Les sept sœurs de Lucinda Riley

J’ai lu le roman Les sept sœurs de Lucinda Riley sur les recommandations d’une amie. Je l’ai acheté avec une carte-cadeau que j’ai reçu.

En faisant des recherches pour cet article, j’apprends que l’écrivaine d’origine irlandaise est décédée d’un cancer de l’œsophage en 2021. Elle avait cinquante-six ans. Quelle tristesse!

Quatrième de couverture du livre Les sept sœurs

Quatrième de couverture du livre Les sept sœurs (crédit photo Phrenssynnes)

 

C’est un bouquin de plus de 650 pages, mais ne vous découragez pas par ce nombre. On embarque vite dans ce roman intrigant et peu commun de sept sœurs adoptées par un homme riche qui demeure à Genève, en Suisse. Ce livre, le premier tome d’une série, se concentre sur l’histoire de la famille biologique de l’aînée, Maia.

Ce que j’ai moins aimé

Au début du roman, j’ai moins cliqué sur cette histoire de sept sœurs adoptées par un étrange et mystérieux milliardaire. Ces filles, dont les prénoms inspirés de la mythologie de la constellation de la Pléiade, ne connaissent pas leur origine. Au décès du père, chacune d’elle découvre un indice sur l’endroit où elle a vu le jour. Je me demandais où ces pistes, que je trouvais un peu ésotériques, allaient nous mener.

C’est un livre où on se laisse porter par l’intrigue et pas nécessairement par la beauté de la prose ou la construction littéraire.

Présentation Les sept soeurs (crédit photo Phrenssynnes)
Devant du livre Les sept soeurs (crédit photo Phrenssynnes)

Ce que j’ai aimé

Je me permets de critiquer la prose, mais on ne peut lui reprocher son efficacité et les personnages ont une crédibilité indiscutable.

Ce n’est que dans la partie qui se passe à Rio que j’ai commencé à apprécier le roman. J’adore les romans où on présente une dimension historique intéressante. On parle de la construction du Christ rédempteur sur le mont Corcovado à Rio de Janeiro.

Je n’ai jamais visité le Brésil, mais on connaît tous ce monument, véritable merveille du monde.

On sait que c’est une fiction, mais l’écrivaine s’est servie de l’authentique ingénieur brésilien, Heitor da Silva Costa, pour créer un personnage de sa saga. De même que Paul Landowski, un sculpteur français qui a aussi participé à la création de cette immense statue.

J’ai beaucoup aimé en apprendre sur les mœurs de l’époque au Brésil de même que sur ce pays en général.

Conclusion

Dans Les sept soeurs,  l’auteure ne donne pas toutes les réponses et on a hâte de continuer la suite.  Sachez, amateurs de séries télévisées, qu’on est en train de réaliser une adaptation.

Je trouve cette fiction légère et parfaite pour apporter en vacances ou si vous avez envie de vous changer les idées.

Si vous allez en voyage au Brésil, je vous recommande ce roman avant de partir.

Lecture d’été? Et si vous le lisez en plein mois de janvier, ne vous inquiétez pas, la chaleur de Rio, la samba et les caïpirinhas vous réchaufferont le cœur!

Photo de Lhom

En lien avec le thème de la semaine, Lhom nous présente cette magnifique photo du célèbre jet du lac Léman à Genève, où une partie de l’intrigue se passe.

Genève (crédit photo Lhom)

Et vous? Connaissiez-vous cette auteure? J’ai toujours beaucoup de plaisir à lire vos commentaires. N’hésitez pas à partager votre opinion si vous avez déjà lu ce livre.

Bonne lecture.

Phrenssynnes

P.S. Lucinda Riley et ses éditeurs n’ont pas été mis au courant de ce projet avant publication.