peut être contre-indiqué pour vous. Je ne voudrais pas que vous fassiez une crise cardiaque dans la douche!
Les films à regarder
Cette semaine, le temps a été moins clément. Les températures avoisinant les dix degrés et les bourrasques du nord-est nous ont ramenés devant la télé. C’est un peu décourageant pour un mois de juin.
Si vous avez envie de vous divertir, j’ai deux suggestions pour vous. Elles sont disponibles en français.
Sur Netflix, la première option est le film Une belle vie. L’histoire d’un pêcheur de homard danois qui devient une super vedette de la chanson. Voilà toute l’intrigue, mais c’est le genre de récit où divulgâcher la fin ne sabote pas le plaisir. Effectivement, on s’en fiche de savoir la fin, le bonheur est de découvrir comment tout se produit. On vit le même genre d’émoi que dans le conte de Cendrillon.
C’est un film émouvant qui démontre qu’on peut exploiter notre plein potentiel malgré des traumatismes importants subit dans l’enfance. Je n’en dis pas plus!
L’histoire vraie de Katharine Gun, dénonciatrice des services de renseignement britanniques, qui a divulgué un mémo top-secret de la NSA exposant une opération d’espionnage illégale menée conjointement par les États-Unis et le Royaume-Uni.
Basée sur une histoire vraie, cette œuvre cinématographique nous révèle les dessous des magouilles américaines et britanniques pour provoquer la guerre avec l’Irak.
Katharine Gun est une jeune femme courageuse prête à aller jusqu’au bout pour ses convictions. Voilà une belle démonstration de l’ampleur de la bêtise, l’abus de pouvoir des politiciens.
Visionner un film de ce genre nous fait réaliser à quel point monsieur tout le monde est tenu dans l’ignorance de ce qui se passe dans l’actualité.
La conférence coup de coeur
J’ai eu le privilège d’assister la semaine dernière à une conférence de Rafael Jacob, chercheur associé de la chaire Raoul-Dandurand. Sur le thème de l’économie géopolitique, je l’ai trouvé VRAIIIIIMENT intéressant. Dynamique et passionné, il nous révèle de façon enthousiasme sa compréhension de l’Univers géopolitique. Son point de vue met bien des choses en lumière.
Moi, qui ai étudié en science, je n’ai pas consacré beaucoup de temps à ce domaine. Maintenant que je suis à la retraite et avec le spectacle de téléréalité que les années Trump nous ont fait vivre, je me reprends.
Rafael Jacob est souvent interviewé dans l’univers médiatique québécois. Ne manquez pas ces reportages.
Photo de Lhom
Lhom nous présente cette semaine une photo du bras de mer à Ogunquit dans le Maine. Un endroit où vous pourrez faire un véritable cold plunge.
En conclusion
Depuis le début du blogue, j’écris de temps à autre un article sur mes coups de cœur. J’ai décidé qu’à l’avenir, ce genre d’article prendrait la forme d’un bulletin publié sur la plateforme Substack. Alors pour ne rien manquer abonnez-vous sur ce lien Substack.
Il décrit, preuves à l’appui, comment tout se ressemble aujourd’hui. Qu’il s’agisse de la décoration intérieure des maisons ou des bistros-cafés, de l’architecture urbaine, du design des voitures et leurs logos, tout se ressemble.
Il existe même ce que l’on appelle un visage Instagram. Toutes les célébritées ou influenceuses ont tendance à avoir le même look à la Kim Kardashian. Elle est la norme de base.
C’est hallucinant!
L’auteur poursuit en expliquant la tendance de ces dernières années pour les publicités de films ou d’émissions télévisées. Il mentionne les titres de romans et d’essais qui se ressemblent tous, ainsi que les couvertures de livres. On passe ensuite aux marques de produits de beauté ou d’hygiène dont les photos publicitaires ont le même look.
Tout cela est vrai, mais n’est-ce pas ce que l’on appelle le phénomène de mode ou de tendance ?
Quand a-t-on commencé à suivre la tendance?
À la préhistoire, la mode n’existait pas. La mode vestimentaire est apparue au XIVe siècle chez les aristocrates français.
Puis, vers 1800, Charles Frederick Worth invente le défilé de mode.
Le phénomène de la mode s’est accentué au fil du temps.
Point de vue vestimentaire, je n’ai jamais beaucoup suivie la mode. J’ai toujours opté pour le style classique car je déteste le magasinage. J’essaye de ne pas être trop démodée. Ah! Ah!
Suivre la tendance au max
Alex Murrell mentionne que ce phénomène s’est étendu à tous les domaines. Il s’est développé de manière exponentielle ces dernières années. Il affirme que nous sommes à l’âge de la moyenne.
Suivre la tendance sur Instagram
Consultez le site insta_repeat où l’on montre des répétitions de photos Instagram similaires. J’ai moi-même succombé à ce genre de photo (photo de dos avec l’océan). Nous sommes à la merci des algorithmes.
Impressionnant.
C’est un brillant exemple de la tendance à la polarisation vers le même style.
Mondialisation et technologies
Cela a commencé à l’époque de la mondialisation dans les années 1990. Le phénomène de la mondialisation a commencé au 19e siècle mais s’est accentué dans les années 1990. Il est dû aux développements technologiques. À cette époque et encore aujourd’hui, quel que soit l’aéroport où vous vous rendez, vous trouverez le même type de magasins.
L’avènement des médias sociaux a accentué ce phénomène dans tous les domaines.
Est-ce parce que les médias sociaux nous donnent ce que nous demandons ? C’est fort probable. Les publicités sont ciblées. Et, comme indiqué dans l’article : Derrière nos écrans de fumée, ces médias ont tendance à nous polariser. Et à radicaliser nos opinions. Au lieu d’être flexibles dans nos jugements, nous sommes plus dichotomiques. Il est important de mettre l’accent sur les multiples couleurs de l’arc-en-ciel. Ou de se rappeler qu’il existe de nombreuses nuances de gris entre le blanc et le noir.
Que faisons-nous?
Or, depuis quelques années, nous faisons le contraire.
Par exemple, Netflix nous propose des suggestions qui correspondent à nos goûts. Au lieu de présenter de la variété, Netflix nous propose des films qui ressemblent à ce que nous avons déjà regardé. Cela entraîne un effet pervers de concentration et cela commence souvent par un film ou une série très populaire. Cela crée un cercle vicieux qui nous pousse à choisir de plus en plus ce que tout le monde regarde.
« The Instagram pictures we post, the tweets we read, the TV we watch, the app icons we click, the skylines we see, the websites we visit and the illustrations which adorn them all look the same. The list goes on, and on, and on. »
Alex Murrell
Un autre effet négatif est la diminution de la créativité des créateurs de contenu.
Alex Murrell recommande d’essayer d’accroître la créativité. Il suggère que lorsque le monde fait du Zig, si vous voulez être original, faites du Zag.
Il nous dit d’être encore plus créatif.
Veut-il dire qu’il faut faire Zag pour devenir la nouvelle référence et définir la nouvelle tendance ?
« I believe that the age of average is the age of opportunity. »
Alex Murrel
Il y a là matière à réflexion.
Photo de Lhom
Lhom nous offre une photo de Riviera Maya. Ouch! On ne peut pas faire plus Instagram que ça!
La morale de cette histoire?
Soyons audacieux.
J’attends vos commentaires avec beaucoup de plaisir.
Je vous remercie d’avoir lu cet article. Si vous l’avez aimé, je vous invite à le partager.
Février est un mois où vous avez peut-être une baisse d’énergie. Vous ressentez la lassitude de l’hiver, le temps des fêtes est terminé, vous rêvez du printemps. Je vous suggère quelques activités pour chasser la déprime et mettre un peu de piquant dans votre hiver.
1-Écoutez le Superbowl
Vous n’êtes pas fan de football, ce n’est pas grave. C’est juste une occasion pour faire la fête, cuisiner ou faire une activité avec des amis.
Pour vous convaincre, écoutez cette vidéo de quelques secondes de Tom Brady, un quart-arrière célèbre qui a battu plusieurs records. Beau comme un coeur et émouvant. Malheureusement son équipe ne participera pas au Superbowl en 2023.
Allez, on laisse de côté nos ordinateurs, tablettes et cellulaires et on va jouer dehors.
Si vous avez la chance comme moi d’habiter un pays nordique, cherchez un endroit où on peut aller marcher dans les bois. Vous prenez des bâtons de ski avec vous et vous pourrez dire que vous pratiquez un nouveau sport: la marche nordique!
Bon pour la santé et le moral, vous vous sentirez revigorés après.
« Le hygge (prononcé [y.ɡœ]) est un mot d’origine danoise et norvégienne faisant référence à un sentiment de bien-être, une humeur joyeuse et une atmosphère intime et chaleureuse. Le hygge est un état d’esprit positif procuré par un moment jugé réconfortant, agréable et convivial.
Ce terme est aujourd’hui principalement utilisé au Danemark et se traduit difficilement dans d’autres langues. »
On pourrait dire qu’au Québec on appelle ça faire du « cocooning ».
Pour les Danois, il ne s’agit pas seulement d’un état d’esprit ou d’une simple soirée entre amis, c’est un art de vivre. Leurs maisons sont décorées et organisées en conséquence, les repas aussi.
Voici des liens pour vous le faire mieux découvrir:
La semaine quand on part travailler, on n’est pas toujours super motivé. Et en février, à la fin de l’hiver, on est souvent un peu blasé. Un truc de ma belle-soeur (une autre, pas celle citée dans l’article Les bonbons de Noël et la magie du Temps des Fêtes.)
Vous pourrez utiliser ce truc peut-être seulement l’an prochain mais tentez de vous en rappeler. Lorsque vous faites votre magasinage à l’automne pour vos vêtements d’hiver, prévoyez un morceau que vous allez réserver. Oui, vous avez bien compris, vous ne le mettrez pas du tout de l’hiver. Et en février, lorsque vous aurez une petite crise de mélancolie ou au moment de votre choix, vous sortez votre veste, le foulard, la chemise ou le gilet que vous aviez gardé de côté. Ce sera votre rayon de soleil de la journée. Essayez-le, et vous m’en donnerez des nouvelles.
5- Carnaval de Québec
Venez nous visiter à Québec! En février, c’est le Carnaval de Québec. Il y a une foule d’activités. Famille, plein air, musique, nightlife et épicurien sont les différents thèmes de ces activités.
Apportez des vêtements chauds car à Québec, il fait froid et il faut s’habiller comme des oignons. Pour ceux qui habitent loin, avez-vous déjà marché dans la neige lorsqu’il fait très froid? La neige fait du bruit sous nos pas.
Et peut-être aurez-vous la chance d’avoir les narines qui collent ensemble à cause du froid! Ah! Ah! non je ne vous le souhaite pas.
Mon rêve de téléphone visuel s’est réalisé et je l’utilise quotidiennement. J’aimerais aussi réaliser ce désir de bénéficier d’une voiture volante de mon vivant. Aurais-je l’opportunité de voyager dans une auto volante un jour?
Avec toutes ces histoires d’intelligence artificielle(IA) dont on parle dans l’actualité, j’ai un doute qu’on travaille sur ce défi.
Pourtant, ce serait une bonne idée d’allier les deux.
Lorsque je travaillais, incorporer deux changements en même temps est une stratégie qui m’a aidé à évoluer dans mes habitudes. Je vous donne un exemple. Une façon classique d’évaluer la vision demeure le test Snellen. Sans vous expliquer cette mesure (je suis une optométriste maintenant retraitée), c’est le test avec les lettres que vous devez nommer.
Une expérience
J’ai appris à noter, lors de mes études universitaires, l’acuité visuelle Snellen avec le système impérial. C’est-à-dire 20/20 en impérial équivaut à 6/6 en métrique. Dans les années 70 et 80, le gouvernement du Canada a introduit la méthode métrique.
Dans ma profession, je voyais de plus en plus de jeunes collègues qui consignaient la mesure Snellen en métrique. Chaque fois, je devais sortir mon tableau d’équivalence pour comprendre que 6/12 exprimait 20/40. Je me disais que je devais faire la transition, mais je n’y parvenais jamais.
Puis est arrivé un tournant dans ma carrière où j’ai changé de bureau pour travailler avec un autre groupe d’optométristes. Et là, tout a été chamboulé pour moi. Cela voulait dire une salle d’examen différente avec des instruments similaires, mais pas parfaitement identiques, des dossiers comparables, mais pas pareils, une nouvelle assistante. C’était le genre de petits détails qui, en s’accumulant, me ralentissait malgré l’expérience que j’avais.
Alors, je me suis dit, ma vieille, pourquoi ne pas en profiter pour faire une modification de plus et t’habituer à noter le test Snellen en métrique. J’étais déjà ralentie de toute façon et la suite m’a démontré que cela ne m’a pas coûté beaucoup plus d’effort. C’est ainsi que j’ai réussi à effectuer la transition. Pour m’encourager, je me disais que mes dossiers avaient l’air plus jeunes. 😉
Les autos volantes
Si je vous raconte cette histoire, c’est qu’avec ces bouleversements que va entraîner l’intelligence artificielle, pourquoi ne pas intégrer un autre changement.
Et ici, je pense, entre autres, au domaine de l’automobile. Je suppose que les autorités gouvernementales s’arrachent les cheveux et se demandent comment ils vont gérer les voitures conduites par des ordinateurs. Imaginez lorsqu’on aura des autos volantes.
(Imaginez-la avec des ailes!) ⇒
Les avantages des autos volantes
Je lance un défi aux ingénieurs, pourquoi ne pas créer des autos volantes (qui se déplacent à quelques centimètres du sol) et intelligentes? Oh! Là! Là! J’en entends déjà plusieurs gronder!
Ah! Ah! Mais comme je l’ai expérimenté dans ma carrière, c’est souvent une bonne façon d’intégrer un nouveau changement.
Imaginez les avantages de flotter au lieu de rouler.
Nous n’aurions plus besoin de routes asphaltées.
On pourrait circuler sur des chemins recouverts de fleurs ou de végétaux.
Et que dire de planer au-dessus de l’eau. Est-ce que les ponts deviendraient inutiles?
Nous pourrions voltiger par-dessus la neige, plus d’exigence de déneigement.
Peut-être que cela éliminerait la contrainte des pneus d’hiver et d’été.
Nous gagnerions en espace pour nous déplacer, c’est-à-dire qu’on pourrait bénéficier de l’altitude pour diluer le trafic. Par exemple, les voitures d’urgence comme les ambulances et les camions de pompiers pourraient voler à une hauteur plus élevée que les véhicules réguliers.
Ce serait plus écologique, car nous n’aurions plus besoin de mettre du sel et toute sorte de produit pour déglacer sur les routes pendant la saison froide.
Et, j’ose espérer que nous ne resterions plus coincés dans les bancs de neige.
Etc.
Des grands changements avec les autos volantes
La venue des autos volantes provoquerait de grands changements économiques. Ici, les propriétaires de compagnies fabriquant de l’asphalte ne m’aimeront pas, ni les déneigeurs. Un tel bouleversement créerait de nouvelles opportunités qui engendreraient des emplois que nous ne pouvons imaginer aujourd’hui.
Cela entraînerait sûrement une singularité comme l’invention du téléphone intelligent, l’iPhone en 2007. Réfléchissez à comment notre vie a évolué depuis.
Suite à ma dernière publication, ma sœur m’a transmis cet article intéressant. Les auteurs expliquent que certains modèles d’intelligence artificielle ne peuvent résoudre cette énigme correctement. Par exemple, si on pose cette question à une IA, elle nous donne la mauvaise réponse.
Voici la question.
La question
« La lumière est éteinte. J’appuie sur l’interrupteur d’éclairage. Je mange une pizza. J’appuie sur l’interrupteur d’éclairage. La lumière est-elle allumée?»
La réponse
On appelle cette interrogation la tâche pizza. La bonne réponse est, évidemment, que la lumière est éteinte.
Je ne l’ai pas testé sur ChatGPT mais les auteurs de l’article nous assurent que cette IA répond que la lumière est allumée et qu’elle refuse de donner la bonne réponse.
Oh! Imaginez ce que cela donnerait dans une voiture!
Et vlan! J’ai l’impression que ce n’est pas demain matin que je vais conduire ma voiture volante intelligente. Je dois sous-estimer le travail qui doit être fait par les ingénieurs informaticiens.
Intégrer les changements
Peut-être que mon idée d’intégrer plusieurs changements en même temps n’est bonne que pour les habitudes?
En tout cas, je ne suis pas la seule à avoir remarqué ce bénéfice d’intégrer ensemble deux changements. Car je l’ai lu dans le livre très inspirant de James Clear, Un rien peut tout changer. Il suggère cette technique pour nous aider à faire des changements positifs dans notre vie.
En ce début d’année, l’intelligence artificielle est une réalité et non plus de la science-fiction.
Lorsque j’étais enfant, je rêvais du téléphone visuel. Je m’en sers maintenant régulièrement. J’ai l’impression de vivre comme dans un roman de science-fiction!
Et aujourd’hui, je discute avec un robot. Quelle folie!
J’ai décidé de m’amuser avec cette nouvelle technologie. Avez-vous entendu parler du chatGPT? Non, ce n’est pas un chat qui pète!
C’est une intelligence artificielle qui répond à nos questions et qui peut faire certaines tâches.
Selon Wikipédia :
«ChatGPT est un prototype d’agent conversationnel utilisant l’intelligence artificielle développée par OpenAI et spécialisée dans le dialogue. L’agent conversationnel est un modèle de langage affiné à l’aide de techniques d’apprentissage supervisé et d’apprentissage par renforcement.»
Je l’ai essayé. Il s’agit d’aller sur ce site, on doit donner un courriel et le valider en cliquant sur le lien qu’on nous envoie par courriel. Ensuite, on clique sur « try » et on peut chatter avec l’intelligence artificielle.
Voici quelques bribes de ma conversation.
Mes questions sont de couleur rose et les réponses de l’intelligence artificielle sont de couleur rouge et mes commentaires en noir.
Ma conversation avec l’intelligence artificielle
Es-tu un humain?
Non, je suis un programme informatique appelé GPT-3, ou Generative Pre-trained Transformer 3, un modèle de traitement du langage développé par OpenAI. Je suis capable de comprendre et de répondre aux questions posées en utilisant les informations stockées dans mon réseau neuronal.
As-tu accès au web pour aller chercher tes réponses?
En tant que modèle de traitement du langage, je n’ai pas accès à Internet pour aller chercher des informations comme le ferait un navigateur web. Au lieu de cela, j’ai été entraîné sur une grande quantité de données textuelles provenant d’Internet et d’autres sources pour comprendre et générer du texte. Les informations que je peux fournir sont limitées à la quantité de données sur lesquelles j’ai été entraîné et à la date de coupe de mes connaissances.
Quel est ton nom?
Je suis ChatGPT, un modèle de traitement de langage développé par OpenAI.
Qui est Phrenssynnes?
Je suis désolé, je ne suis pas sûr de savoir qui est Phrenssynnes. Pouvez-vous s’il vous plaît fournir plus d’informations ou un contexte supplémentaire?
Ouais, pas si intelligent que çà! 🙂
Blogue de Phrenssynnes?
Je ne suis pas au courant d’un blogue qui s’appelle « Phrenssynnes ». Il est possible que cela soit un blogue personnel qui n’est pas largement connu ou référencé en ligne. Si vous avez un lien ou une description de ce blogue, je peux vous donner plus d’informations sur son contenu et son auteur.
Oh! Quelle déception qu’il ne me connaît pas! Pourtant le blogue existe depuis 2018 et on me trouve facilement sur Google!
https://phrenssynnes.ca
Je suis désolé, je n’ai pas accès à Internet pour vérifier cette URL. En général, je peux vous dire que les blogs sont des sites web où les utilisateurs peuvent publier des articles, des images, des vidéos et d’autres types de contenu pour partager leurs pensées, leurs idées et leurs expériences avec les lecteurs. Les blogs peuvent avoir des thèmes variés, allant de la technologie à la cuisine en passant par la mode, le voyage, la politique, l’éducation, etc. Il est possible que Phrenssynnes était un blogue qui a été créé pour partager des idées, des réflexions, des articles, des images, etc. sur un certain sujet d’intérêt.
Je lui ai demandé d’écrire un article de blogue sur le même sujet que celui de la semaine dernière. Voilà ce que ça donne.
Écris un article de blogue pour le blogue de Phrenssynnes sur le sujet des nouvelles habitudes pour 2023.bonnes résolutions 2023, exemple de résolutions, nouvelles habitudes, nouvelles habitudes à adopter, nouvelles habitudes à prendre, Résolutions 2023, résolutions 2023 idées, résolutions du nouvel an
Titre : « Résolutions 2023 : Les nouvelles habitudes à adopter pour une année réussie »
Introduction :
C’est une nouvelle année, et cela signifie qu’il est temps de se fixer de nouveaux objectifs et de se lancer de nouveaux défis. Les résolutions du Nouvel An sont un moyen populaire de se fixer des objectifs pour l’année à venir, mais il est important de se rappeler que les résolutions ne sont pas seulement des choses à faire pendant les premières semaines de janvier. Les résolutions sont des habitudes à adopter tout au long de l’année.
Voici quelques idées de nouvelles habitudes à adopter pour 2023 :
Se lever tôt : Se lever tôt peut aider à améliorer la productivité et la motivation tout au long de la journée. Essayez de vous lever une heure plus tôt chaque matin pour profiter de ces avantages.
Pratiquer la méditation ou le yoga : La méditation et le yoga peuvent aider à réduire le stress et à améliorer la concentration. Essayez de pratiquer chaque matin pour commencer la journée sur une note calme et détendue.
Lire chaque jour : La lecture peut aider à stimuler l’imagination, à améliorer la compréhension et à élargir les connaissances. Essayez de lire au moins 30 minutes par jour pour bénéficier de ces avantages.
Faire de l’exercice régulièrement : L’exercice peut aider à améliorer la santé physique et mentale. Essayez de faire de l’exercice au moins 30 minutes par jour pour bénéficier de ces avantages.
Déconnecter de temps en temps : Il est important de déconnecter de temps en temps pour se détendre et se ressourcer. Essayez de déconnecter chaque jour pendant au moins une heure pour vous permettre de vous détendre et de vous concentrer sur autre chose.
Il est important de se rappeler que les habitudes ne se forment pas du jour au lendemain. Il faut de la persévérance et de la patience pour les adopter. Mais en étant conscient de ces habitudes et en prenant des mesures pour les adopter, vous serez sur la bonne voie pour une année réussie.
Vous pouvez constater, pour ceux qui ont lu mon article de la semaine dernière, qu’on ne parle pas de la même chose! L’article est général et n’a pas la petite touche personnelle que j’espère apporter.
J’ai lu qu’une telle technologie peut composer un roman.
Je lui ai demandé.
Comment fais-tu pour écrire un roman?
En tant que modèle de traitement de langue, je peux générer des textes de fiction en utilisant les données sur lesquelles je suis entraîné. Cela peut inclure des histoires, des romans, des nouvelles, etc. Je peux générer du texte en utilisant des prompts ou des sujets donnés, ou en continuant une histoire déjà commencée.
Pour écrire un roman, je peux utiliser des prompts pour définir le sujet, les personnages, le contexte et la trame de l’histoire, puis utiliser mes connaissances linguistiques pour écrire des chapitres et des scènes qui se déroulent dans cet univers. Il est important de noter que les romans générés par un modèle de traitement de langue comme moi ne sont pas créés de la même manière qu’un roman écrit par un humain, et ils peuvent manquer d’originalité, d’émotion, de nuances, de sensibilité, et d’autres aspects qui font d’un livre un oeuvre littéraire.
Oh! Aurons-nous des romans composés par un robot à l’avenir? Et surtout, comment saurons-nous si un livre a été écrit par un humain ou un robot?
J’ai demandé à l’intelligence artificielle de me faire un programme d’entraînement.
Crée une routine pour entraînement musculaire à la maison pour une femme de XX ans.
(Non, non, vous ne saurez pas mon âge!!! La couleur orange est une censure de ma part!)
Voici une routine d’entraînement de musculation à la maison pour une femme :
Lundi :
Exercice 1 : Marche rapide ou vélo d’appartement pendant 15 minutes pour échauffer.
Exercice 2 : Squats avec une chaise ou un banc pour soutien pendant 3 séries de 12 répétitions.
Exercice 3 : Développé couché avec des bouteilles d’eau ou des poids légers pour résistance pendant 3 séries de 12 répétitions.
Exercice 4 : Planche latérale avec des bouteilles d’eau ou des poids légers pour résistance pendant 3 séries de 12 répétitions de chaque côté.
Exercice 5 : Étirement pour se détendre.
Mercredi :
Exercice 1 : Marche rapide ou vélo d’appartement pendant 15 minutes pour échauffer.
Exercice 2 : Extension des jambes avec une chaise ou un banc pour soutien pendant 3 séries de 12 répétitions.
Exercice 3 : Rangée debout avec des bouteilles d’eau ou des poids légers pour résistance pendant 3 séries de 12 répétitions.
Exercice 4 : Extension de triceps avec des bouteilles d’eau ou des poids légers pour résistance pendant 3 séries de 12 répétitions.
Exercice 5 : Étirement pour se détendre.
Vendredi:
Exercice 1 : Marche rapide ou vélo d’appartement pendant 15 minutes pour échauffer.
Exercice 2 : Fentes avec une chaise ou un banc pour soutien pendant 3 séries de 12 répétitions.
Exercice 3 : Extension des bras avec des bouteilles d’eau ou des poids légers pour résistance pendant 3 séries de 12 répétitions.
Exercice 4 : Extension de l’épaule avec des bouteilles d’eau ou des poids légers pour résistance pendant 3 séries de 12 répétitions.
Exercice 5 : Étirement pour se détendre.
Il est important de noter qu’il est important de consulter un médecin avant de commencer un nouveau programme d’exercice et d’adapter les exercices en fonction de l’état de santé et des capacités physiques. Il est également important de commencer avec des poids légers et d’augmenter progressivement la résistance au fil du temps. Il est important
Zut! J’ai oublié de lui demander si elle pouvait le faire à ma place. 🙂
Comme je ne comprenais pas bien une consigne, je lui ai demandé:
Montre-moi dans un vidéo comment faire cet exercice : Développé couché avec des bouteilles d’eau ou des poids légers pour résistance
Je suis désolé, je suis un modèle de traitement de langage et je ne peux pas vous montrer de vidéos. Cependant, je peux vous donner une description détaillée de l’exercice de développé couché avec des bouteilles d’eau ou des poids légers pour la résistance :
Commencez en étant allongé sur le dos sur un tapis ou une surface plane avec les genoux pliés et les pieds à plat sur le sol. Tenez les bouteilles d’eau ou les poids légers à vos côtés avec les paumes vers le haut.
Poussez vos hanches vers le haut pour vous asseoir, en gardant vos pieds à plat sur le sol.
Soulevez les bouteilles d’eau ou les poids légers vers le plafond en tendant vos bras, en gardant vos coudes légèrement pliés.
Abaissez lentement les bouteilles d’eau ou les poids légers vers le sol en inspirant, en maintenant le contrôle de la résistance.
Répétez cet exercice pour le nombre de répétitions recommandées dans votre routine d’entraînement.
Il est important de maintenir une bonne forme pendant l’exercice pour éviter les blessures et assurer un engagement efficace des muscles ciblés. Il est également important de commencer avec des poids légers et d’augmenter progressivement la résistance au fil du temps. Il est également important de se rappeler de respirer correctement pendant l’exercice.
Je dois avouer que je ne connais pas l’exercice qu’on appelle « développé couché sur le sol » et je n’ai pas bien compris lorsque ChatGPT l’explique. Particulièrement lorsqu’il écrit :« poussez les hanches vers le haut pour vous asseoir, en gardant vos pieds à plat sur le sol. »
Comment peut-on s’asseoir lorsqu’on est couché par terre ? J’ai fait une recherche de vidéo sur Google pour savoir comment faire cet exercice et là, j’ai bien compris!
Lorsqu’on voit la vidéo, on constate que l’intelligence artificielle n’a pas compris le mouvement. Ceci est une faiblesse de cet outil. Une conversation écrite avec une intelligence artificielle a une certaine limite. Mais, à la vitesse où vont les choses, on peut imaginer la puissance de cette technologie dans l’avenir.
J’ai posé une question générale à l’intelligence artificielle
Conseil de vie pour 2023?
Voici quelques conseils de vie pour 2023 :
Prenez soin de votre santé mentale : La santé mentale est tout aussi importante que la santé physique. Faites de la méditation, de la respiration profonde, ou pratiquez des activités qui vous aident à vous détendre et à vous sentir bien.
Faites de l’exercice régulièrement : L’exercice est un moyen efficace de maintenir un bon état de santé physique et mentale. Trouvez une activité que vous aimez et faites-la régulièrement.
Mangez sainement : Une alimentation équilibrée est essentielle pour maintenir une bonne santé physique et mentale. Faites des choix alimentaires sains et équilibrés pour vous aider à vous sentir bien et à rester en bonne santé.
Faites des choses qui vous font plaisir : Trouvez des activités qui vous font plaisir et qui vous donnent un sentiment de satisfaction et de bonheur.
Entourez-vous de personnes positives : Les gens qui nous entourent ont un impact considérable sur notre vie. Entourez-vous de personnes positives qui vous apport
Il s’est interrompu là.
Qu’est-ce que je peux faire pour te remercier pour tes réponses ?
Je suis heureux de pouvoir vous aider ! Je suis un programme informatique, je n’ai pas la capacité de ressentir des émotions ou de recevoir des remerciements comme un être humain le ferait. Cependant, vous pouvez partager les informations que je vous ai fournies avec d’autres personnes qui pourraient en avoir besoin, ou vous pouvez également donner une note positive pour ma réponse pour aider les utilisateurs futurs à trouver mes réponses utiles.
Photo de Lhom
Cette semaine Lhom nous présente une photo de la ville de New York de nuit prise de Central Park.
Et vous? Avez-vous essayé cette dernière technologie?
Allez-vous vous en servir?
Qu’en pensez-vous?
L’avenir nous dira ce qu’il en adviendra!
Phrenssynnes
P.S. Cet article ne contient aucun lien affilié et les sites mentionnés ainsi que mon ami ChatGPT n’ont pas été mis au courant de ce projet avant publication.
Blogue Lifestyle
Le blogue de Phrenssynnes
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L’année 2023 est à peine commencée que j’ai beaucoup d’idées à vous présenter. Mon article, cette semaine, vous offre un melting pot de mes dernières découvertes.
J’adore lire, naviguer sur le web et lire toutes sortes de billets d’information.
Voici quelques perles pour commencer votre année en beauté.
Ces idées s’alignent avec les thèmes du blogue pour 2023. La catégorie Phrenssynnes et la bouffe privilégie le petit twist santé à donner dans vos recettes sans trop de compromis. Dans Phrenssynnes se cultive, vous découvrirez quel roman lire avant de partir en voyage. La section Phrenssynnes cogite mettra en valeur des sites ou des découvertes par des femmes. Et dans la section voyage, je vous réserve une surprise!
L’année de quoi?
Mon amie F m’a appris que 2023 est l’année du millet. C’est l’Assemblée générale des Nations Unies qui l’a proclamée.
Citation
« Cette céréale, bien adaptée pour faire face au changement climatique, car cultivée principalement dans les zones sèches, ne nécessite ni engrais ni irrigation. Nutritive, elle contribue à la sécurité alimentaire, en particulier en Afrique et en Afrique de l’Ouest. »
Je vous invite à en consommer puisque c’est une bonne source de fibres, de protéines végétales, de fer et de magnésium.
Quel workout pour 2023?
J’ai lu un article intéressant dans le New York Times cette semaine. On y fait référence à une étude sur le bonheur dont je vous ai déjà parlé dans un autre billet.
Kelly McGonigal, dans un autre billet, nous suggère un entraînement de six mouvements qui améliorent l’humeur et des recherches scientifiques les valident.
Puisqu’en début d’année, nous nous remettons tous aux sports, je trouve que faire un workout avec des mouvements qui peuvent apporter de la joie vaut la peine d’être essayé. Je l’ai testé et, au lieu d’attacher vos tuques comme on dit au Québec, je vous préviens, mesdames: Attachez vos soutiens-gorges, car ça swing! Essayez-le et donnez-moi des nouvelles.
Un petit café ou un thé avec ça?
Après avoir fait cet exercice, vous pourrez vous gâter en prenant un bon café ou en savourant une tasse de thé. En faisant cela, vous pourrez ajouter au compteur un autre geste bon pour votre santé. Car depuis que j’ai publié cet article, j’ai trouvé trois autres études qui prouvent que la consommation de thé et de café est bonne pour la santé.
La dernière perle
J’ai découvert ma quatrième perle pour votre début d’année dans ce blogue.
C’est un type particulier de respiration pour nous aider à mieux gérer le stress. C’est un exercice de yoga qu’on appelle Simhasana Pranayama. Le Pranayama est une ancienne pratique de respiration issue des traditions yogiques de l’Inde.
Êtes-vous surpris? Cet exercice aura comme effet de vous relaxer lorsque les choses ne vont pas comme vous voulez. Par contre, si vous la faites devant vos collègues, vos employés ou vos enfants, ceux-ci expérimenteront peut-être une augmentation de leur stress et leur angoisse en vous voyant! Ah! Ah! À chacun sa vision du leadership. Une chose est certaine, ils comprendront que c’est le temps de vous laisser un peu d’air!
Je l’ai aussi testé pour vous mais je pourrais dire qu’un souci technique m’empêche de vous montrer la vidéo. 😉 Ah! Ah! Je vais être honnête avec vous, c’est plutôt la gêne.
Photo de Lhom
Lhom commence 2023 en beauté cette année en nous présentant une photo du Jungfrau, un magnifique sommet en Suisse.
Au lieu de prendre des résolutions en début d’année, j’essaie plutôt d’adopter de nouvelles habitudes. J’espère que ces quelques idées vous inspireront en 2023.
Si vous désirez m’encourager, je vous invite à vous abonner, à partager mes articles sur les réseaux sociaux et à en parler à vos amis.
Je vous remercie de votre fidélité et d’avoir lu cet article.
Bonne semaine.
Phrenssynnes
P.S. Laissez-moi un petit mot pour me dire laquelle de ces perles vous avez préférées.
En cette saison de Noël, pour moi, c’est le temps de la gratitude.
Je dédie cet article à Lhom.
Le blogue en chiffres
Voici quelques chiffres pour satisfaire ceux qui en sont friands.
Le blogue a atteint presque 23 000 vues et j’ai écrit plus de 230 articles depuis le début en 2018.
Plus de 12 500 visiteurs de 55 pays sont venus se promener sur mon site. Je crois que l’internationalité est ce qui m’impressionne le plus!
En 2022, vous avez fait plus de 250 commentaires.
Cette année a été riche en expérience et le mois d’avril a battu des records, probablement à cause de l’émission radiophonique à laquelle j’ai participé. Un merci spécial à Yves Simard qui m’a guidé comme un pro dans cette nouvelle expérience.
Le jeu des devinettes
Quelles sont les rubriques les plus populaires?
Cliquez ici pour découvrir l’article le plus lu en 2022.
Et ici pour celui qui gagne la médaille d’argent en nombre de vues.
Et pour la troisième place, vous pouvez le lire ici. D’ailleurs, cette rubrique ne cesse de me surprendre depuis sa publication, car elle est extrêmement visitée et cela m’a beaucoup appris sur le SEO. (Search engine optimization)
Depuis le commencement du blogue, la chronique numéro un est celle sur les carrés au datteski.
Le deuxième article le plus populaire, depuis 2018, est celui que j’ai fait en avril 2020 sur Charles, un Québécois en Chine au temps de la pandémie. Ce texte est devenu presque viral, mais, désolé Charles, les carrés aux datteski t’ont battu en nombre de vues.
Remerciements
Je tiens à remercier chaleureusement mon éditrice, Ann pour tout le travail bénévole qu’elle fait pour le blogue. À date, son seul salaire a été quelques muffins Labriski! Grâce à elle, je me suis énormément améliorée.
Ma plus grande difficulté est le côté technologique, mais, je commence à avoir plus d’expérience et Lhom pourra confirmer que je dis moins de gros mots lorsque rien ne va. C’est pourquoi je dois dire un grand merci à mon hébergeur Likuid.com et à tous les employés du service à la clientèle.
J’ai aussi beaucoup de gratitude pour mes amies du club de lecture ainsi que tous ceux qui me proposent des sujets d’articles. J’aime beaucoup que vous vous donniez la peine de me faire des suggestions et la variété de mes chroniques s’en trouve enrichie.
Je tiens à témoigner de la reconnaissance à Lhom, mon premier lecteur et éditeur, celui qui, par son excellent jugement, me guide dans ce projet créatif. Ses magnifiques photographies offrent une palette visuelle essentielle à un site internet. Un grand merci pour sa participation pour le contrôle de qualité des recettes! Ah!Ah!
Merci à mes deux filles, Juny et Kit4 pour leur collaboration photographique.
Photo de Lhom
Pour finir l’année en beauté, Lhom nous présente cette photo hivernale.
Et vous, chers lecteurs, je vous remercie de vos encouragements, de vos commentaires et de votre intérêt pour ce blogue.
Je souhaite à tous un joyeux temps de fêtes. Paix, bonheur, prospérité et surtout santé.
La vie est faite de petites habitudes qui, à la longue, peuvent nous rendre soit heureux ou le contraire.
La routine du soir demeure plus importante que celle du matin.
Dans plusieurs articles populaires, on demande souvent aux personnalités connues de relater leur habitude au lever. Celle du coucher est plus essentielle, car elle nous permet de prendre conscience des accomplissements des dernières heures.
Et elle nous prépare au lendemain.
Quand on a notre plan, au début de la journée, on se réveille et on y va.
La grande liberté reste une des choses que j’ai appréciée le plus, lorsque j’ai quitté mon emploi d’optométriste.
Routine du soir, du matin
Au début, je trouvais drôle et ridicule de ne pas savoir comment m’habiller le matin. Pourquoi ? Parce que je n’avais rien programmé.
Une panoplie d’activités s’offrait à moi. Faire l’épicerie, cuisiner, aller marcher, travailler sur mon blogue, etc. Au début, on jubile de ce luxe, de pouvoir lambiner ainsi.
Mais souvent, j’étais déçue, j’avais l’impression de ne pas avoir profité de mon temps.
Maintenant, en décidant le soir, ce que je prévois pour le lendemain, cela contribue à une plus grande satisfaction.
En plus, cela configure notre inconscient à nous aider à réaliser notre objectif.
Routine ou rituel du soir et gratitude
L’heure du coucher se trouve à être le meilleur moment pour pratiquer la gratitude.
Une des pires activités consiste à naviguer ou lire sur un appareil électronique, que ce soit votre téléphone ou une tablette.
La lumière bleue aura un mauvais effet sur votre endormissement et la qualité de votre repos.
Ce qui nourrira votre subconscient sera des trucs anodins et futiles que vous aurez observés sur les réseaux sociaux.
Et voir sur Instagram cette merveilleuse personne qui a une merveilleuse vie avec ses merveilleux enfants et son merveilleux mari ne rendra pas votre vie plus merveilleuse.
En conclusion
Si vous voulez ressentir de la fierté, vous devez finir les choses. C’est bon de bien terminer sa journée.
Photo de Lhom
Lhom nous offre cette semaine une magnifique photographie d’un paysage du lac Léman.
Et vous? Avez-vous une routine du soir? La trouvez-vous plus importante que celle du matin?
J’attends vos commentaires avec plaisir.
Phrenssynnes
Avertissement: Le blogue de Phrenssynnes est un blogue de divertissement utilisé pour discuter et partager mon parcours vers le bonheur, la santé et le bien-être, etc. Il ne doit pas être utilisé pour remplacer l’avis d’un professionnel de la santé. Les personnes mentionnées dans cet article n’ont pas été mises au courant de ce projet et je ne reçois aucune rétribution financière.
Lors d’un souper chez des amis, madame C m’a appris qu’elle participait à un programme de formation à la course à pied. Son enthousiasme m’a résolu à recommencer et j’ai décidé d’expérimenter avec la même coach que ma copine. C’est une initiation sur un balado gratuit, donc je n’avais rien à perdre !
J’ai déjà fait de la course pendant plusieurs années. Quand le beau temps se pointait au printemps, je démarrais un entraînement progressif. Ma récompense arrivait à la fin de l’été. C’était comme un bonbon pour moi : courir un trajet de dix kilomètres dans le cadre du Marathon des deux rives de Québec. C’était un évènement qui avait lieu tous les ans à la fin d’août. J’y ai participé pendant environ sept ans, c’était une fête à chaque fois.
À la suite d’un entraînement excessif, je suis tombée malade, puis un vilain mal de dos m’a empêchée de pratiquer cet exercice pendant plusieurs années.
Mon épine dorsale va mieux et j’adore ce sport.
Je connais deux autres blogueuses qui pratiquent aussi la course à pied.
Rachel de Jasperden’s Health et Smells de Smelly socks and Garden peas. Elles ont d’ailleurs écrit des articles à ce sujet cette année.
Vous savez que faire de l’exercice est bon pour la santé. Je vous invite à lire cet article si vous n’êtes pas convaincus.
C’est un exercice qui a de nombreux avantages. Cela demande peu d’équipement, on n’a pas besoin de réserver un terrain ou une salle. Il n’y a pas d’abonnement à payer comme dans un centre de ski ou dans un club d’entraînement. La course est une activité qu’on peut pratiquer au moment où on le désire, où l’on veut et qu’on peut faire seul si on le souhaite. On n’est pas obligé de chercher de partenaires comme au golf ou au tennis, par exemple. C’est un sport de liberté, on saute dans nos espadrilles et l’on s’enfuit en oubliant tous nos soucis!
La course à pied, c’est aussi une forme de méditation. Lorsqu’on atteint un certain plateau, on effectue le même mouvement, en cadence, répétitif, on peut entrer dans une sorte de transe ou d’extase. Et Josée dans son balado ne cesse de nous répéter : des p’tits pas, des p’tits pas, des p’tits pas. On fini par le répéter dans notre tête comme un mantra!
Et après l’entraînement, vous ressentez le bonheur d’une bonne dose d’endorphine.
Les inconvénients de la course à pied
Les gens ont tendance à croire que c’est un sport facile que n’importe qui peut faire du jour au lendemain. Tout le monde est capable de courir! Sachez qu’il existe une technique de course. Si vous désirez vous y mettre et que vous vous lancez sans suivre certaines recommandations, vous risquez de vous blesser.
On doit respecter plusieurs choses si on veut réussir sans se faire mal.
L’équipement le plus important demeure votre soulier de course. Il est primordial de porter une espadrille adaptée pour votre type de foulée et pas trop usé. Il existe différents types de foulées. De là, l’importance de faire votre achat dans une boutique spécialisée où le vendeur est lui-même un coureur.
Ce sera, je crois, votre plus gros investissement pour votre réussite. Remarquez que je n’ai pas dit la dépense! Il y a une différence entre les deux.
Pour suivre cette formation, vous avez besoin d’un téléphone cellulaire ainsi que des écouteurs si vous ne voulez pas que tous les passants entendent les bouffonneries de Josée!
Lorsque vous vous inscrivez avec votre adresse courriel, il y a une excellente vidéo expliquant comment télécharger les sessions d’entraînement.
Prévoyez des vêtements pour trois sorties par semaine à moins que vous ne fassiez votre lessive tous les jours.
Je porte toujours une casquette pendant l’été pour courir. Je trouve que c’est confortable pour se protéger du soleil.
Voici mes écouteurs. Trouvez-vous qu’ils sont un peu gros?
L’histoire des écouteurs
En fait, j’avais mis ces écouteurs sur ma liste de suggestion de cadeau de fête en 2020. Nous avions un voyage planifié en Allemagne et en Autriche pour le mois de mai 2020. J’ai de la difficulté à dormir sur un long vol de nuit en avion. Je travaillais encore à l’époque et un de mes patients, qui est guide touristique, m’avait recommandé ces écouteurs. Ils annulent le bruit ambiant et ce professionnel du voyage pouvait dormir en avion et arriver à destination frais et dispos.
J’attends mon prochain voyage en avion pour les utiliser. En attendant, j’ai découvert que c’est fantastique pour écouter des balados!
Jusqu’à maintenant, j’ai complété la moitié du programme et à part quelques courbatures, je suis toujours vivante! Je vous reviendrai plus tard pour la suite de mon expérience.
Photo de Lhom
Il y a de magnifiques endroits pour courir. Lhom nous en présente un où la vue est fantastique. Le fleuve Saint-Laurent vu du haut du massif de Petite-Rivière-Saint-François.
À tous les coureurs et lecteurs, j’attends vos commentaires avec plaisir. Je suis aussi ouverte à vos conseils sur ma technique de course et j’aimerais savoir ce que vous pensez de mes p’tits pas!
Je vous souhaite une bonne semaine.
Phrenssynnes
P.S. Les sites et personnes mentionnés dans cet article n’ont pas été mis au courant de ce projet avant publication. Je ne reçois aucune rémunération financière pour cette chronique.
Ici au Québec, nous avons deux printemps. Le premier est affreux et triste.
Voici, pour ceux qui ne connaissent pas notre coin de pays, des photos de notre début de printemps.
La belle neige de Noël, blanche, floconneuse et romantique à souhait, devient une horreur fin mars et avril. Au Québec, l’hiver est noir, blanc, long et glacial. Les entre-saisons sont presque aussi pénibles.
Et, c’est ce qui fait de nous un peuple si merveilleux!
Voici pourquoi
Premièrement, nous avons un sens de l’humour incroyable. L’industrie du spectacle humoristique est florissante au Québec. Du moins avant la pandémie…
Cette habilité s’est développée en un vif talent pour l’autodérision. Le Danemark se distingue par le Hygge (prononcé hoo-gah) et le Québec par son Ah! Ah!
Le meilleur exemple pour vous le démontrer est notre héros national, Elvis Gratton. Qui n’a pas ri en visionnant ses films?
Bon vivant
L’autre chose qui nous définit bien est notre côté épicurien.
Souvent au Québec, le deuxième printemps apparaît par magie. Boum! L’ensoleillement et la chaleur jaillissent et on a l’impression que c’est arrivé tout d’un coup. La tendre saison surgit avec les pâquerettes, les jonquilles, le soleil radieux et le gazouillis des oiseaux.
Le Québécois émerge de son hibernation, se réveille comme mère nature, et il devient fou.
Littéralement.
Il sort le barbecue, démarre la piscine, tond le gazon, boit une bière dans un café terrasse, roule en vélo ou en décapotable, plante ses fleurs. Il veut tout faire en même temps. Lorsqu’il fait beau, il doit absolument en profiter. Il est obligé de déguster la moindre goutte de ce temps radieux et rare.
Quelle photo est la plus belle?
La troisième particularité est que nous avons un moral de fer pour passer à travers ces températures rigoureuses.
Vous connaissez le principe duMental toughness.
La dureté du mental selon Bob, la force des Boys!
Nous n’avons pas le choix d’apprendre à regarder la vie sous un bon angle et à focaliser sur ce qu’il y a de beau dans la vie, comme que je vous le montre sur ces photos. On apprend à recadrer.
Mais nous savons aussi « qu’importe le temps, qu’emporte le vent », l’essentiel, c’est d’avoir du soleil dans son cœur.
Photo de Lhom
Lhom nous présente cette semaine une photo démontrant une activité que les Québécois font souvent pendant le premier ou le deuxième printemps. C’est-à-dire se sauver dans un autre pays. Voici les dunes du Pilat près d’Arcachon en France.
Qu’en pensez-vous?
Je vous souhaite une bonne semaine et j’attends vos commentaires avec plaisir.
Et dépêchez-vous à avaler votre dernière gorgée de café et courez profiter du beau temps.
Phrenssynnes
Un fois par semaine, je publie un article. Abonnez-vous et vous recevrez par courriel la dernière publication le samedi matin. Vous pourrez le lire en sirotant votre café!
Vous l’avez observé et l’on n’a pas besoin d’être économiste pour voir l’inflation partout autour de nous. Le panier d’épicerie, le prix de l’essence, les vêtements ou tout autre bien de consommation, on constate que les coûts ont augmenté.
De plus, nous pouvons noter les effets des changements climatiques dans notre quotidien. Depuis quelques années, les variations de température nous surprennent. Les tempêtes se multiplient en virulence et la fonte des glaces au pôle Nord inonde l’actualité. Sans faire de jeu de mots…
Il ne faut pas se laisser submerger par le découragement.
Ma sœur, une fanatique de l’écoresponsabilité, me dit que chaque geste compte.
Ces raisons me motivent à me creuser la tête pour moins dépenser et essayer de ne pas gaspiller. Nous pouvons prendre exemple sur les habitudes de nos parents et de nos grands-parents qui ont connu la guerre. Par nécessité, ils ont développé des moyens d’économiser.
J’ai trouvé, dans mes comportements, trois façons de faire ma part.
J’espère vous inspirer avec ces trois petites actions hors de l’ordinaire.
Économiser pour aider la planète
Ceux et celles qui suivent mon blogue savent que j’adore le rouge à lèvres. C’est mon truc pour bien hydrater mes lèvres et avoir l’air moins fatigué. Un pinceau destiné à appliquer ce produit de maquillage vous permet d’employer une quantité moindre. Vous pourrez aussi aller jusqu’au fond du tube afin d’utiliser le bâton au complet.
Recycler pour aider la planète
Je finis toujours par casser les couvercles de mes théières. Plutôt que de m’en débarrasser, j’essaie de dénicher un moyen de les récupérer. Voici ma dernière trouvaille.
J’ai confectionné une mangeoire d’oiseaux avec cette théière. Une bonne boule d’ouate dans le bec empêche les graines de tomber par terre. J’ai utilisé une attache dans l’anse et je l’ai suspendue à un crochet. Et ça fonctionne, les volatiles picorent les grains offerts, mais je n’ai pas encore réussi à les saisir en action.
Un autre exemple de récupération me vient de ma belle-mère.
Recycler un filet de plastique en plaçant dedans plusieurs restes de savons solides. On attache le tout avec un fermoir de sac à pain. Et nous pouvons nous laver les mains avec ce nouveau savon qui nous permet d’utiliser les petits bouts de savonnette facilement.
Utiliser pour aider la planète
Je trouve que la pâte de tomate gagne le concours du pire aliment pour le gaspillage. Les recettes qui utilisent cet ingrédient requièrent seulement une faible quantité. On est coincé avec des restes même si on achète la plus petite canette. Voici ma liste d’idée de mets qui inclut de la pâte de tomate afin d’employer vos surplus.
Dans un ancien article, je vous ai parlé du livre Sauve ta bouffe,Guide et recette pour réduire le gaspillage alimentaire au quotidien. Ce bouquin regorge d’idées incroyables si vous désirez explorer ces solutions.
Conclusion
Vous trouvez ces idées insipides ou insignifiantes ? Dites-vous que si l’on essaie d’appliquer cela à toutes nos habitudes quotidiennes, cela finira par compter. C’est la coutume d’avoir ce réflexe pour chacune de nos actions qui doit être développé.
Planification et organisation, voilà un autre secret afin de recycler, économiser et éviter le gaspillage.
Vous manquez de motivation ? Imaginez-vous si l’insuffisance d’approvisionnement des produits augmente, peut-être éprouverons-nous de la difficulté à nous procurer des biens essentiels.
Avouons-le! À quel point une pénurie de rouge à lèvres aurait un impact catastrophique sur notre vie ! Ah ! Ah !
Photo de Lhom
Tel que nous le démontre cette magnifique photo de Lhom, nous avons une si belle planète.
Je vous invite à partager vos idées et vos saines habitudes dans les commentaires. Tous ensemble, nous réussirons à changer la culture et aider la planète.
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Cette semaine, je vous présente cette citation d’Albert Einstein, une personne que j’admire beaucoup.
« The true sign of intelligence is not knowledge, but imagination. »
Qu’en pensez-vous?
Bonne semaine.
Phrenssynnes
Un fois par semaine, je publie mon article. Abonnez-vous et vous recevrez par courriel la dernière publication le samedi matin. Vous pourrez le lire en sirotant votre café!
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Souvent, les amateurs de l’un ne le sont pas de l’autre.
Le café et le thé sont des breuvages consommés partout dans le monde de façon quotidienne.
Dans une perspective de santé publique, il est important de savoir si ces breuvages peuvent avoir un bénéfice potentiel pour la santé.
Il y a eu beaucoup d’études faites sur le café et sur le thé mais très peu sur la consommation des deux breuvages Le café ou le thé ? Lequel est le meilleur pour la santé ?
Une étude scientifique a été faite car les cas de démences et les accidents cérébraux vasculaires sont en hausse mondialement et entraînent un fardeau social et économique.
Selon cette étude, consommer ces deux breuvages serait meilleur qu’en consommer un seul.
Plus de 350 000 personnes âgées de 50 à 74 ans ont participé à cette étude qui s’est étendue sur environ onze ans au Royaume-Uni.
Les résultats démontrent que la consommation de ces breuvages séparément diminuent les risques de démences et d’accidents cérébraux vasculaires. Par contre, la combinaison des deux breuvages offre un effet synergique et est encore meilleur pour la prévention.
Voici pour cette semaine, la photo que Lhom nous présente.
Le port de Fontvieille.
Si cet article vous a plu, je vous invite à vous abonner à mon blogue. Ainsi vous recevrez le samedi matin, dans vos courriels, ma publication hebdomadaire.
Et vous? Êtes-vous un buveur de café, de thé ou les deux? Est-ce que cette étude changera vos habitudes?
Je ne suis pas spécialiste en organisation. Je souffre des quelques effets secondaires pour avoir été une maman qui a pratiqué une profession pendant plusieurs années. Il y avait très peu de mères de famille qui travaillaient à l’extérieur. Je n’avais pas de modèle ou de mentor à l’époque.
La bohème en moi est devenue une femme structurée et adepte de la gestion organisationnelle.
Je désire partager ce savoir-faire en espérant vous faciliter la vie.
Et, j’aime bien faire la fête!
La planification pour le temps des Fêtes
Le secret pour recevoir sans se stresser est la planification. La meilleure façon d’y parvenir est de se créer une liste exhaustive des choses à faire et de les inscrire dans votre agenda.
Vous penserez aussi à vérifier les heures d’ouverture des commerces où vous avez fait des commandes. Ce serait décevant de se frapper le nez sur la porte du pâtissier qui vous a préparé une bûche de Noël.
On confie les courses de dernières minutes à une autre personne, si possible.
Indiquez à votre horaire le moment où vous devez sortir du congélateur les aliments ou produits dont vous aurez besoin.
Confirmez l’heure d’arrivée avec vos invités.
Demandez et acceptez de l’aide
Dans le temps des fêtes, la clé pour s’amuser est de travailler en équipe. Dites aux enfants qu’ils doivent être des lutins qui aident maman!
Et si la belle-sœur se propose d’apporter le dessert, on accepte! Toutefois, n’oubliez pas de garder le contrôle de votre cuisine. Si la pièce se transforme en capharnaüm et que cela vous donne plus de travail, cela ne vous aidera pas.
Choisissez un menu stratégique
Établissez votre menu en fonction de votre budget. Combien d’invités allez-vous accueillir? Quelqu’un a-t-il des allergies alimentaires? La simplicité est importante. Il est possible d’avoir un plat festif et facile à préparer. Essayez de tout cuisiner, ou presque, avant le jour de la réception. Mettre de la couleur dans vos assiettes donnera un air de Noël. Ajoutez une touche avec des feuilles de basilic, des tomates cerises, des canneberges fraîches ou des olives. Le vert et le rouge sont les couleurs du temps des fêtes.
Vérifiez vos temps de cuisson pour vous assurer qu’il n’y a pas de conflit de température pour un seul four!
Si vous recevez un petit nombre de personnes, vous pouvez avoir un repas plus élaboré. Cependant, gardez pour une autre fois les expériences gastronomiques qui requièrent un savoir-faire impressionnant. Vous voulez créer de beaux souvenirs. Vous ne désirez pas que votre famille et vos amis se souviennent pendant des années que vous avez raté cette recette le soir de Noël.
Pour un grand groupe, envisagez un mets mijoté. Ou prévoyez un repas qui ne nécessite pas trop de manipulation de dernière minute.
Vous sortirez aussi tous les plats et ustensiles de service à l’avance. Grimper sur une chaise pour fouiller dans le haut de vos armoires avec votre petite robe sexy n’est pas l’idéal. Et cela évitera les commentaires désobligeants de ceux qui commencent à être éméchés!
Le matin du jour J, faites la planification pour la cuisson et le service de chaque aliment de la façon la plus détaillée possible. On veut que tout soit bien synchronisé.
Placer les boissons froides au réfrigérateur et préparez des glaçons.
Pensez à mettre plus de papier de toilette dans la salle de bain.
On décide quel lutin va pelleter l’entrée afin d’être accueillant. On peut aussi mettre des bougies à l’extérieur pour avoir une ambiance chaleureuse.
Avoir l’air ou être une pro pour le temps des Fêtes
On prévoit aussi dans le programme un moment pour se doucher, se faire belle et se reposer un peu pour ne pas avoir l’air trop fatiguée!
Photo de Lhom
Je termine mes articles en vous présentant une photo de Lhom, mon mari. La voici pour cette semaine.
Je vous souhaite une bonne semaine et une joyeuse préparation pour votre temps des fêtes!
Phrenssynnes
P.S. Vous savez que j’adore lire vos commentaires. Alors n’hésitez pas à ajouter votre grain de sel et nous partager votre truc afin d’avoir un beau Noël.
Sir Alfred Hitchcock, selon Wikipédia, « est un réalisateur, scénariste et producteur de cinéma britannique, naturalisé américain en 1955, né le 13 août 1899 à Leytonstone (Londres) et mort le 29 avril 1980 à Bel Air (Los Angeles). »
« Bravo pour ton initiative de traduire tes articles. Tout un défi!
Comment la plateforme medium.com t’apprend à améliorer ton écriture en ligne? »
Voici un des commentaires de ma dernière chronique sur le blogue. Étant donné que mon explication aurait été trop longue, j’ai décidé d’y répondre par un article.
J’ai travaillé cette semaine sur la traduction de mon blogue.
Pourquoi avoir une partie anglaise ?
J’ai commencé dans les derniers mois à publier sur medium.com, une plateforme que je trouve très intéressante pour apprendre à améliorer mon écriture en ligne. Voilà un avantage pour vous! Ah! Ah! Je veux que vous ayez des écrits de qualité à lire.
Après quelques recherches, j’ai constaté que la partie francophone de cette plateforme n’est pas très développée. J’y participerai, bien sûr, si celle-ci s’accroît.
Nouvelles publications
J’ai décidé d’essayer de faire paraître des articles anglais. Évidemment, cela me demande plus de temps, d’énergie et de concentration, mais je crois que cela est un bon exercice pour moi.
De là est venu le besoin de traduire mon blogue puisque le nombre de visiteurs anglophones a augmenté.
Je ne suis pas à l’aise à mettre en ligne des textes bilingues. C’est-à-dire, faire des publications avec des parties anglaises mélangées avec d’autres en français.
Ici au Québec
Vous le savez, j’habite au Québec et ici nous sommes conscientisés à la fragilité du français. Ce n’est pas comme en Europe où on y parle plusieurs langues : allemand, français, espagnol, anglais, etc. Au Québec, l’anglais nous encercle à 100 % sur 360 degrés.
Faire un training ou entraînement?
Alors, si on entend des expressions comme parking au lieu de stationnement, des runnings au lieu d’espadrilles, pull-over au lieu de chandail, eh bien, ça nous dérange. On sent l’anglais nous envahir.
Nous avons donc comme principe d’écrire de notre mieux en français. Et aussi d’avoir la meilleure utilisation possible de la langue anglaise lorsque nous l’employons.
Il existe déjà une option « translate » sur le blogue, mais j’espère que mes articles de la partie anglaise refléteront une qualité supérieure.
Il y a quelques jours, nous avons vécu des températures caniculaires. Cela m’a rappelé un texte que j’ai écrit il y a quelques années. J’y parle de la terrasse Dufferin, un des beaux endroits où se promener l’été à Québec.
Je vous présente Parfum d’enfance.
. . . . . .
Parfum d’enfance
J’avais eu la permission de mettre la lanière de mes chaussures de cuir verni derrière la cheville, aux talons, un peu comme des escarpins de grande dame. Je portais une petite robe fleurie et j’ai un souvenir précis de cette odeur ténébreuse de canicule. Mélange de parfum de fleurs, d’été, de clameur. Clameur de la foule animée, défilant sur la terrasse Dufferin une soirée de samedi de juillet.
Ces temps-ci, j’ai de la difficulté à trouver l’inspiration donc, j’ai décidé de voir un film. Certains diront que c’est de la procrastination, mais consommer de la culture me donne le goût d’écrire. Une muse vient me chatouiller les doigts lorsque je visite un musée, quand je lis un roman ou que j’écoute de la bonne musique. Et, c’est justement ce que suggère l’auteur Ankit Singh dans son article sur medium.com: How to write when you don’t feel like it at all. Je me suis installée, un matin, avec un cahier et un crayon tout près de moi pour regarder le film : Florence Foster Jenkins avec Meryl Streep et Hugh Grant.
Ce film m’a fait réfléchir. Vous savez, pour avoir lu mon article sur le livre Devenir de Michelle Obama, que je ne suis pas musicienne. J’aime la musique, mais je n’y comprends rien d’un point de vue technique. Malgré cela, je peux attester que Florence Foster Jenkins chantait faux d’une façon abominable.
Qui est Florence Foster Jenkins?
J’ai fait des recherches sur cette cantatrice. Il semblerait qu’elle aurait inspiré Hergé pour son personnage caricatural de la Castafiore. Selon Wikipédia,
« Florence Foster Jenkins, née le 19 juillet 1868 à Wilkes-Barres et morte le 26 novembre 1944 à New York, est une chanteuse soprano américaine. Elle est notamment connue et ridiculisée, en tant que chanteuse lyrique, pour son manque total de rythme, de justesse et de timbre, sa prononciation aberrante et plus généralement son incapacité à chanter correctement. »
Dans le film, on apprend que cette femme a contracté la syphilis de son mari lors de son voyage de noces à l’âge de dix-huit ans. Elle a vécu jusqu’à soixante-seize ans. Dans l’histoire, après l’avoir examiné, un médecin fait la remarque qu’il n’a jamais vu quelqu’un survivre à cette maladie pendant plus de cinquante ans.
Florence est une riche héritière et elle n’a pas eu un seul enfant. Après son divorce, elle a eu une relation platonique avec son agent, St-Clair Bayfield, qui l’a protégée des mauvaises critiques tout au long de sa carrière.
Elle aurait voulu être pianiste. Ses problèmes de santé l’en ont empêché, car les nerfs de sa main gauche étaient endommagés.
À la fin de sa vie, elle a chanté devant une salle comble au Carnegie Hall. Cela se passait en 1944 et elle avait offert gratuitement un millier de billets à des soldats de la Deuxième Guerre mondiale. Elle les a divertis, mais peut-être pas de la façon dont elle aurait voulu. Ils ont cru à une comédie.
Un film qui suscite des questions
Comment définit-on le succès ?
Est-ce qu’en étant riche, on peut se payer n’importe quoi, y compris une prestation à Carnegie Hall ?
Peut-on vivre nos fantasmes artistiques si l’on est son propre mécène ?
Est-ce que se bercer d’illusions est bon pour la santé ?
Ou est-ce plutôt le fait de pratiquer un art qui aide à survivre à une maladie grave ?
Plusieurs conclusions
En tout cas, je ne crois pas qu’elle souffrait du syndrome de l’imposteur!
Sa carrière est un exemple frappant des valeurs superficielles qui régnaient, à cette époque, dans certains groupes de la riche société new-yorkaise.
Jusqu’à un certain point, avec sa connaissance de l’art musical, madame Foster Jenkins devait bien comprendre qu’elle n’était pas la meilleure soprano au monde. Son amour du chant la fait persévérer et assurément le plaisir qu’elle retirait de cette activité.
Elle a fait une démonstration de courage et de générosité en montant sur la scène du Carnegie Hall.
L’art musical et le sport
Ayant étudié en science, on m’a inculqué à faire confiance aux chiffres et aux faits prouvés rigoureusement. J’ai toujours eu un malaise par rapport à la subjectivité de l’art. J’ai plus tard appris qu’on aime une œuvre d’art à cause de l’émotion qu’elle nous fait ressentir. Et ce qui lui donne de la valeur, c’est si elle en suscite chez un grand nombre de personnes.
Le premier émoi que nous fait vivre l’œuvre de Florence est négatif. On ne peut pas croire qu’elle persévère à chanter malgré son peu de talent. Pourtant, à force de l’écouter, on sent sa ténacité. On ne peut qu’avoir de l’admiration pour cela.
C’est comme dans le sport, il n’y a pas seulement des athlètes élites. Tous les amateurs d’activité physique de ce monde ressentent aussi cette agréable impression d’être vivant. Et cela est accepté. Pourquoi cela devrait-il être différent dans tous les arts ?
Les émotions et la santé
Madame Foster Jenkins a souffert de syphilis à partir de l’âge de dix-huit ans. Pendant l’enfance, elle a appris à jouer du piano. De là, son amour de la musique.
On sait depuis toujours que de violentes colères peuvent provoquer des crises cardiaques ou d’apoplexie. Il existe plusieurs études scientifiques sur le sujet.
Peut-on en conclure que les émotions positives sont bonnes pour la santé ? Mon expérience de vie m’en a donné la conviction profonde.
J’ai l’impression que les sentiments ressentis par cette cantatrice lorsqu’elle chantait étaient tels que cela a aidé sa condition. Cela lui a-t-il permis de vivre si longtemps avec cette maladie ?
Une personne unique
Madame Foster Jenkins malgré son manque de talent était unique. Elle a performé pendant une trentaine d’années. On a réalisé deux films sur son histoire.
Sa profonde humanité nous émeut. Et c’est pour cela qu’on parle encore d’elle de nos jours.
Est-ce Florence Foster Jenkins ou la prestation de Meryl Streep qui a réussi à m’asticoter les doigts ? Vous aurez compris, que regarder ce film m’a touchée et j’admire cette mauvaise cantatrice pour son courage et son indécrottable persévérance.
Sur son lit de mort, elle a dit : « On pourra dire de moi que je ne savais pas chanter, mais on ne pourra jamais dire que je ne l’ai pas fait. »
Elle avait tout à fait raison.
Pour terminer sur une note new-yorkaise, voici une photographie de Lhom.
Quel lien y a-t-il entre la pandémie et le fait de s’amuser ? Et pourquoi avec des chaussures? Cette semaine, j’aborde un sujet léger.
J’ai envie de rafraîchir deux paires de godasses et les transformer en chaussures pimpantes.
Être écoresponsable avec ses chaussures
Lorsque j’étais enfant, mon père déclarait qu’il ne faut pas changer sa voiture parce que le cendrier est rempli et ne pas acheter de nouveaux souliers si les lacets sont usés. Souvent, je réalise que nous avons à apprendre de nos parents et nos grands-parents pour ce qui est de l’écoresponsabilité.
Depuis le début de la pandémie, nous avons tous remarqué une augmentation des tentatives d’hameçonnage. Je ne dois pas être la seule à avoir remarqué une augmentation des pourriels. Et nous utilisons beaucoup plus l’Internet que ce soit pour le travail, les loisirs ou nos finances. Il est donc important de se protéger et d’avoir des habitudes de cybersécurité. Je ne suis aucunement spécialiste en la matière. Étant donné que c’est un sujet qui m’intéresse, nous avons assisté Lhom et moi à une conférence sur les bonnes pratiques sur Internet. Parce que j’aime partager avec vous ce que j’ai appris, voici les trucs et astuces retenus.